Regards

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« On est arrivés. »

PDV Mikasa :

J'ai comme un mauvais pressentiment...
Ce nabot ne m'inspire absolument pas confiance.
Mais bon je n'ai pas trop le choix alors...
Le bruit de la porte s'ouvrant, coupe le court de mes pensées et me replonge dans la réalité.
Le nabot me lâche le poignet et rentre dans la chambre, je fis alors de même.

Je pénètre dans celle-ci et m'aperçois qu'elle est vide. Quand je dis ça je ne veux pas dire qu'il n'y a pas de lit ou tout autres meubles, mais quelle parait froide et sans âme, aucun tableau, rien qui ne traîne je ne sais où, le lit parfaitement fait.
Tout simplement comme si elle n'avait jamais servi.
Le nabot se dirige alors vers sa table de chevet,ouvre un tiroir et en sort une lettre.
Il me l'a tend,comme pour m'indiquer de la lire. Je l'ouvre et commence à la lire sans plus attendre. Celle-ci disait:

Mon cher Livaï,
Si tu lis cette lettre cela veut sûrement dire que je suis mort. Je n'ai jamais eu l'instinct paternel mais sache que je t'ai élevé comme mon fils. Ma dernière volonté serait que la lignée Ackerman ne s'éteigne pas, je sais qu'elle nous a "maudits".
Mais il y a une raison à tout cela.
Je comptes sur toi pour ne pas la laisser disparaître. Après tout tu n'es plus un enfant !
Kenny

Je ne m'attendais pas à ça. Je ne sais plus quoi penser. Je redonnes alors la lettre au nabot.
« ... » je ne sais pas quoi dire.
Quant au nabot il me fixe droit dans les yeux avec un regard profond, comme s'il voulait lire en moi. Ce qui me met légèrement mal à l'aise.
« Je m'étais mal exprimé tout à l'heure, je voulais te demander si tu comptais avoir une descendance. J'ai été indiscret excuse moi. » me dit-il l'air sincère toujours en me regardant droit dans les yeux avec un air néanmoins sérieux.
« Je/» lançais-je alors.
« Tu n'es pas obligé de répondre désolé de t'avoir importuné. » me coupa-t-il.
Il cesse alors de me fixer et me fait dos,l'air pensif. Je crois qu'il m'invite à partir.
Je me dirige alors vers la porte prête à partir lorsqu'il me dit:
« Ackerman? » avec une légère pointe d'espoir dans la voix.
Je lui refais alors face. Nos regard se croisent (encore).
« Oui? » répondis-je.
« Tch! Non rien. » dit-il quelque peu énervé.
C'était vraiment passionnant pensais-je avec ironie.
Je me dirige de nouveau vers la porte des questions plein la tête quand soudain...

A la prochaine !! N'hésitez pas à poster des commentaires ça fait toujours plaisir !

Ce qui nous unis {rivamika}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant