Chapitre 8

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Le pharmacien accueillit Créchon a bras ouvert. Comme quelqu'un qui voit là un client dont les billets dépassent des poches et donc un moyen de remplir les siennes.

Malheureusement Créchon avait d'autre plans. Le pharmacien eu donc droit à un interrogatoire :

- Une certaine Sabrina Oliver est elle venue vous voir le 27 avril 2016 ?

Le pharmacien sans comprendre répondit :

- Heu, je vais regarder.

Le pauvre homme semblait troublé, mais le ton grave de l'inspecteur lui fit comprendre l'ampleur de la situation. Il revint avec un carnet dans lequel il notait tout ces rendez vous.

- Heu non je n'ai pas de Sabrina Oliver. J'ai une Sabrina Falquellet une Sabrina Lebourgrand à cette date.

- Tient donc interressant.

- Avez vous besoin d'autre chose ?

- Non merci ça ira. Je vous remerci de votre aide précieuse.

Il sortit. Il venait de faire une découverte capitale pour la suite de son enquête. Si Sabrina avait payé au nom de son oncle cela pouvait vouloir dire beaucoup. Bien sur Lebourgrand était son nom mais également celui de son oncle. Il devait y avoir des histoires d'héritage là dessous.

- Oui j'aimerais savoir ce que la dame en question vous a acheté.

- Une boîte de doliprane et c'est tout.

Créchon se rendit donc chez le banquier. Il utilisa son passeport sur lequel on pouvait voir en lettres grasses.

« Monsieur Créchon, détective privé, affaire privé »

Cette phrase l'avait toujours fait rire, pas seleument parce qu'elle était écrite comme quelque chose de très importante mais également parce que les gens a qui il la montrait s'écartait sur son passage avec une expression de terreur.

L'homme à qui il l'a montra eu les réactions prédites. Il se mena au banquier et lui demanda sans la moindre gêne :

- Je voudrais voir le testament de Monsieur Lebourgrand, qui est mort le 27 avril 2016.

Le banquier le regarda bizzarement mais ne chercha pas d'explications et alla lui chercher le dossier tout en précisant :

- Ce testament serais valable dans deux semaines.

- Je sais, je n'ai pas besoin d'explications.

En effet la mort de monsieur Lebourgrand était si étrange que l'affaire avait été mise sous surveillanceet le testament valable 2 semaines après la mort. Comme le juge et les membres l'avaient ordonner.

Le crime inattenduOù les histoires vivent. Découvrez maintenant