David

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   Et enfin, pour la première fois depuis vingt ans, il leva les yeux sur elle. Il la vit, dans toute sa monstruosité et sa splendeur. Puis il se demandât pourquoi il avais épouser une femme pareil. Pourquoi diable, ne l'avais il jamais réellement vu avant ce jour. A moins, bien sûre que ce ne fusse les charmes de l'amour qui s'étaient dissiper. Il l'a regardât : ces yeux noisette bordés de cils clairsemer recouvert d'un mascara hors de prix. Ses rides qu'il avais appris a aimer au fil des ans bien qu'elle les détestais. Ces formes généreuses et si chaleureuse. Il repensait a toute ces nuit, cette femme dans ces bras, son souffle dans le creux de son coup. Mais il se souvint aussi de toute ces médisances a l'égard de ces collèges de travail, des voisins, de leurs amis et de sa famille. C'est vrais qu'elle n'avais jamais pleurer a la mort de sa mère, après tout il était récurent que les épouse n'aimais gère leur belles mères, de plus elle n'avais jamais était d'un naturel démonstratif. Elle haïssait c'était certain, elle aimais parfois. Et cependant avais ce jour il n'en avais tenus compte. Il avais perdu son meilleur ami, son témoins et le parrain de ces enfants en ne voulant pas écouter ces dires. Peut être n'était il pas encore trop tard pour ce racheter. En tout cas, ca vaudrais peut être le coup d'essayer. Cependant ce n'était pas le problème du jour. Il faillais qu'il lui dise. Que tout ça s'arrête. Pour son bien certes, mais aussi sans doute, ou peut être certainement pour le bien des enfants. Ca devais faire une bonne vingtaine de minute qu'il avais cesser de l'écouter. Ce n'était cependant pas ce qui allais l'empêcher de monologuer. Il serra les poing. Il sentais ces ongles s'enfoncer dans sa chaire. Son cœur battais a tout rompre dans sa poitrine, comme si celui-ci cherchais à s'extraire de sa cage thoracique. Il avais les mains moite et poisseuse, une goute de transpirations coulais le long de son torse sans être arrêter par le tissus de sa chemise. Enfin, il pris une longe inspiration et ce mis à parler :

- Rose-Marie, il faut que l'on divorce.

   Et son visage ce décomposât dans un rictus perdu quelque part entre la fureur et l'incompréhension. 

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