Le Fruit du Péché

Chapitre†1†

"Je le sentais, j'étais coucher sur le ventre. Il me touchait, m'embrassait, ses mains visitant des endroits encore inconnues. Me faisant languir, j'étais au bord de la jouissance et j'entendais une vois lointaine, sa voix lointaine, sa voix rauque et envoûtante qui me disais 'Tu es à moi'

Je fus réveiller par mon sonnerie de réveil. Je leva la tête et jeta un coup d'œil se sur l'éveil. Oh, non, il est déjà l'heure dis-je en laissant tomber ma tête sur mon oreiller, mon amour c'est le seul qui me comprend quand je suis fatigué. En tant que héros, il faut avoir du courage, je me leva donc. J'étais allé me douché et m'abilla en suite en vitesse. Je descendis en bas préparant le petit-déjeuner.

Je mis un pour oncle Vernon et tante Pétunia, l'autre pour Dudley. Je monta à l'étage avec 3 plats, un sur ma tête et les autres sur chacun de mes deux mains. Je frappa avec mon pied, la porte de la chambre d'oncle Vernon et de tante Pétunia.

Ah, oui! J'ai oublié de me présenté. Je suis Harry Potter, j'ai 15 ans, mes parents sont morts. Je ne sais de quoi sont mort mes parents chaque fois chaque fois que j'invoque le sujet à tante Pétunia, elle évite le sujet et ça à dont à me taper sur le système.
L'association famille d'accueil m'ont mit ici. Tante était la soeur de ma mère. Je ne sais pas qu'est-ce que mes parents leurs ont fait mais c'est qui est sur, ils ne me portent pas sur leurs cœurs. Petit, il ont commencé à me maltraité. On dirais Cendrillon avec sa méchante belle-mère et ses deux garces de filles sauf que au lieu d'une belle-mère j'ai une tante et un oncle, au lieu de deux filles et ben j'ai mon cousin. Je frappe à la porte de la chambre de mon oncle et ma tante avec mon pied.
- Entré entendis -je.
- Heu, désolé oncle Vernon mais je suis embrassé.

J'entendis des grognements, je ris qu'est-ce qu'il croyait, je n'ai pas 3 mains. La porte s'ouvre. Je vois apparaitre des grosses doigts de saucisse qui prend les plateaux entre mes mains.
- Vas apporter le plateau à Dudley, gros paresseux hurla la tronche de porc.

J' allais l' apporter, ouvrant la porte de Dudley. Leurs fils était tellement gros que je ne pourrais comparé la grosseur d'une baleine à celle de Dudley.
- Dudley réveille toi.
- mh, mh, mh.

Je lui donna une tape assez fort sur la tête. Il se leva tout de suite, et me regarde et me sourit d'un air moqueur.
- C'est bien gentil à toi de venir m'apporter mon petit-déjeuner, en passant où est ton tablier rose dit Dudley en riant.
Je soupirais tels père, tels fils non mais j'ai pitié de lui, mon pauvre, on ne savais même pas si il riait où il s'étouffait. On dirait qu'il avait un chat coincé dans la gorge. Qu'est-ce qui souffrait mes pauvres oreilles.
- Tu vas la fermer, pour commencer voilà ta bouffe.
- Si papa apprend comment tu me parles.
- Tu dis un mot et je dévale à tes parents que t'as des magazines pornos cacher sous ton lit, grosse vache dis je en souriant de toute mes dents.
Pauvre chéri, il était tout rouge comme une écrevisse après l'avoir passé à la casserole.
- Je prends ça pour un oui dis je en lui donnant le plateau.
C'est avec un grand sourire que je sort de la chambre.

Je monte à ma chambre, je prends mon sac, j'allais derrière mon lit. Je m'abaisse souleva le tapis si on n'appelait ça un tapis parce que ma chambre ressemblait à un cave comme je disais après avoir soulever le tapis. Je retire deux planches, à l'intérieur, il y avait un trou et où c'était cacher mes trésors. Un pendentif en or que m'avaient remis mes parents c'est la seule chose au monde que tante Pétunia et oncle Vernon ne m'ont pas prit et de l'argent, vous voulez savoir où je trouve cet argent et ben je travaille dans un restaurant comme serveur et aussi mes livres d'Yaoi, vous avez compris mesdames et messieurs, je suis gay mais malheureusement je n'ai pas de petit-ami, qui voudrait de moi de toute façon avec les cheveux marron et mes yeux vert que j'aime dommage que je porte des verres et un corps maigrichon. Je prends mes livres d'yaoi et les mit dans mon sac puis je sors, passant à la cuisine mangeant mon déjeuner. Je sors de la maison.

Ça faisait une trentaine de minutes que j'attendais le bus. Je m'ennuyais quand un bus se stoppa, les portes s'ouvrent et je monte. Je cherchais quelqu'un du regard parmis les élèves quand quelqu'un au cheveux roux me fait des signes, je souris et vint à sa rencontre. Je vous présente Ron weasley, mon meilleur ami. Je m'assis à ses côté.
- Comment ça vas, j'espère qu'ils ne t'on pas donner du fil à retordre, ce matin.
- Ça passe dis-je en haussant les épaules.
- On joue au FIFA cet après-midi.
- Ouais, carrément.
- Tu sais, j'ai entendu mes parents dire qu'il y avait deux personnes qui viennent embarqué dans la ville.
- Ah, oui, c'est qui?
- Un certain Malefoy et un prête, on dit que c'est lui qui va célébré la messe.
- Un Malefoy?, il y a déjà un Malefoy dans la ville dis je interloqué.
- Non, c'est son fils qui vient d'Allemagne.
- On ne voit jamais le père.
- on dit qu'il ne reçoit presque jamais personne dans son armoire.
- Dit Ron comment il est le manoir de Malefoy?coming-out pas mais des gens qui passe devant le manoir dit qu'il est effrayant.
- C'est louche, on sent que ses gens là cache quelque chose de mystérieux.
Ron hocha la tête à mes dires.
- Même que les gens raconte qu'il a tué sa femme et que sa tombe est sur ses terres.
- Tué sa femme et puis quoi encore dis je en roulant des yeux.

Je pris mon livre Yaoi et commença à lire. J'ai fait mon coming-out à mon ami dévoilant mes penchants sur les hommes, il l'a bien prit en disant"Fait ce que tu veux quoiqu'il arrive, je serai ton ami si un salaud te fais du mal. Il aura à faire à moi et à ma famille "C'est que la famille Weasley se sont des personnes gentilles.

Je me réveille, c'était toujours le même rêve. Un rêve exotique, je ne pourrais l'expliquer c'était le diable qui me tentais. Je soupire, je me lève, je m'agenouille devant le lit faisant un bref prière puis je me lève allant à la douche en suite je m'habille. Je me regardais dans le miroir. J'avais des cernes sous les yeux et mes cheveux de couleur noir tombant sur mes épaules et mes yeux de couleur noirs, j'étais affreusement pâle. Je sors de la chambre et passe à la cuisine.
- Bonjour mon père, bien dormi? Dit une femme rondelette de petite taille.
- Bonjour Martha, oui j'ai bien dormi et vous.
- Bien dormi. Pour vous, on dirait pas vous avez des cernes sous les yeux.
- Martha?
- oui, mon père dit la femme en souriant.
- Qu'est-ce que vous avez préparer ce matin dit il agacé par la tournure de la conversation.
- Pas la peine de répondre comme ça, si vous voulez savoir j'ai préparé du thé, 3 tranche de pain beurré. Je vous l'apporte.

Une minute après, la femme apparaît avec le plateau entre ses mains et un journal et le déposa sur la table et sorte où elle était entré. Prenant le journal, avant, lisant, ceux fut l'horreur. C'était écrit en grosse titre "30 corps retrouvé à la décharge ".