Mon nom est Jenny Bouron, j'ai 16 ans. Je me trouve pas particulièrement jolie. Je suis petite, je dirais... 1,57 du moins quelque chose dans le genre, j'ai le teint plutôt pâle, les cheveux lisses et bruns, ils ne sont pas très long, disons qu'ils m'arrivent au dessus de la poitrine, pour les plus grandes mèches car mes cheveux sont coupés de manière désordonnés. Mon visage est décoré de magnifiques boutons d'acné... Si, si, c'est adorable... Ouai non, en fait c'est dégueulasse, j'assume pas du tout ma peau acnéique et je ne m'aime pas pour ça.
Je suis en seconde dans un petit lycée de 1200 élèves en France.
Mon année de seconde est passé plutôt vite, enfin je trouve. Je ne suis pas une élève modèle non loin de la, je sèche pas mal les cours et je ne fait jamais mes devoirs, honnêtement pour moi l'école c'est une plutôt une corvée. Il faut être s'en cesse attentif à ce que nous disent les professeurs, il faut qu'on comprenne leurs leçons. Ouai je fais partis de cette catégorie de personne qui disent "Tu révise ? Pas moi j'y vais au talent" alors qu'on sait tous qu'on a pas de talent. Je suis aussi le genre de personne à demander les devoirs qu'il y avait à faire pour le jour même et puis je suis le genre de personne à passer son temps devant son téléphone, pour... Juste pour ne rien faire.
Les cours et l'école ne m'intéresse en aucun cas. Pour moi, les choses les plus importante ce sont les amis et la famille. Mes amis peuvent compter sur moi, lorsqu'ils ont des problèmes et je peut compter sur eux, et ma famille est un véritable pilier pour moi. Surtout ma mère. Il y a trois ans, mes parents on débuter une procédure de divorce. J'étais encore au collège à ce moment là. Je me souviens de tout, comme si tout c'était passer hier, d'un autre côté, ce n'est pas le genre de choses qui s'oublie du jour au lendemain. Non, ça vous colle à la peau, pour toujours. Ça vous reste en tête pendant longtemps, ça vous change, vous transforme, ça vous détruit, de la pire manière possible.
Mais laisser moi vous racontez comment moi j'ai vécu cela. Comment ça m'a détruit et changé en ce que je suis devenue maintenant.C'était un Jeudi soir. Ma petite soeur Lana est subitement rentrée dans ma chambre et elle me dit qu'elle pensait que notre arrière grand père était mort car notre mère venait de sortir de la maison, en pleurant. Je lui répondit alors d'aller voir notre père et de me laisser tranquille. Même pas deux minutes plus tard, ma soeur rentra de nouveau dans ma chambre et elle me dit que notre père l'avait renvoyée chier. Ce n'est que le lendemain matin , que nous apprenons la triste vérité. Juste après avoir mis son mascara, notre mère, sous nos prière, finit par nous dire que notre père ne l'aimait plus.
Vous pensez que j'ai pleurer ? Non. Durant les premières minutes je n'avais qu'une phrase en tête: c'est une grosse blague.
Ce n'est que lorsque j'arriva à l'arrêt de bus que j'éclata en sanglot. Le lourd poids de la réalité m'avait alors rattraper et tel un revolver il avait transpercé mon coeur. J'ai pleuré pendant toute la première récréation, et j'ai cesser de sangloter pour le premier cours. Mes amis m'ont beaucoup aidé et je n'ai pas pleurer durant le reste de cette journée, bien sûr c'est sans compter le soir, après les cours, quant on dois rentrer à la maison. C'est à ce moment là que c'est le plus difficile, ce moment où on doit faire face à ses parents, ce moment où on découvre la suite des événements future.
Pour le weekend, ma mère est partie chez notre grand mère, et c'est notre père qui s'est occupé de nous.
À ce moment là je compris que plus jamais je n'aurais une famille heureuse, que plus jamais, nous ne serons ensemble, ni pour les fêtes de fin d'année, ni pour les anniversaires. Je me suis alors souvenue que lorsque j'étais petite, je pensait être comme une petite princesse, je pensais que mes parents resteraient ensemble jusqu'à leur mort. Je pensais que nous resterions ensemble pour toujours... comme la vie c'est bien moquée de moi.Deux semaines après, un vendredi, après mes cours, je m'apprêtais à monter dans mon bus, lorsque j'aperçus mon père. Il me ramèna à la maison et pendant le trajet, il m'expliqua qu'il nous emmenait chez sa... copine.
Nous fîmes nos sacs et nous partîmes rejoindre cette inconnue.
La première fois que nous la rencontrâmes, elle semblait gentille, ouverte et calme. Entre nous, nous l'appelerons "ELLE" car je ne souhaite pas la nommée. Je me souviens encore de ce dimanche, où notre père nous a ramené chez notre mère, ce qui nous arriver jusqu'à notre majoritée. C'était pendant le trajet, il nous avait demander comment on la trouvais. Je me souviens de n'avoir rien dit, de ne lui avoir rien dit, car je ne voulais pas qu'il sache ce que je pensait de cette femme, car au fond de moi, je savait que je ne l'aimait pas, et que je ne l'aimerais jamais.
En effet, je n'ai jamais accepté la relation de mon père avec ça nouvelle compagne.
Lorsque j'étais en 4 ème, la situation changea. En début d'année scolaire, notre père nous Annonça que sa compagne était enceinte. Ma soeur fus contente d'apprendre cela, elle se disait "cool une nouvelle petite soeur" et mon frère aussi. Il n'y a que moi qui ai mal vécu cette nouvelle. Mon père ne s'occupait pas tellement de nous, du moins de manière négligée et savoir que quelqu'un nous prendrais le peu de place qu'il nous restait me faisait peur.
Le divorce n'était pas terminé, même si les preuves avaient été déposées et qu'il n'étais plus possible dans donner je le prenais vraiment mal, c'était... Au début de la procédure de divorce ma mère commença des séances chez le psychologue. Et je n'allait pas tarder à faire de même.
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Une Histoire...
RandomJe vais vous racontez des histoires, celles d'adolescents "normaux". Des histoires douloureuse. Des divorces, des disputes, des gestes pourtant anodin. Tout peut blessée un esprit fragile, absolument tout. Peut être que vous vous reconnaîtrez dans...