Il y avait des arbres tous identiques, des feuilles toutes identiques toutes les choses qui se trouvait dans cette forêt était semblables les unes aux autres. Tous était identiques c'était surréaliste comme si le temps c'était arrêter et avait multiplier un seul arbre et en avait fait des dizaines, des centaines...
Je suivais un petit sentier pour éviter de me perdre dans ce recueillement de végétation. Tout était d'une splendeur magistrale et d'une beauté inouï que seul la terre aurait reçu comme cadeau du ciel.
J'arrivais dans une prairie recouverte de fleur blanche semblable à des perles de nacres soigneusement tissé ou à des gouttelettes encore perlé de la rosé du matin qui ruiselle le long des tiges de l'herbe fraîche.
Je mallongea au milieu des fleurs comme au bon vieux temps chez ma grand mère qui disais "une fleur parmis les fleurs".
Cela me faisais du bien car je pouvais enfin relâcher la pression et je pouvais penser librement, laisser valser dans la tête une multitude de pensés, de mots, d'idée, de souvenirs d'autre fois...