L'horloge

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Assied sur ma chaise

Je fut pris d'un soudain malaise

L'horloge me regardait d'une drôle de façon

Avec ses aiguilles marrons

Je regarda par dehors

L'hivers rendait les arbres mort

Je regardais encore en avant de moi

Les aiguilles avaient beaucoup avancé ma foi

serai-ce bientôt mon heure

Où le début de mes malheurs.

Je me leva de ma chaise

Et mis fin à ce stupide malaise

Je pris l'horloge hors de mon mur

En lâchant un dernier mumure

les yeux je ferma

Et tout autour de moi changea

Sur un étrange lit je me coucha

Me réveillé désormais il ne pourra

Une fiche sur moi sera rempli

Et probablement qu'en voyant celle-ci

Ma mère, mon frère, ma sœur, tomberont en pleurs

Voyant leur fils qui meurs

Les poèmes de DamonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant