Mort de feu (Tome 1) [Réécriture]

Chapitre 10 (Le chapitre bipolaire)

Aujourd’hui, je reçois un appelle de la mère d’Audrey.

-         Salut Kateryne, j’appelle seulement pour t’annoncer qu’Audrey sera transférée au centre de réadaptation.

Normalement, les parents sont dévasté (étrange) et les gens leur disent que ce seras mieux pour elle. Mais vu son état, c’est presque comme si on annonçait à un enfant de cinq ans que Noël était devancer. C’est merveilleux.

-         C’est super, quand est-ce qu’elle part, demandai-je à la femme aussi énervé que moi.

-         Ce matin, et j’aurais un service à te demander…

-         Tu voudrais que je garde Tristan.

-         Oui, exactement, je ne veux pas qu’il voit sa sœur comme ça.

-         C’est d’accord, mais je dois vous avertir que j’irai à l’école pour les résultats d’analyses et ça risque de le perturbé. Mais je serai prudente.

-         Alors, c’est d’accord. Je serai là dans pas plus d’une heure et je passerai le chercher à dix heures environ.

-         Au revoir

Tristan et Valérie arrive en même temps et la jeune fille entre avec le garçonnet dans ses bras. Puis, nous nous préparons pour aller voir les analyses.

Arriver à l’école, Valérie et Tristan vont jouer au parc. Moi, je vais voir Gabriel. Ça fait trois jours que je ne suis pas venu. Il me sert dans ses bras.

-         Salut jolie princesse (mon nouveau surnom), je suis content de te voir. Mais j’ai une mauvaise nouvelle pour toi.

Il ouvre le projecteur, plusieurs photos sont analysées. Puis, je vois la photo qui gâchera ma vie : Celle de Megan avec un X rouge. Je verse toute les larmes qu’il me reste. Gabriel me console mais il doit partir pour une bonne heure. Je le laisse et je reviens voir mon meilleur ami et son travaille du jour. Je m’assoie sur le banc et met ma tête entre mes deux jambes. Valérie le remarque et vient me voir. Je lui murmure :

-         Megan est morte…

Elle plaque ses deux mains sur sa bouche et verse un lot de larme. Tout à coup, le petit lui tire sur le chandail.

-         Valelie, valelie,  vient zoué avec moi.

Nous nous relevons et allons jouer avec Tristan. Ça me change un peu les idées.

Après le départ du gamin, je pleure plus que jamais. Je n’en peux plus. Pourquoi il fallait que ça arrive. Je me connecte sur mon Facebook et je vois une date importante : celle des funérailles d’Antony…