La belle de l'orage

Chapitre 1: La belle !

Bonjour,

C'est ma première histoire, ne soyez pas trop dur avec moi donnez moi vos impressions, les choses qui ne vont pas où autres.
Pas d'insultes, je trouve cela inadmissible de la part de ces personnes irrespectueuse du travail d'autrui.
Je vous souhaite une bonne lecture.

Il faisait froid, nous étions au mois de janvier dans un petit village situé au Nord-Est de la Russie, le vent frappait sans retenue, faisant parfois voler quelque larmes du visage anéanti de cette jeune femme, comme pour la punir du crime qu'elle avait commis à sa naissance.
E

lle qui n'a pas eu droit à l'amour d'un parent ? voilà la question qui berçait la vie de Lola depuis maintenant 21 ans.

Sa vie avait été berçée de solitude, de mépris dirigé envers sa pauvre personne, elle qui ne demandait qu'à être aimé, protéger, apprécier par les habitants de ce petit village.

Qu'elle ironie se disait-elle, elle qui était persécuter depuis sa plus tendre enfance, exécrée par les villageois d'àges mûres dont elle ne connaissait la raison de leur mépris envers elle, si elle avait su elle en aurait ri à gorge déployé tellement cette raison était stupide.

Le pire était la haine qui lui était voué par la gente féminine depuis qu'elles ont commencé à s'intéresser aux garçons, puisqu'elle attirait le désir de tout homme qu'elle croisait, par son rire cristallin qui en faisait rêver plus d'un, par ses longs cheveux d'un roux flamboyant qui atteignaient ses reins ainsi que ses grands yeux.

Ils étaient d'un bleu si profond que s'en était alarmant on pouvait se perdre en les contemplant tant ils étaient unique, sa peau d'un blanc immaculé comme de la porcelaine avec des mains délicates comparable à du coton tellement elle paraissait fragile, doté de doigts fins et tout aussi blanc.

Une silhouette frêle qui ne demandait qu'à être protégée, elle avait un petit visage doté de haute pommettes rosie ainsi que deux fossettes sur les joues, un nez si fin et légèrement retroussé sur le dessus on pouvait apercevoir des taches de rousseur qui la rendait plus attirante que jamais, ses lèvres charnue empreinte d'un rouge cerise naturelle qui innocemment appelait à être embrassée.

Les jeunes femme du village jalousait sa beauté, au point de lui vouer une haine sans fin.

Dieu seule sait combien d'hommes rêvait d'elle, Lola était pour beaucoup d'entre eux l'incarnation de la tentation en personne, pour les plus riches elle était une poupée russe, qu'ils voulaient obtenir des manières les plus viles qu'ils soient, sans aucune once de remord, puisqu'elle se refusait farouchement à ce genre d'hommes.

Attendant le véritable amour, son prince charmant devant venir la chercher sur son cheval blanc, ceci la faisait rêver, elle se fichait qu'ils soit riche ou pauvre, défiguré ou bien beau comme un dieu grec, taillé dans de la roche.

Ce qu'elle voulait, c'était d'être aimé d'un amour éternelle, par un homme pouvant lui faire ressentir des sentiments plus éxotiques les uns que les autres.

À une centaine de mètres, de la falaise, se trouvait un homme vêtu d'une grande capuche, cachant la totalité de son visage ainsi qu'un long manteau, des gants en cuir et des mocassin noir.

Cette homme regardait la scène d'un air intéressé, il décida d'intervenir en la voyant bien trop près du bord.

Il la rattrapa justesse avant de la voir tomber dans le fond de cette océan si vaste, il la ramena vers lui d'un bras, et fut troublé par sa légèreté, il se demandait si cette jeune fille mangeait assez.

Il fronça les sourcils en ne la voyant pas bouger, il ressentit un pointe de stress avant de la retrourner et de constater, qu'elle ne s'était qu'évanouie, il fut troublé par sa beauté jamais il n'avait vu pareil, il se jura qu'il pourrait briser son corps si fin et frêle facilement de ses mains.

Il décida de la ramener chez lui, un chalet à un peu plus d'une centaines de kilomètres au Sud-Ouest de cette montagne.

Merci d'avoir lu, j'aimerais vos avis pour la suite en commentaire.