Pleine lune

Chapitre 1

Aujourd'hui on est vendredi le 13 février 2018 et c'est ce jour qu'on choisie présisément les professeurs pour célébré un évènement trimestriel: la remise des bulletin. Ce jour je le redoutais depuis si lontemps, parce que je savais que j'allais encore avoir des notes foireuses. De toute façon je m'en foutais. Je m'étais promis que l'heure du brevet approcherais je me mettrais à apprendre. Ma déparche peut vous semblez puérile, mais je sais se qu'il m'attend si je commence a réviser. Je devrais garder la même allure scolaire tout le temps, passer mon temps a apprendre au lieu d'être avec mes copines. Franchement je n'aimerais pas avoir une vie aussi ennuyante, moi je préfere profoter de ma vie tant que je le peux encore.
Sans m'en rendre j'étais arrivée devant la porte de ma maison, je l'ouvris, balança mes bottes et mon sac quelque part dans l'entrée et je décidais d'aller m'écrouler dans le canapé en cuir qui était dans le salon, sans même daigner regarder  mes parents qui était dans la salle à manger et qui sans doute attendais que je leurs présente mon bulletin.
J'allumas la télévision à temps car ma série préférée "gossip girl" était entraint de passer. Je m'assit plus confortablement dans le canapé afin de mieux profiter de se moment. Je commençais à peine a m'interesser à ma série, quand une voie masculine éléva la voix:
- Dis donc jeune fille n'auriez vous pas un bulletin à nous montrer.
Je me tournais vers mon pére, qui se tenais debout sur le réfrigirateur, les bras croisés et qui me toisait de ses yeux bleux pénétrants. Je soupirais, leva les yeux au ciel et décida d'enregistrer mon émition car sa risquai d'être très long. Heuresement que je suis fille unique, je ne supporterais pas qu'on ose me comparer avec mon frère ou ma sœur.
Je me leva du canapé et me dirigais là où j'avais jeté mon sac, je l'ouvris pris un courrier cacheté par mon établissement, puis le tendis à mon pére. Celui-ci longuement dans les yeux avant de le prendre, ce demandant sûrement à quelle genre de surprise, allait il devoir s'attendre.
- J'espère que cette fois-ci ton bulletin sera meuilleure que le dernier, dit ma mère. Je la regardai longuement dans ses yeux gris, avant de finir par hausser les épaules. Cela ne servait à rien des se voiler les yeux nous savons tous comment s'allait se finir. Mon père ouvris l'envellope déplia la lettre qu'elle contenais et commençais à la lire. Comme je m'y attendais au fur et à mesure qu'il lisait son teint vira au rouge et ne fesait que de s'empouprer de plus en plus. Quand il eut fini il tendit la lettre à ma mère qui la prit dans ses mains tremblentes, contrairement à mon père elle n'eut ne vira pas au rouge maus ses yeux se remplissait de larmes. Tout les deux me regardait fixement, je soutins leurs regards sans ciller. Finalement se fût mon pére qui ouvra le bal:
- 3,5 de moyenne, dit-il la voix tremblotante, mais putain Luna qu'est-ce-que tu fous à l'école ?
- Rien, lui répondis-je.
- Et pourquoi donc ma chérie, intervint ma mère les yeux tous rouge.
Personnelement j'étais mal à l'aise de la voir comme sa à cause de moi. Mais de toute façon même si je pouvais devenir une bonne élève je ne voulais pas le faire, car je voulais profiter pleinement de ma jeunesse avant de devenir aussi vieille que mes parents. Et c'est ce que je leurs dits, bien sûr cela ne les enchanta pas d'entendre de la bouche de leurs fille qu'ils n'étaient plus jeunes, comme-ci leurs cheveux blanc ne les suffisaient pas, mais bon de tout façon c'était la vérité et moi je ne mâche jamais mes mots.
- Comment oses-tu jeune fille, rugit mon père, j'en est plus que marre de tes airs supérieurs, de ta façon de nous manquer de respect, sans oublier le fait que tu raméne toujours de mauvais bulletins, jusque là ta mère et moi nous l'avions supporté pensant que c'étais l'adolescense, mais là c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
Il s'arrêta fit une pose avant de réprendre:
- Nous sommes obligés de te punir jeunne fille, sache que jusqu'à nouvelle ordre tu resterais dans ta chambre pour te préparer à ton bac et par  conséquent tu n'auras plus le droit de voir tes copines, ni d'utiliser ton téléphone. Maintenant va dans ta chambre tout de suite.
Je le regardais, mauntenant c'était à mon tour de fulminer de colère, comment mon père pouvait il se mettre dans un tel juste parce que je lui avait ouvert les yeux. L'esprit embrumé par la rage je pris mon sac, les clés de mon pick-up avant de me diriger vers la porte.
- Où vas-tu comme ça Luna, me demanda mon père.
- Prendre l'air, lui répondis-je.
- Non tu vas rester ici jeune fille, je t'interdit de sortir, hurla-t-il.
Je soupira, me retourna lui fit le plus beau de mes doigt:
- Essaie de m'en empêcher, lui dis-je.
Puis je fermis la porte derrière moi, anisi la dernière chose que je vis se fût le visage de ma mère qui hoquetai de stupeur.
Je mits le contact puis je m'engaga sur la route, il faisait nuit noire alors qu'il n'était que 18:00 heures. Je continuais a ressasser la dispute abec mes parents, quand je bis une forme immobile couché sur la route, je freina brusquement avant de descendre de mon pick-up afin de savoir quelle étaut donc cette forme. Allongé sur la route la créature était munie d'un museau, de quattre patte, d'un pelage noir comme la nuit et des yeux aussi rouge que le sang.  Cette créature était un loup. Sa poitrine affichait une blessure sur son ventre, qui devait lui faire mal car il gémissait. Pris de compassion pour lui, je décidai de le prendre dans ma voiture pour le guérir à la maison, que mes parents le veuille ou non. Je commencais à approcher ma main pour le porter quand il se mits a grogner. J'enleva ma maun avant de lui dire:
- Ne t'inquiète pas je ne te veux aucun mal je veux juste t'aider, te guérir.
J'essaya encore une fois de le porter et cette fois-ci il ne grogna pas. Peut-être était-il trop fatigué néanmoins j'aurai juré y avoir décelé dans ses yeux une trace de compréhension et d'intelligence humaine. Pertubé je le porta quand même jusqu'à ma voiture le couvrit d'une couverture et démarra direction la maison.