CHAPITRE 5

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1 er Octobre

Ce matin je me suis  levée  de super bonne humeur.  Je suis descendu prendre mon petit déjeuner..

Mais il n'y avait personne ..c'etait très étrange . Le  samedi mon père ne travaille pas et mon frère  n'a pas école  .

Et encore plus étonnant ma mère n'était pas la  pourtant elle ne sortait plus depuis des mois .

J'ai appelé  immédiatement mon père, mais je suis tombé sur le répondeur . J'ai commencé à m'inquiéter , ce n'était pas sont habitude.

Soudain j'ai aperçu  un bout papier posé sur la table .
C'était un mot de mon père .
"Rejoint moi à l'hôpital c'est maman ,c'est urgent."
J'ai rapidement enfilé mes chaussures, et mit ma veste .J'ai couru au bus ,par chance il y en avait un qui venait de passé ,je suis arrivée en 15 minutes .
Une fois à l'intérieur  j'ai  retrouvé mon frère  et mon père dans la salle d'attente  . Je leur ais alors demandé des explications .

- Que c'est t-il passé ?

- On ne sait pas totalement les médecins pensent que c'est une tentavive de suicide ...parvient à dire mon père

Je voyais floue ,je ne contrôlais plus rien.
Même si mes rapports avec ma mère sont assez compliqués elle reste ma mère. Je savais qu'elle allait mal mais de là à faire cela ...

Après des heures d'attente on a  enfin pu aller la voir .Elle était couchée dans le lit entourée de pleins de machines, et branchée à tout un tas de fil . A peine rentrée dans la chambre mon coeur c'était serré, j'ai eu envie de vomir , j'étais livide .

Un médecin  nous avait expliqué   la situation . Il voulait que moi et Jean sortions mais nous voulions savoir.
On était prêt à tout entendre .

-Son état est très instable, nous avons du la placer dans le coma artificiel pour quelle ne souffre pas. Elle a prit des doses très forte de medicaments , heureusement que vous l'avez vu vite, sans vous elle serait décédée . Elle souffre de grave lésions et risque la crise cardiaque à tout instant . Est ce qu'elle était suivis par un psychologue ?

-Oui ..depuis 3 ans elle suivait une thérapie et elle allait enfin ...avait l'air d'aller mieux . Parvenait à articuler mon frère  qui était le seul en état de parler.

Au bout d'une heure Jean et moi même  étions calmés .Notre père souhaitait rester au chevet de notre mère. Je n'en avais pas la force et mon frere non plus . Nous avons donc décidé d'aller chez notre grand mère, le temps que tout rentre dans l'ordre . 

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