Tu rentres chez toi le cœur bien abimé par ces blessures invisibles qui te ronge un peu plus chaque jour..tu repenses à tous ce qu'on t'as dis, tous ces regards moqueurs qui te fusillent et te blesses, ces paroles foudroyante à ton égard.Tout ca parce que tu es différentes, tu n'as pas le "perfect body" de 2018 alors on te dénigre...Alors pour ne pas montrer ta tristesse tu pleures dans ta douche,et pour ne pas alarmer tes parents, tu ressorts de la salle de bain avec un grand sourire mais au fond tu es ravagé...
...Tu te demandes alors ce que tu à fais pour mériter cela, puis tu craques, tu fonds en larmes et tu finis par te convaincre que tu ne les méritent pas de toute façon ils ont raisons s'ils ne t'aimes pas c'est bien parce que tu es une moins que rien non?Tu te rabaisses sans cesse c'est alors que tu développe un complexe d'infériorité...Chaque jours est de plus en plus horrible, tu souris pour tes amis et tu caches tes bras sous des pulls pour ne pas montrer que tu es en détresses tu veux rester forte jusqu'au bout...
...Et puis un jour c'est trop alors tu prends un compas et tu commences à te scarifier, plus les blessures deviennent insupportable plus ton compas devient une petite lame frêle et tu passes à la lame de rasoir et les entailles deviennent profondes et saignantes mais tu t'en fiches tu as mal mais tu te sens tellement soulager, tu souffres mentalement alors pourquoi pas physiquement.?
...Jusqu'au jour où tu tombes dans le cercle vicieux des soirées alors tu bois pour essayer de noyer ton désespoir, tu bois tellement que tu n'arrives plus à te relever ni à marcher...le lendemain tu jure que tu ne toucheras plus jamais une goutte d'alcool en tremblant à coté des toilettes jusqu'à la prochaine invitation et tu recommences...Puis tu testes la cigarette alors tu fumes, pourtant tu connais les risques nocifs pour tes organes mais tu t'en fiches tu essaye tant bien que mal d'oublier..
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I'm fine..thanks
Документальная прозаOn dit que tout va bien, et puis un jour les blessures deviennent tellement profondes que l'on finit par tombé dans le désespoir...