Chapitre 15

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Voici le chapitre !! Oui ça fait très et même trop longtemps et j'en suis désolée mais il est sortie alors c'est le plus important nan !? 😊
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De retour chez moi avec mon cahier de maths sur mon bureau. Et oui les choses sérieuses commencent avec un putain de problème impossible à résoudre. Et je dois dire que cet instant rare avec lui me manque de plus en plus...

Il m'avait d'ailleurs raccompagner jusque devant ma maison et puis on s'est dis au revoir comme de simples amis. C'est un peut bizzare en y repensant. Toute la soirée il m'a embrassé, enlacé et puis on s'est quitté comme ça, juste un vulgaire "Salut !". Je n'arrive pas à penser à autre chose. Ce "Salut" sérieusement ! C'est pas lui qui veut m'embrasser à chaque occasion venu. Tu aurais pu là ! Tu aurais tellement pu...

Oh non Maxime tu es en train de tomber amoureux de lui...
Il te manipules pour sont plaisir et toi tu fais quoi ? Tu tombe amoureux de lui. Bordel que je suis naïf !

Il faut que je l'oublie.
Il faut que je passe à autre chose.
Que ne m'intéresse à mes études.
À mon avenir.

"Val: Hey Max, je peut te faire un câlin? Mon dos est réchauffé mais pas mon torse."

À mon...
Mon père.
Mes vrais amis!

"Val: Ahah j'aime te faire rougir.

Max: T'es un gamin.

Val: Et toi tu es ma princesse."

Je dois oublié son visage.
Ses yeux.
Sa bouche.
Sa voix.
Son sourire.
Son corps.
Son torse.
Ses bras.
Ses muscles.

Rhaaaaaaa !!!!
Valentin bordel pourquoi tu est comme ça !?

Je dois impérativement sortir de son piège, de son emprise...

Je ne dois pas être faible, je ne dois pas le laisser faire !
Ressaisit toi Maxime bon sang !!

Une tâche claire apparaît sur mes calculs, puis une deuxième et une autre.

Et voilà, maintenant je me met à pleurer.
Pourquoi !?
Pourquoi je suis si faible !?

...•••...•••...•••...•••...•••...•••...•••...•••...•••...

Mon réveil avais sonné depuis déjà une bonne dizaine de minutes.

Et je suis toujours allongé et en pyjama sur mon lit.

Je n'ai pas envie d'aller au lycée. Le simple fait de croiser sont regard me terrifie et je sens des frissons tout le long de mon corps. Je l'aime tellement que j'en ai peur.
Et puis il faut bien se rendre a l'évidence, il n'est pas fait pour moi et mon cœur n'est pas fait pour lui.

Père: Maxime dépêche toi on part dans dix minutes.

Et si j'y allais ? J'aurais Jordan avec moi et puis on va au lycée pour étudier j'y vais pas pour voir celui que j'aime détruire des vies aussi innocentes les unes que les autres.  Non impossible, je ne peux pas y allé, je vais rester chez moi tranquillement.

Max: je ne me sens pas très bien papa, je vais rester a la maison aujourd'hui.

Père: D'accord repose toi bien et ne fais pas de bêtises.

Max:  Ne t'inquiète pas.

Père: Super bon j'y vais à ce soir Max.

Max: Ouais a tout à l'heure Pa'.

J'entends la porte d'entrée se fermer dernière lui. Enfin seul, avec mes problèmes...

Je suis con, en fait la seul chose dont j'ai besoin c'est de compagnie pour me changer les idées, pour me conseiller, m'aider.
Mais je n'ai pas envie de parler, je préfère retourner aux pays des rêves où tout ce qui m'arrive est positif et me rend heureux.
Je vais dormir, juste un petit instant...

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Mais ce petit instant n'a malheureusement duré qu'une petite vingtaine de minutes. Ma tête est remplie de pensées et l'idée de dormir ne me passionne plus.

Je décide donc de descendre pour me prendre un bol de céréales et me poser devant la télé. J'arriverai bien à me changer les idées comme ça.

Mais rien à faire....

SORT DE MA TÊTE !!
Je t'en supplie, il ne faut pas que je tombe amoureux de toi!
Déteste moi !
Oublie moi !
Fait quelques chose !

Je monte les escaliers trois par trois et prends les premiers habits qui me viennent soit un simple jean troué aux genoux et un t-shirt rouge et blanc.
Mais qu'importe le style, j'ai très envie d'y retourner, c'est mal, mais j'ai le présentiment, le devoir qu'il faut que j'y aille.

Ce banc...il m'obsède...

Je parti de chez moi et couru dans la rue jusqu'à ce parc. Pourquoi m'attire t'il ? Je continue mon chemin avec un pas assez pressé et...comme hier...tout recommence...
Sur le banc, avec ça casquette noire, immobile.

Il fallait forcément qu'on déménage dans cette ville, que j'étudie dans ce lycée, qu'il tombe sur moi, que je sois gay, que je tombe amoureux de lui...

Il fallait forcément que toute cette histoire m'arrive à moi...

Un vent frais vit caressé mes cheveux et balaya l'herbe fraîche du parc. Les feuilles lâchèrent la corde qui leur donnaient la vie et tous suivèrent le courant qui les emporteront vers une mort certaine.
Telle est la nature, elle ne fait pas toujours bien les choses.

Mais elle me donna la force de m'avancé vers lui. Le vent guida mes pas et je me suis retrouvé en face de lui. La tête vide et le cœur ouvert.

Max: Valentin j'aimerais te parler.

Il n'avais pas sentis ma présence et je n'avais pas remarqué ses larmes.
Pourquoi pleure t-il ?

Max: Valentin...

Sans réfléchir, je passa mes bras autour de sa tête et enleva sa casquette.
Ses yeux bleus son à la fois inondés par les larmes et le rouge de la douleur. Une symphonie de couleur qui me toucha. Et dans un élan, je colla mes lèvres sur les siennes. Sans doute un moyen pour moi de le réconforter mais aussi de me soulager.

Je ne voulais plus quitter ses lèvres, l'idée de devoir parler ne m'enchanter pas. Je préférerais resté coller à lui et écouter ensemble la nature et voir passer le temps.

Mais comme tout baisé, il se termina...

On ne parlais pas, on se regardait, les yeux dans les yeux pendant un petit moment. Puis nos lèvres se sont liées pour une deuxième fois. Un baisé plus long, plus intense... Comme si elle s'étaient quittées une éternité.

Comment je pourrais détester cet homme a l'allure d'enfants fragile ?

C'est impossible...je l'aime trop...

Val: Maxime ?

Max: Je t'écoutes, que veux tu me dire.

Val: Qu'est ce que tu ressens pour moi? Qui je suis pour toi ?

Je n'avais pas prévu qu'il me pose cette question.
Que pourrais-je lui répondre ?

Pour moi la reponse est évidente, je l'aime.

Mais c'est trop tôt, je suis sûr que je l'aime, enfin je crois être sûr de l'aimer. Mais lui ? Et puis je ne peux pas tout lui avouer maintenant, pas dans cette situation.

Tout va trop vite, c'est beaucoup trop tôt...

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La fin cruelle 😈
Oui je sais cela fais un mois que je n'ai rien publié et je vous laisse avec cette fin. C'est cruel mais je n'y peux rien. C'est la magie de l'amour qui m'emporte vers cette fin unique et merveilleuse. 😁

Bon merci d'avoir lu et
Dabisous !!

Bye bye 👋👋

Ma nouvelle vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant