My love My heart

Chapitre 1

Par ce que sourire n'est pas toujours donnée à tout le monde,

Par ce qu'un sourire illumine un visage,

Mais quand il n'y a aucune raison de sourire..

Vivre même sous la pluie..

Une dame l'attends, quand elle fut arrivais a sont niveau, elle lui sourit. Un sourire qu'elle connaît très bien avent. Avent, avent, avent qu'elles ne sois séparais...

Dans la voiture, personne n'oser brisais se silence lourd. Fannie sa mère, c'est comme sa qu'elle s'appelle.

Elles déchargent tout les deux les valise, qu'elles que autre devrais arrivais dans la semaine. Elle est stressais. Elle est devant sa mère, et elle ne lui parle même pas, elle qui avait toujours rêvais de la revoir, de la serais dans ses bras, de sentier de nouveau sont parfum, toucher c'est magnifique cheveux mais rien ne se passe comme elle le voudrais maintenant.. Et même avent.

Toutes les deux rentre dans la maison, elle se souvenait...

Tout, tout, elle se souvenait de tout les petit détaille. Elle se souvient, elle courais, son frère derrière elle, pour se cacher derrière l'escalier le soirée de Noël en attendant le père Noël..

Plus elle avance plus les souvenir remonte. Elle fait le tour de la maison, seule une chose avais changer, la maison avais étais agrandit. Le large couloir recouvert de papier peint dans les ton gris/noire. Il menait a une chambre, une chambre qui contenait une batterie, et des guitare suspendue au mure, des guitare d'un peux tout genre musicale, de la classique a l'électrique en passent par tout les autre. Un grand lit double blanc. Sur les mure sont accrocher des photos. Des photo qu'elle ne connaît que trop bien.

Plus elle les regarde plus elle se rappel, c'est tout c'est photo importante qu'elle avais toujours gardais avec elle. Sur le mure ce dressais la grosse guirlande de photos qui lui venait tout droit d'Irlande. Des petit photos de famille datent d'il y'a 10 ans a des photos d'elle est de sont petit amies d'Irlande. Sur les photo elle souris. Allonger dans les bras d'un jeune petit blond, entourais des ses qu'elle que amis pas très nombreux, mais surtout avec ce sourire. Un sourire qui n'avais pas toujours étais présent tout au long de sa petit vie, un sourire qui étais souvent remplacer par les larmes, et pas des larmes de joie. Fannie lui fit visiter sa chambre, elle avait maintenant sa propre chambre dans sa maison avec sa famille..

Pour beaucoup c'est très peux mais elle, elle avait chaud au cœur.

Seul dans sa chambre elle avait ranger les quelque que affaire qu'elle avait dans sa valise bleue, bien trop lourde pour elle.

Allonger sur sont lit, qui sentez la lessive, les yeux rivée sur le plafond, elle regarder ses photos.. Chacune, l'une après l'autre, en prenant bien le temps de se remettre en mémoire les souvenir qui allait avec. Échappent qu'elle que petit perle salée, et parfois des sourie, des petit rire, même si elle n'aimais pas la vie, elle étais bien trop attachée à elle pour la quittée..

Elle se souvient de chaque petit souvenir, mais dans sa mémoire, il y'a toujours eu un floue sur certaine chose.. Certaine chose qui avez laissez des trace sur sa santé a jamais.. Des question sans réponses, elle en avais plain, plain sur sont passée, plain sur le future, plain sur tout. Peut-être un peux trop curieuse l'enfante..

Dans le couloir vide, elle marche. Un sourire au visage, elle avance.

Fannie dans la cuisine prépare le repas du soir, la musique résonne dans la cuisine. Elle fredonne les paroles tout en épluchant les pomme de terre..

Et quand elle entant les pat de sa fille sur le carrelage elle sourit.

Elles se sont tellement manquer toutes les deux..

Elle la prend dans ses bras, leurs sourire sur leurs visage, elles sont heureuse..

<<_ Je t'aime, souffle telle contre la joue de sa jeune fille.

_ Moi aussi je t'aime maman. >>

Est sous se petit mots elle frissonne, depuis le temps qu'elle rêvais de le ré entendre...

Par ce que L'amour maternelle sera toujours plus fore,

Par ce que un sourire sur le visage d'une personne nous redonne le notre,

Par ce que la vie a une valeur,

Par ce que pour rien au monde on ne peut l'échanger,

Par ce que même avec les haut et les bas la vie est belle

Mais surtout trop courte...