chapitre 2

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La découverte.

Ma mère étais dans la cuisine à ce moment là. Comme chaque vendredi je rentrais du lycée vers 18h, donc je partais me reposer dans ma chambre une petite heure et mon petit frère comme je l'appelle depuis qu'il est née, il s'agit enfaite de mon demi frère mais pour avoir été élevé avec lui et par son père il est devenue mon petit frère.
Mon beau-père travaillais d'après-midi donc il revenait vers 21h.

Ce soir là, ce soir là où je ne me réveillerais plus jamais comme chaque vendredi, pendant que ma mère terminé de faire le dîner pour mon petit frère et moi, mon petit frère cours jusqu'à ma chambre, un petit coup discret sur la porte, il entre.

-- Elena ? C'est prêt ! Depeche toi maman va s'enervé...

Pas de réponse Maxime étant habitué à m'entendre grogné de désapprobation répète la même choses un peu plus fort. Comme je ne disais rien. Il allume la lumière il sais que je déteste ça ! Mais encore une fois. Toujours pas de réaction. Inquièt du haut de c'est 10 ans, il se sentait désemparé. Il cours voir notre mère.

-- maman, maman, elle ce réveille pas.
J'ai fais comme d'habitude j'ai même allumé la lumière ! Elle réagit pas.

Ma mère hurle de la cuisine que si je ne me réveillais pas elle me priverait de mon pc et de mon téléphone.

...

Elle arrive dans ma chambre avec son torchon sur les épaules les mains sur les hanches. Elle s'approche et elle me vois. Elle me vois sur le dos. La lettre sur mon ventre les mains dessus. Et elle comprend, elle comprend tout. Elle accourt sur moi me secoue ! Rien elle hurle à Maxime de lui apporté son téléphone. Maxime étant perdu reste avec elle. Elle commence à paniquer du à mon manque de réactivité. Elle trouve mon téléphone à côté de mon oreiller. Elle le prend et appel les pompiers.

....
20h.

Les pompiers sont arrivé. Ils on demande à maman de mettre Maxime dans ça chambre le temps qu'ils m'examine, ce qu'il font.
Il prenne mon poux, qui ne bat plus depuis très longtemps. Maman est toujours dans ma chambre, elle a ça mine inquiète. Comme le jours de mon opération pour une péritonite Local. Sa levre inférieur n'existe plus, tellement elle ce monde les lèvres. Ces yeux ce son assombri, ce son vidé de ça lueurs de bonheur.

Les pompiers on transféré mon corps sur une civière et mon emmène dans leur camion.
Le chefs de l'équipe, prend maman par les épaules et lui dit les mots qui la hanteron jusqu'à la fin...

-- je suis désolé madame, vous devriez appelé votre marie. Votre fille ne ce réveillera plus, elle a pris des antibiotiques et a perdu beaucoup de sang.
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Et c'est là que je compris bien trop tard que je n'aurais pas du partir. Que j'étais bien la où j'étais plus de douleur plus de problème avec les autres. J'étais en paix.
Mais là devant la scène qui ce déroulait devant mes yeux. La douleur que je ressent est bien pire tout ce que j'ai ressenti avant.
Voir ça mère s'effondrer. Voir la vie des personnes à qui on tiens se déchire. C'est une atroce épreuves.

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⏰ Dernière mise à jour : May 13, 2018 ⏰

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