Journée mouillée

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Il était deux heures passées quand tu décidas de m'emmener à la piscine. En plein mois d'août, l'endroit était bondé de monde. On s'infiltre tant bien que mal dans les vestiaires et nous nous enfermons tous les deux dans la cabine. Je te regarde discrètement, avant de retirer innocemment mon t-shirt ainsi que mon pantalon. Tu fais de même en jetant quelque fois des regards vers moi, admirant mes courbes. Je suis dos à toi quand je me débarrasse de mon boxer et tu ne peux t'empêcher de claquer rapidement ta serviettes contre mon derrière nu. Mes fesses se contractent subitement et je laisse échapper un petit bruit de surprise.

"- Nous ne sommes pas venus ici uniquement pour réaliser tes fantasmes j'espère, questionnai- je, un sourire en coin.
- Que vas-tu t'imaginer", répondis-tu, le même sourire aux lèvres.


Nous enfilons rapidement nos maillots et atteignons la piscine.
Le chlore nous monte au nez et, serviettes sur la nuque, nous rejoignons une aire où nous pouvons exposer notre peau au soleil. Je sors précipitamment la crème solaire tandis que tu t'installes confortablement, allongé sur le ventre. Je te propose d'appliquer la crème sur ton beau corps clair, tu acceptes sans hésiter. En prenant une quantité importante du produit, je pose délicatement mes mains sur tes épaules. La fraîcheur du liquide fait convulser ton dos mais celui-ci s'habitue très vite à la présence de mes mains. Je continue à te masser tendrement les épaules et descend de manière lente vers tes omoplates. Tes petits soupirs de satisfaction me font comprendre que tu que le travail de mes mains te fait le plus grand bien. Je les coulisse jusqu'au bas du dos, on pourrait t'entendre ronronner.
Tu te redresses, et je me place derrière toi, très étroitement. Je glisse mes mains sur tes pectoraux, effleurant tétons qui durcissent peu à peu. Tu rougis.

"- Qu'est-ce que tu fais ? me chuchotes-tu, d'une voix presque suave.
- Détend toi et profite de ce massage sensuel.
- Mais des gens pourraient nous voir, continues-tu à me dire, toujours du même timbre de voix.
- Et tu aimes ça, n'est-ce pas ?"

Mes lèvres forment un sourire coquin tandis que je continue à jouer avec tes mamelons. Après quelques légers souffles de plaisir de ta part, mes doigts dévalent doucement tes abdominaux pour atteindre dangereusement ton pubis. Pris de plaisir, tu sens une tension au niveau de ton maillot. Tu retires lentement mes mains et te relèves : "Allons nous rafraîchir".

Je te suis jusqu'au bord du bassin. D'ici, tu effectues un magnifique plongeon, utilisant ton corps pour percer l'étendue aqueuse, déjà bien agitée par la nage de la foule. Je te rejoins, un peu moins gracieusement. Durant une heure, nous effectuons de nombreuses brasses, tu me demandes de nager devant toi pour te rincer l'œil. Mais sous les poids de l'effort, je décide de m'agripper au bord de la piscine pour faire une pause.

"- J'en peux plus, je ne sens plus mes bras, me plaignis-je.
- Déjà ? ricanas-tu. Si tu veux prendre du muscle il faut que tu persévères.
- Facile à dire..."

Tu me rejoins par derrière, et une fois de plus nos corps se retrouvent très proches. Tu me murmuras à l'oreille : "Je connais un moyen de te redonner de l'énergie". Tes doigts défont la ficelle qui serre mon maillot à mes hanches. Il faut peu de temps à mon membre pour qu'il se remplisse de sang et se dresse à l'intérieur de mon caleçon. "Ho ho, on dirait que ça t'excite aussi d'être parmi tous ces gens... des dizaines à pouvoir apercevoir ton engin sous l'eau", me dis-tu suavement avant de me lécher le cou.
Je laisse échapper un son d'excitation, atténué par les bavardages des autres baigneurs. Ta main libre me caresse la cuisse et ton bassin entre en contact avec mon postérieur. Tu sens une érection grandir de ton côté. Soudainement, tu glisses une main à l'intérieur de mon short moulant et agrippes étroitement mon membre. A ce moment là, je me dresse hors de l'eau essayant tant bien que mal de contrôler mes cris de plaisir, si bien que l'entièreté du haut de mon corps devient visible en surface.

Un coup de sifflet du maître nageur nous arrache de notre érotisme. Un enfant courrait trop près du bassin. "J'en ai pas fini avec toi", me soufflas-tu d'une voix excitante au creux de l'oreille. Tu me pinces la fesse droite et repars faire quelques nages. Je sors de la piscine, rouge de honte et d'excitation.

Il est dix-sept heures. Tu sors à ton tour pendant que je comate sur ma serviette. Tu viens vers moi, t'allonges également et caresses affectueusement ma joue. "Mon amour, on y va", me signalas-tu d'une voix basse et tendre. J'ouvre les yeux et t'offre un sourire mignon. La plupart des nageurs sont partis, il ne reste plus grand monde. On descend aux vestiaires et nous nous enfermons une nouvelle fois dans la cabine.

J'ai à peine le temps de fermer la serrure que je sens ta main abaisser à la hâte mon maillot. Tu me plaques contre la porte de la cabine en m'agrippant les mains et les plaçant derrière mon dos. Tu grognes :

"- Je t'avais dis que j'en avais pas fini avec toi.
- Non ! m'exclamai-je en prenant une voix faible et faisant mine de me débattre.
- Tu es tout à moi...

Je lève une jambe après l'autre pour que tu retires mon maillot entièrement. Mon orifice trépigne d'excitation. Avec ta main libre tu me caresses, d'un geste circulaire, mes fesses. Ton sexe est très tendu à l'idée de me croquer, tout comme le mien qui tape contre la porte. Un frisson me parcourt le dos, des fesses jusqu'à l'échine. Toujours aussi brutalement, tu m'agrippes la fesse droite et la serre. Je gémis légèrement. Tu la lâches pour me fourrer deux doigts dans la bouche, que ma salive humidifie avec empressement et que ma langue parcourt tout en longueur. Tu les retires sans me prévenir et les amènes tout droit à mon trou que tu chatouilles avec. Tu tournes autour pour bien humidifier l'endroit. Je sens ton souffle s'écraser contre ma nuque et ça me rend dingue. Tu stimules mon entrée avant d'y enfoncer une phalange de ton majeur. Je gémis plus fort cette fois. La porte est secouée par ma fulguration.

"- Tu veux que tout le monde entende tes bruits de cochonne c'est ça hein ? me demandas-tu.
- Non...
Tu m'enfonces entièrement ton majeur ce qui me provoque un autre gémissement. Tu fais un sourire pervers.
- Menteur."

Tu commences par faire de longs va et viens avec ton doigt qui s'accélère au rythme de mon souffle. Je sens mon intérieur brûler de passion. Tu sens que ton doigt se fait légèrement aspirer et tu ne peux plus attendre d'avantage avant de m'en mettre un autre. Mes brames augmentent de volume. Tes doigts me plongent dans un état second qui me fait ouvrir la bouche et sortir légèrement la langue. Tu accélères ton doigtée et sors violemment tes doigts ce qui m'arrache un cri de plaisir. Tu t'assois et je me retourne pour me jeter sur ta verge que je saisit avec les deux mains. Je la plonge dans ma bouche. Je donne de longs coups de langues sur ton énorme gland rose qui déforme ma joue. Tu témoignes oralement de ton excitation à ton tour.

"- Vas-y plus profond ma petite chienne.
- Mmmmslupppf !" fis-je en voulant exprimer ma suprise quand tu tiras mes cheveux humides pour plonger ta queue profondément dans ma gorge. Te trouver dans un endroit si chaud et humide te rend fou. Passées cinq minutes à te faire pomper, tu me retournes et me plaques encore une fois contre la porte. Ta grosse lance maintenant humide se place sous mes fesses, effleurant mon orifice, séparant mes couilles et se posant sous la mienne. Tu donnes de longs coups de bassin.

"Tu la veux ma grosse queue hein ?" Je reste en silence pour toute réponse. Mais ma fente n'attend qu'une chose et tu le remarques. "Je veux te l'entendre dire". Je ne répond toujours pas alors tu claques ta paume de main et fait rougir mon cul. Je suis sur le point de craquer, mon trou serré mouille à flot. Tu frottes ton pénis entre mes fesses. Je criai : "S'il te plaît enfonce ta grosse bite profondément dans mon cul !" Tu ricanes et places ton gland contre ma rondelle.

D'un coup brutal, tu y mets toute ta longueur. Je hurle tellement de plaisir que la dame d'accueil lance un regard étonne vers notre cabine. Tu plaques ta main contre ma bouche et commence à donner des coups de bassin. La porte s'agite et claque à chacun de tes mouvements. Je hurle encore, mes cris sont atténués par ta main sur laquelle je bave d'excitation.

"- Prend toi ça dans ta chatte mouillée salope.
- MMMMMMMH !!!"

Tes paroles sales me rendent dingue, je suis sur la pointe des pieds et ne tiens pas en place. Tu me soulèves pour mieux me pilonner le cul, faisant battre tes couilles contre mon derrière. Tu grognes de plaisir également. Je suis en extase, j'atteins le septième ciel quand tu me dis au creux de l'oreille : "Il n'y a qu'une grosse chiennasse comme toi pour présenter son cul dans une endroit pareil". Je pousse le plus puissant des cris et ma verge crache contre la porte. Je m'écroule sous les poids du plaisir, tu te retires de mon cul pour pousser un rugissement de satisfaction et jouir sur mes fesses.

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⏰ Last updated: Jan 15, 2019 ⏰

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