Chapitre 28: La mort de Ilva Giliberto

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Je suis née à New York, à l'âge de 5 ans ma famille est retourné en Italie pour les vacances, je me rappelle que ce jour , moi et arturo qui lui avait 8 ans, nous jouons dans le jardin à cache cache sans savoire que dans la maison, nos parents se disputaient encore.
Alors que moi et arturo nous arrêtons de jouer pour voir se aux se passer, mon père à dit à ma mère une phrase qui sera gravé dans ma tête à tous jamais.

"Tu m'a tromper et sa je le sais, tu va voir Ilva je vais laver mon honneur en te tuant bientôt et personne ne le sera !"

" va en enfer, tu mérite pas d'être le parrain de cette mafia ! C'est ton frère qui aurait......" Elle n'eut même pas le temps de finir sa phrase que mon père la gifle devant nos yeux.

Puis il sort laissant ma mère pleurer devant nous, moi et arturo avons eu toujours l'habitude de voire cette scène. Arturo lui avait pitié pour ma mère et part toujour lui faire un câlin pour la réconforter, sauf moi, je ne savais pas pour quoi j'agis toujours comme sa quand il y a une dispute, je les ignorent et je retourne jouer comme si de rien  étais, mais au fond si je faisait sa c'est par se que voir mes parents dans cette état me paraîssaient tellement normale, que je n'y faisait pas attention.

Mais jamais je n'aurais cru que ce jour arriverais, ce jour où ma vie et mon coeur, changerai. Ce jour , nous jouons comme d'habitude moi et mon frère, mais mon père arrive et s'approche arturo.

" mon fils chérie je tes acheter un jouet, regarde sa "

Mon père lui sort un flingue et le lui donnent.

" woow merci papa"

" et si tu allais le montrer à ta maman "

" ouai ta raison !"

ARTURO entre dans la maison, pour montrer à maman son sois disant nouveau jouets, moi et mon père nous le suivons.

" maman regarde se que papa ma ramener !"

" chérie c'est dangereux donne le moi, Bernardo est fou de t'avoir acheter ça !"

"Non c'est moi je te le donne pas "

Je voulais m'avancer pour me raisonné mais mon père mis sa mai  sur mon épaule et dit à arturo:

" arturo mon fils montre à maman que ce pistolet est un faux jouer en appuyant sur la gâchette "

"NON MON CHÉRIE NE L'ÉCOUTE  PAS, IL MENT !"

" MAIS MAMAN C'EST UN FAUX REGARDE "

Puis arturo appui sur la gâchette en visant ma mère sans savoir qu'il aller la tuer.

BOOOOM

Ma mère tombe sous nos yeux, devant son corp arturo traumatiser,  qui reste stoïque face au corp de ma mère, moi qui suis à l'arrière en train de verser des larmes par peur mais le seule qui étais content de ce spectacle étais bien Bernardo Giliberto. Depuis nous avons en mèner arturo à l'hôpital psychiatrique, il faisait des crise alors en lui donner des médicaments pour lui faire tous oublier et on a même inventé une histoire pour le protéger que ma mère c'est enfuis, tous le monde pensait que c'était vrais, tous le monde croyait que les Giliberto ne cachait que des petits secrets c'est pour cela que ma mère et partie mais personne ne sais que nous gardons un secret plus sombre que ça.

Voilà le début de la naissance du monstre que je suis moi Vito Giliberto et ce n'est que le début.

                           Fin

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