Uta no prince sama: Un amour entre deux étoiles

Chapitre 4

A mon réveille, je trouva le visage de Satsuki à quelque centimètre dut mien. Il me fixer avec un regard profond et doux à la fois, un regard que je ne lui connaissais pas. Quand il vit que j'étais réveillé, il se redressa sans me quitter des yeux. Je me redressa à mon tour pour mieux l'observé. Il avait gardé ces habilles de la veille un pantalon bleu claire, une chemise blanche avec une veste en jeans garder ouverte. Se style lui aller plutôt bien ! Je me leva du lit, resta debout lui tournant le dos et décida de lui poser la question qui me trottait dans la tête depuis un moment.

- Satsuki, Pourquoi tu est comme ça avec moi ?

- Hein...

- Tu sais ce qui c'est passé avant-hier et hier aussi quand.... Et bien quand tu m'as....

- Et alors ?

- Pourquoi est ce que tu as fait ça ?

- Parce que j'en avais envie me faut il une autre raison.

- Bien sur que oui

Je me retourne pour lui faire face et le retrouve debout derrière moi. Il me plaque contre le mur, bloquant mes bras avec ses mains empêchant tout repli de ma part. Trop choqué pour faire le moindre geste il en profita pour m'embrasser à nouveau. Mais ce baiser n'était pas le même que la dernière fois, cette fois ci il m'embrassai avec fougue, m'empêchant des ses mains toute tentative de le repousser. Quand t'il y mis fin, j'étais incapable de dire ne serai ce qu'un seul mot pour lui dire ce que je pensé de son acte, alors il pris la parole le premier.

- Je fais simplement ce que Natsuki est incapable de faire.

- Qu'est ce que tu veux dire par là ?

- Réfléchi un peu, je suis sur que tu connais la réponse.

- Je ne vois pas de quoi tu parle

- Ne fais pas l'innocent tu as bien du le remarquer

- Remarquer quoi a la fin ?

- Tu as décide de jouer les idiots alors je vais te le dire. Natsuki a des sentiments pour toi.

- Qu'est ce que ça veux dire, Natsuki et moi somme amis d'enfance il n'est pas...

- Amoureux. C'est là que tu te trompe. N'as-tu jamais remarqué la façon dont il te regard quand tu te donne à fond dans une activité. Il a beaucoup de respect pour à ton égard c'est la raison pour laquelle il ne t'as jamais rien mais il est vraiment tombé amoureux de toi et ça depuis longtemps maintenant. Il était heureux lorsque vous avez décidé de chanter tout les sept comme ça il pouvait continuer à rester avec toi.

- Je...je n'avais rien remarqué.

- Tu dois vraiment être un idiot

Je ne réagis pas à sa provocation, cette révélation m'avait bouleversé à un point, que je ne savais pas quoi en penser.

Est-il possible que Nastuki est véritablement des sentiments aussi forts pour moi ? Si c'est le cas alors il aurait dut venir m'en parler mais c'est vrai que j'ignore comme j'aurai réagis s'il me l'avait avoué. Perdu dans mes pensés je ne remarquai pas que Satsuki m'avait relâché et c'était éloigne de quelque pat.

- Que vas-tu faire maintenant ?

- Par rapport à quoi ?

- On dirait presque que tu le fais exprès, ce que je viens de te dire.

- Je ne pourrais rien faire s'il ne vient pas de lui-même me le dire mais...

- Mais ?

- Mais je peux essayer de l'inciter à me le dire à condition que ce sois vrai.

- Tu ne me crois pas !

- C'est un peu dur a croire que t'on meilleur amis a des sentiments pour toi désolé.

- Je te le dit maintenant mais tu n'as pas intérêt à briser le cœur de mon frère sinon tu risque d'avoir affaire à moi.

- Ne t'inquiète pas je n'ai pas l'intention de le blessé

Je détourne le regard et soudain j'aperçu ces lunettes. Elle était sous la table basse depuis le début.

Je me rapproche pour les récupérés puis je me retourne vers lui.

- Il est peut être temps que tu lui rendes sa place maintenant.

Il n'a rien tenté alors que je lui remettais ces lunettes sur le nez afin de ramener Natsuki.

- Syo-chan Bonjour.

- Bonjour, Natsuki. Que dirai tu d'aller manger avec les autres ce matin ?

- Oui, allons-y j'ai envie de voir ma petite Haru-chan

- Nanami hein.

- Syo-chan

- Bien allons-y alors.

Je lui souri comme d'habitude en l'entrainent derrière moi jusqu'à la cafétéria. Mais tapis dans un coin de ma tête je n'oubliais pas ce que Satsuki m'avait dit quelque minute avant.