Au premier regard

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      GâWynyMed était une simple servante travaillant au palais royal. En tant que Med, une place aux palais est une grande distinction pour quelqu'un de sa classe. Un revenue quotidiens avec un espoir de passer en classe supérieur, au travers d'un mariage ou même d'une promotion. Il est vrais que même avec son physique elle avait du mal a trouver sa moitié.

GâWynyMed était une femme-poisson à la beauté exceptionnelle, ses cheveux étaient d'un jaune pâle et doux, avec chaque courant qu'elle traversait ils bougeaient magnifiquement; et sa peau d'un blanc vitreux offrais un parfait contraste avec ses yeux rouge vermillon. Elle était la convoitise de plusieurs mâle de classe Din, pourtant son choix c'était porter sur un simple Bel, GâTepyBel. Elle passa alors de Din à Med, abandonnant ses privilèges.

Pour qu'ils puissent subvenir à leur besoins, GâTepyBel devint un guerrier, il devint GâTpyTyr. Peu après GâWyny et GâTepy eurent un enfant un petit garçons qu'ils nommèrent MàTepy. Malheureusement GâTepyTyr mourut lors d'une mission alors que son fils n'était encore qu'un bébé.

Grâce à des relation administrative GâWyny ne chuta pas de classe, elle put alors postuler comme servante au palais. Elle avait un horaire de travail qui l'obligeait a emmener son fils avec elle, tout les jours.

Un soir cependant alors qu'elle rentrait chez elle, son fils dormant tout emmitoufler dans sa longue chevelure brillante, de petite cris attirèrent son attention. Parmi les algues verte et duveteuses, déposer dans une coquille de bénitier ouverte en deux, deux bébé sirènes. Elles étaient petites et semblait tellement jeunes, pourtant il suffisait d'un regard pour se rendre compte de se qu'elles étaient. Leur grand yeux noir et la couleur de leur peau ne tromper pas, il s'agissait bien de sirènes Ma'o; c'est à dire à moitié requin.

GâWynyMed resta figé face à sa découverte. Même si ce n'était pas la première fois qu'elle voyait des ma'o, elle n'en avait jamais vue d'aussi prés. Leurs peaux étaient blanche presque translucide, à part aux coins de leur bouches et à la bases de leurs ailerons où elle était rose. Elles étaient grosses pour des bébés, elles ne devaient pas avoir plus de quelques mois pourtant à elles deux elles avaient la taille de MàTepy. En poussant leur petits cris leur bouches entrouverte laisser apparaitre leurs dents pointus.

Les bébé ma'o la regardaient de leur grands yeux noir, leur petites mains n'avaient même pas encore de griffes. Elle s'éloignât un instant et appelât autour d'elle; cherchant quelqu'un qui serai susceptible d'avoir déposer ces bébés ici. Quand elle eu disparu du champ de vision des enfants si mirent à couiner plus fort.

GâWyny sentit son cœur se briser au son de ces petit poissons sans maison. Elle approchât ses mains grande et rose de leur petites main bleu et rugueuse, elles étaient si petite qu'elles arrivaient à peine à enlacer ses long doigts. Elle étaient si jeunes, si... innocentes.

Le peuple ma'o était connut pour deux choses, leur force en combat et en général, et leur taille. les ma'o son tous d'une taille impressionnante, surtout les hommes qui peuvent mesuré jusqu'à 3 mètres de haut.

MàTepy, toujours dans le dos de  sa mère, escalada de ses mains fébrile la longue chevelure blonde. Il posa son menton sur son épaule, ses yeux fatiguer se posèrent sur les deux petites choses dans leur coquillage, il émit un petit "ooooooooooh". Il leur fit une grimace. Elles couinèrent et baragouinèrent des  sons s'apparentant un langage infantile.  

Finalement, ne voulant pas les laisser seule dans le froid, elle les prit avec elle.

Elle vivait dans une petit maison dans une partie éloigner du récif, elle était totalement intégrer à celui-ci. Creuser à la main il y a des années, elle paraissait minuscule vue de l'extérieur, juste une petit porte sans rien autour pour l'égailler à part une petite fenêtre où poussait une algue fleurie. En revanche de l'intérieur elle était beaucoup plus grande, une cuisine avec une fenêtre qui donnait sur le large un salon, une étage avec des chambres et un balcon bien cacher entre branche de corail fin et les algue duveteuse.

Une fois chez elle, GâWyny laissa son fils descendre de son dos et posa les bébés ma'o sur des coussin en éponge de mer. Pendant se temps elle chercha, dans sa cuisine de quoi nourrir son fils et les deux bébés. Comme il s'agissait de bébés ma'o elle savait qu'elles pourraient manger de la nourriture solide malgré leur jeune âge, du poisson frais aurait était idéal malheureusement il s'agissait d'un met rare en cette période de l'année et surtout très chers. Elle finit par leur donner la même chose qu'à son fils, des algues et quelques rare coquillages. Les petite dents des bébés facilitaient leur nutrition. Surprenamment, elles dévorèrent les algues et, à peu prés, tout ce qui pouvait passer prés de leur bouches et qui ressemblait vaguement à de la nourriture. MàTepy s'amusât d'ailleurs à lâcher quelque unes de ses algues pour voir les bébés tenter de les attraper pour les manger. Le spectacle avait l'air de lui plaire car ses rires résonnait dans toute la maison.

Voir son fils rire en éclats réchauffait vraiment le cœur de GâWyny, personne n'avait rit dans cette maison depuis la mort de GâTepy. D'ailleurs cela faisait plusieurs mois que personne n'était d'humeur à rire. Le Roi avait soudainement disparue lors d'une mission de reconnaissance dans laquelle il tenait à participer. Une mission qui avait lieu dans l'un des territoires les plus mystérieux et inconnue des abysses. La mission ne devait durer qu'un mois, mais elle s'éternisa. Et s'en que personne ne s'y attende l'un des soldat revint blesser. Après avoir était soigner il annonça que le roi était mort.

Suite à cela, le conseil prit la tête du royaume jusqu'au jour où la jeune princesse serait assez grande pour prendre sa place.

Après que les enfant ai étaient nourri et laver GâWyny les coucha dans la chambre de GâTepy. Étant encore petit il y avait assez de place dans le lit du jeune enfant pour y coucher les bébés. Elle les borda dans une vielle couverture qui sentait le corail en fleur et les viella jusqu'à se qu'elle puisse voire leur ventre gonfler et dégonfler sou l'effet d'une respiration profonde. En couvant du regard les orpheline elle se demanda se qu'elle aller faire d'elles, et doucement , au bruit des léger ronflement des enfant, elle s'endormit auprès d'eux.                  

L'honneur des sirènesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant