Rencontre

1K 37 0
                                    

ADAM
Oui c'est bien la gueule que j'ai tiré quand je les vu devant moi,je me suis demandé ce que je faisais ici.
Un frisson me traversa tout le corps et je resta la bouche ouvert a la regarder,je n'est jamais vu une aussi belle fille qu'elle auparavant,elle portait une robe à fleur que je n'est jamais l'habitude de voir dans les rues de Berlin,les cheveux blond ramassés en chignon qui laisser tomber quelque mèche sur son visage et des yeux marron que je n'est pas pu regarder plus longtemps.
J'arrete de la fixer,en répétant ma phrase,je n'osai plus la regarder:
-Oui,c'est bien moi
Elle l'a dit d'une voix tremblante comme si j'allais lui faire du mal,par reflexe je releve la tête:
-Je ne vais rien vous faire,ne craignez rien.
Elle me fit un sourire discret et repris l'acheminement de ses bagages.Je resta là a la regarder quelques secondes,baissait les yeux et repartis avec le sourir au lèvres.

ÉSMÉ
Je finissais de ranger mes dernières affaires et descendait les escaliers.
Moi et ma famille montions dans une charrette,je regarda une dernière fois ma maison,j'ai eu une boulle au ventre,je retenais mes larmes,la charette est tiré par deux chevaux guidée par le jeune soldat qui était rentré chez moi.Nous faisions des prières tout les trois,main dans la main jusqu'à arriver a une gare,remplie des personnes de ma communauté.Je restait bouche bée,j'étais horrifié par ce qui allait se passer.Nous montions tous,pousser violement par les soldats Nazi,comme des animaux que nous metions en cage.J'entendais les pleures des enfants,les cris des femmes et des vieillards.
La main de ma mère m'échappe d'entre mes doight moites,je commence a paniquer et crie « Maman » de toute mes forces,mais au final parmis toute les mère qui ont dû être appelé a ce moment là,je ne peux le compter.

La main de ma mère m'échappe d'entre mes doight moites,je commence a paniquer et crie « Maman » de toute mes forces,mais au final parmis toute les mère qui ont dû être appelé a ce moment là,je ne peux le compter

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

ADAM
Je m'efforçais de rester sérieux et de ne montrer aucune pitié envers ces personnes,qui bientôt allait subir l'une des choses les plus horribles que même le diable n'aurait pas osé faire.Je n'est pas quitter des yeux la fille de la chambre,Ésmé,je la vis appeler sa mère et la chercher parmis le grand bazar qui y régnait sur ce quais.Lorsque tous les juif on pu être introduit dans chaque wagon,notre voyage commençait,pendant de longues journées nous entendions les plaintes des juifs entassés dans les petit wagons et sentir les odeurs qui y sortaient.

Les amants d'AuschwitzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant