Cette nuit-là, mon imagination a encore fait des siennes.
Tout commença lorsque tu arrivas à la maison, le sourire aux lèvres.
Je m'en rappelle encore, ce beau soleil matinal qui illuminait la pièce où nous étions.
Toute la journée, nous étions restés collés l'un à l'autre, à discuter de tout et de rien. Les silences étaient agréables, car même si tu ne disais rien, d'un regard je comprenais ce que voulais dire.
J'en avais apprit beaucoup sur toi, et ta beauté éblouissante me rappelait à quel point tu étais précieuse.
L'après-midi, nous étions allés voir ces magnifiques arbres dont je t'avais déjà parlé. Main dans la main, nous marchions sur le chemin, choqués par la beauté du paysage.
Malheureusement les meilleures choses ont une fin. Le soir venu, alors que le soleil disparaissait à l'horizon, je t'ai raccompagnée à l'aéroport. Un dernier regard avant de te laisser, un dernier sourire et un timide "à la prochaine".
Quand je te perdis de vue, je me sentis triste que tu n'aies pu venir qu'une seule journée, mais heureux de t'avoir enfin rencontrée.
Une fois rentré chez moi, je me rendis compte que j'avais oublié de te dire quelque chose. Ce n'était pas quelque chose à écrire par message, alors sans rien dire à personne, je pris le premier avion pour venir te voir.
Après avoir atterri, je te retrouvais enfin. D'abord heureuse de me retrouver, tu fus ensuite troublée de ma présence.
C'est alors que je t'ai expliqué pourquoi j'étais là et que je t'ai dis ce que je voulais te dire. C'est là que tu compris que j'étais parti sans ne rien dire à personne.
L'heure de mon départ approchait, tu le savais aussi. J'ai reçu un appel, ma mère qui s'inquiétait pour moi. Je lui promis de rentrer et de tout lui expliquer.
Je t'ai ensuite regardé. Tu compris que je devais partir. Alors tu m'avais retenu, avant que je parte. C'est là que tu m'a embrassé. Je ne savais pas quoi faire, tellement la situation était inattendue. Alors je te laissa faire, sans ne rien dire.
Quand tu m'as enfin lâché et que tu m'as souris, j'ai su que le moment de partir était venu. Je retourna à l'aéroport et pris le premier avion, qui devait arriver chez moi à 23h06.
Mais au moment de monter dans l'avion, tout à commencé à bouger autour de moi. Je commençais à paniquer, mais j'ai compris que ce n'était que ma mère qui me secouait pour me réveiller.
VOUS LISEZ
Un jour de plus
PoetryRecueil de poèmes, mettez les bouts à bouts et vous obtiendrez une histoire !