Sweet bite...or not.

Coprolithe.

🔱 ||Année 1806||🔱
🔱||Château de la famille d'Egerton||🔱
🔱|| Jamestown (Virginie) 19h40||🔱

- Je vous ais dit :《Non》!

Les bras croisés et le regard dur, je soutenait le regard excédé de mon "mari".

- Comment ça 《Non》? Vous êtes ma conjointe ! Il est dans votre devoir d'épouse de concevoir notre descendance, comment voulez vous que notre royaume perdure sinon ?

Je faiblie, décroise les bras et soupir.

- Je...pas tout de suite, je ne suis pas encore prête...

Il lève les bras et les refait lourdement retombés.

- Pas prête, dites-vous ? Cela fait huit mois que nous nous sommes mis la bague au doigt, Adélaïde et par pure respect pour vous, je ne vous ais toujours pas touchée..

Par respect ? Tu parles ! Tu était trop occupé pour te souvenir que tu étais marié.

- Je souhaite encore quelques mois et je vous jure qu-

- Mois ? Certainement pas ! Je vous laisse une semaine, le temps de vous...préparez.

Il prit une mine dégoûté alors que je serrai les poings, impuissante.

- Trois, implorais-je.

- Deux jours.

- Non ! C'est d'accord...une semaine.

- Très bien. À dans sept jours alors.

Il me caressa la joue et me l'embrassa avant de s'orienter vers la porte et me fis sortir de sa chambre - il est évident que nous ne partagions pas notre lit. Avant de refermer la porte, il porta ses immondes doigts à mon visage pour finalement stoppé son trajet sous mon menton. Mais que fait-il ? Ses yeux cernés dansaient dangereusement de mes yeux à mes lèvres, il passa son pouce sur ma lèvre inférieure.

Non...Non pas ça !

Je tentais de reculer mais de sa seconde main, il m'agrripa la taille pour me rapprocher de lui. Je plaçais mes mains sur son torse pour conserver notre distance.

- Sept jours. Rappelez vous. L'avertis-je.

Sa langue glissait entre ses lèvres tandis que sentais quelque chose de désagréable contre mon bas-ventre.

C'est répugnant !

- Vos lèvres appellent à la luxure.

À peine sa phrase terminer qu'il m'embrassa à pleine bouche, je voulue protester mais il profita de cette occasion pour y fourrer sa langue. Sa main descendait lentement sur mon postérieur et il m'appuyai un peu plus contre lui tandis que son autre main tenta de s'aventurer dans mon bustier. Je me debatis et le poussa.

- Sept jours Auguste !Nous avions dit sept jours ! M'écriais-je en essuyant rageusement ma bouche gonflée.

- Figurez-vous que cela est bien trop long pour moi, j'ai des désirs à satisfaire !

- Vous êtes écœurant !

Je partie en courant tant bien que mal avec mon énorme robe. Étouffante. Oppressante.

Ce vieux coprolithe allait finir par provoqué ma mort !

Mariée de force à Auguste d'Egerton.