Le jour où tout commence.

2 0 0
                                    

Asano courait, courait, courait. La fatigue commençait a la ralentir. Les hommes qui la poursuivaient, eux, ne semblaient pas faiblirs. Autour d' elle tout étaient sombre et terrifiant, pourtant elle connaissait très bien ces lieux, elle y vivait depuis 14 ans, mais là, elle n' arrivait pas a se situer précisément, elle se dirigeait au asard en éspérent que la chance sois avec elle. Mais l' ironie du sore la fie tomber dans un cu-de-sac. Impossible de reculer, elle allait se faire attraper. Commençant a trembler et a paniquer, elle se repris, et regarda son environement. En regardent autour d' elle, elle pouvait voir un tas d' ordures male audorante et des murs sans couleurs ni fenêtre a moins de 4 mètres de haut, elle vit, en scrutant les déchets, une bouche d' égous a peine visible caché par les nombreux sac plastics et de boites de cartons remplies qui y était empilées. Elle s' y précipita. Avec grande peine elle réussie a lever la gris. Avec un semblant d' hésitation dans ses mouvements, elle s' introduisie dans la bouche d' égous avec peine, une fois la gris refermée, elle se retrouvait dans un grand tunnel qui la fesait se sentir très mal a l' aise et elle ne preféra pas déscendre de l' échelle qui. Elle se mis le plus possible dans l' obsucuritée et attendie, elle tremblait de peur et de froid, se qii lui fesait claquer des dents et une réspiration plus forte, mais elle devais se controler pour ne pas se faire repérer! En y repensent, comment avait-elle pu se mettre dans un telle pétrain?! Décidement! Quelle sale journée!

<<Sa c' est passé plus tot dans la journée. Comme d' habitude j' étais rentré des cours vers 17h. Le cartier où j' habite est peu fréquenté et plutot abandonné. Ducoups, certain appartements sont abandonnés. Dans ce cas, ça deviens un lieu de rendez-vous pour les jeunes, comme moi. Une sorte de cachette. J' étais entré dans un très vieille immeuble comme tout les soirs depuis des années. Je montais les grandes marches délabrées encore et encore, pour enfin arriver au toit. Là, j' avais établie mon camp, mon reffuge. De là j' observais le ville.... enfin.. une grande partie. Je rédigeais un rapport chaque soir de ce que j' avais pu observer. <<Pourquoi ?>> me diriez vous. Car on dit que certaines chose se passe la nuit, que des hommes en noir parcour les rue a la recherche de quelque chose ou, quelqu' un depuis des siècles sans jamais le trouver et pour se vanger de ne pas trouver ce qu' ils cherchent, ils capturent des passants dans la nuit. Mais bien sûr, se ne sont que des histoires que l' on racconte aux enfants pour ne pas qu' ils sortent seul la nuit.
C' est absurde quand j' y repense. Mais j' y croyais...
Comme tout les soirs, rien d' inhabituelle... enfin, a minuit précis, j' ai commencé a entendre des bruits innormals pour l' heure. J' avais pas attendu vingt ans pour prendre mes jumelles et regarder d' où provenaient ces bruits... comment dire.... terrifiants. D' abore, je ne voyais rien de spécial, mais en y regardent de plus près, j' avait vu des ombres passer dans cette obscurité. Mon coeur commençais a battre quand un d' entre eux était passé sous une faible lumière qui me lessais appercevoir quelque mèches d' un pur blanc et une cape noir, très noir. Et se qui m' avais vraimment intrigué était une sorte de.., comment dire... de valise? Oui, c' est sa, une sorte de valise. Sans attendre, je pris mon sac et déscendit précipitament dans les escaliers abimés. Je commençais a ralentir en arrivant a la sortie du batiment je réspira un grand coup, il fallait dire que c' étais très excitant et terrifiant a la fois. Une fois dehors, je regardais vite fais autour de moi, et je partie, d' un pas discèt, dans la rue où je les avait vu. Mais rien. Ils avaient disparu. Non c' est absurde, c' était ce que je m' étais dis. Je me remis a marcher, toujours a pas silencieux bien sûr. Un souffle glacial me fit me retourner, rien. La peur commençait a me submerger. Et un déclique dans ma tête me fis me cacher. Et là, je revis ces capes noirs passer juste devant ma cachette. J' avais crus voir qu' il y avait trois personnes. J' attendis qu' ils passent et commença à les suivres avec une grande prudance. Mon coeur augmentait ses battements à chaque mètre que je m' éloignais de ma base. Après quelque instant, ils s' arrètèrent devant la porte d' une très ancienne batisse qui devait a peine tenir debout, une sorte d' hotel laissé a l' abandon. Ils entrèrent et un d' entre eux regarda autour de lui. J' attendit quelques seconde et m' approcha avec une discrètion impécable vers l' une des fenêtres qui rendait sur un salon faiblement éclairé dont un vieux rideau cachait une grande partie de la pièce. Là, stressée que l' on me repère, je pouvais voir plus de trois personnes. ils devaient ètre neuf ou plus, je ne voyais pas tout. Je ne sais pas pourquoi, mais leurs sorte de petits valises m' intrigaient beaucoup. A un momment un d' entre eux la posa et commença a l' ouvrir, il en sortie une grande épée. Je n' ai que eu le temps de l' admirer cinq secondes avant que un chat sortie de nul par m' effrait et me fit pousser un petit cris de terreur qui alerta, bien entendu, ceux qui se trouvaient a l' interieur. Ils me fixairent ,tous stupéfait, sauf un où son visage résta de glace. Je recula et me mis a courir le plus vite possible sur la route désèrte et obscure.>>

<<Voila, comment je m' étais retrouvé avec deux hommes a mes trousse qui me tuerait sûrement si ils m' attrappaient.>>

Toujours dans son trou, elle s' arrèta de réspirer dès que ils passèrent à coté d' elle. Un bruit de pas attira son attention. Elle avait peur, très peur. Mais sa curiosité l' emporta sur ses sentiments et déscendu de l' échelle, et sans vraimment en avoir conscience, elle s' approcha de l' eau sale. Quelque chose sortie de l' eau froide! Une affreuse main! Elle ne pu s' empecher de pousser un hurlement quand cette chose lui attrappa la jambe. Elle eu une petite douleur à sa cheville et réussie a faire lacher le monstre! Elle sauta sur léchelle et commença a grimper, mais les deux personnes qui l' a poursuivaient se ruairent vers la bouche d' égous, la soulevère et un l' extirpa du trou, pendant que l' autre sortie une arme pas banal de sous sa grande cape. Totalement appeurée et ne comprenent pas se qu' il se passait elle se débattait sans s' arrèter. Et là, elle eu une soudaine envie de fermer les yeux, et s' endormie en laissant son corp à moitier inerte sûr le sol enneigé.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : May 27, 2018 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Un Bruit? Une Légende Qui Prend VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant