Confession

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Mon nom est Seijūrõ Akashi.

Née d'une famille riche j'ai toujours été au dessus des autres. A la mort de ma mère, mon père a commencé à être de plus en plus exigeant , il m'imposait d'être le meilleur dans tous les domaines même au basket , sport dans lequel m'avait initié ma mère .

Mon entré au collège Teiko était difficile notamment aux entraînements :c'est là-bas que j'ai rencontré de superbes personnes qui m'ont permis de vite m'adapter et d'être le meilleur.

Il fut un temps où la victoire suprême était le seul but de mon équipe , chacun a commencé à évoluer et ainsi trouvé ses atouts.

J'avais peur qu'ils m'abandonnent dans cette évolution . En tant que capitaine je devais être plus fort que mes coéquipiers car si non je ne pouvais plus joué avec eux. Je pense que c'est à ce moment que les yeux de l'empereur ont commencé à se manifester «parce que j'avais peur de perdre ».

J'ai rencontré de superbes personnes qui m'ont permis de bien passé mon collège tout en étant invaincus.

Avant notre entrée au lycée nous nous sommes fixés comme objectif de nous séparé afin de voir qui est le meilleur de nous 5, ou dirais-je de nous 6 .

J'avais choisi de rejoindre le club de Rakuzan : j'avais appris qu'il y avait les généraux sans couronne :je n'avais donc pas choisis cette équipe par hasard, je savais qu'ils étaient capables de surpasser mes anciens coéquipiers.

Il faut toutefois savoir que, ce qui fait la force d'une équipe se sont les détails(même les plus petits) : «les détails font la perfection , mais la perfection n'est pas un détail» disait Leonard de Vinci.

Mon entrée au lycée n'a pas vraiment été aussi compliqué que ça , car ils s'étaient déjà fait une image sur moi, d'un "homme invincible".
Cette situation était assez dur à gérer non seulement parce qu'il me considérais comme un Dieu mais aussi parce que tous les espoirs de l'équipe se tenaient sur moi .

J'avais donc le devoir de ramener mon équipe à la victoire, car sinon je devrais perdre toute crédibilité. Néanmoins j'éprouvais une ferme confiance en mes coéquipiers, c'est pour cela que je ne jouais pas tous les matchs . Mes yeux de l'empereur me permettais , non seulement de bien joué , mais aussi d'anticiper l'avenir : je savais donc que, quoi qu'il arrive mon équipe se retrouverait en final .

«Mon désir de gagner n'avais donc jamais été aussi fort qu'a cet instant»

Ma part d'ombreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant