Prologue

58 1 0
                                    

Nous étions fin novembre, un froid glacial commençait à envahir l'atmosphère. Une odeur de marrons rôtis embaumait les rues humides. Le nez gelé et les joues rougies par le froid, je rentrais de l'hôpital. Cette journée avait été affreuse, puis-je dire la pire. Personne n'aurait souhaité cela. Un tas de questions me torturaient l'esprit. Des larmes perlaient aux coins de mes yeux, la rage et la tristesse faisaient une sensation âpre sur mon palais. J'aurais pu tout éviter, ne pas déraper et... Mais c'est trop tard. Tout est toujours trop tard de toutes manières.

Trop tardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant