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Il sortit un couteau suisse et l'ouvrit, laissant sortir une petite lame bien tranchante, il commença à la faire passer sur mes bras et mes jambes dénudés car j'étais encore en pyjama. Parfois, il appuyait pour me faire mal et laisser quelques marques sur ma peau sensible voire trop sensible.
Il arrêta la lame sur mon poignet droit et planta lentement la lame dans ma peau, à peine, à quelques millimètres d'une de mes veines.
La douleur me prit, et je sentais déjà le sang sortir.
Je mordit ma lèvre, ne voulant pas crier dès le début.

???: Tu as le droit de crier...

Il se rapprocha de mon oreille.

???: Ça fera plaisir à ton ami, de te voir avoir mal.

Il commença à faire bouger la lame dans la blessure puis il commença à la retirer et la réinsérer dans la blessure. Il savait que ça faisait extrêmement mal.
Il retira enfin définitivement la lame, puis ordonna à l'un des hommes d'aller chercher quelque chose pendant qu'il continuait à me faire plusieurs coupures sur les bras.

La jeune fille arriva vers moi et me dit.

Jeune Fille: Ça s'était pour avoir parlé à Daehwi.

Elle me planta une seringue dans le cou et appuya pour faire rentrer le liquide dans mes veines.
Au bout de quelques minutes, j'avais mal partout et je me sentais flasque, je ne pouvais plus bouger, mais je ressentais la douleur, encore plus qu'avant.

Les heures de tortures me parurent des années voire des décennies, je souffrais le martyre et je ne voulais qu'une chose, que tout cela s'arrête. J'avais tout eux là: mutilation, brûlures, coups et blessures... Toutes les citer serait bien trop long.
Après un moment, la jeune fille et l'autre gars partirent, après avoir bien vérifier que nous ne pouvions pas sortir Daehwi et moi, nous laissant plus que nous deux et l'agresseur.
L'homme avait enlevé les liens que j'avais aux bras et avait totalement détaché Daehwi pour le laisser se dégourdir les jambes, il nous regardait au loin.

Dès qu'il fut libéré, Daehwi couru à moi et me prit dans ses bras, il commençait à pleurer.

Daehwi: Je suis tellement désolé... J'aurai jamais dû exister, tu n'aurais pas vécu ça... C'est de ma faute.

Moi: Ne dis pas ça

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Moi: Ne dis pas ça...

Il regardait tout les blessures que j'avais, ils s'étaient bien amusés sur moi.

Daehwi: J'essaierai de te faire sortir, je te le jure.

Moi: Tu ne pourras pas, il me veulent moi pas toi, ils veulent juste que tu me vois souffrir.

Je lui caressa la joue.

Moi: Ça va aller Daedae... Arrête de pleurer.

Homme: J.Y Park va être content !

Moi: Quoi ?

Homme: Tu n'a pas remarqué tout ce qu'il y a autour de toi ?

Je regardais quand-même, je n'avais même pas remarqué, les caméras tout autour de la pièce.

Daehwi: Vous avez...

???: Ouais, tout ceci est en live depuis ce matin.

Moi: Oh non...

???:  3 878 369 personnes vous regardent en ce moment. Je parie que même les membres de vos groupes le regarde.

/ Et moi qui voulait juste que personne ne sache tout cela et bah, c'est mort \

Homme: Bon Hanna, je t'ai laissé assez de temps pour te remettre de tout à l'heure, faut que je te fasse quelque chose avant de partir.

Daehwi se leva, faisant face à l'homme bien plus grand que lui d'au moins une tête et demi voire deux
Il sortit un couteau de sa poche et le pointa à quelques centimètres de la gorge de l'homme

Daehwi: Vous allez nous laisser partir maintenant ! Sinon, je t'égorge maintenant ! Même devant tout le monde, ça ne m'embêterait pas.

Ce qu'il venait de faire était une mauvaise idée.
L'homme masqué réussi à le desarmer extrêmement facilement et le plaqua contre l'un des murs.
Il le roua de coups, Daehwi tomba inconscient au sol.
L'homme arriva vers moi et pointa un pistolet sur ma tempe.

???: Vous commencez à me saouler vous deux...

Il descendit l'arme et tira dans ma jambe. Cette fois, je ne m'étais pas forcée à ne pas crier.
J'essayais d'appuyer sur ma blessure pour l'empêcher de saigner . L'homme me planta une seringue, me détacha et me porta jusqu'au canapé.

???: Tu sais que tu me fais envie depuis tout à l'heure, t'as un beau corps pour une gamine, je vais arrêter de me retenir.

Moi: Dégage con**** !

???: On parle pas comme ça à son daddy.

Moi: Laisse moi, pervers !

Il s'était mis au dessus de moi et commençait à me déshabiller.
Je criait le plus que je le pouvais mais il me mit à nouveau du scotch sur la bouche.
Je bougeait dans tout les sens malgré que ma jambe saignait et me faisait un mal de chien.
Je me retrouvait rapidement en sous-vêtements, il commençait à faire passer ses mains sur chaques parties de mon corps.

Moi: Laisse moi tranquille ! Lâche moi !

Il prit l'emprise de mes lèvres pour me faire taire et bloqua mes jambes et bras.
Je ne pouvais plus rien faire, il m'avait bloqué, je ne pouvais plus bouger.
/ Il va vraiment me violer devant des millions de spectateurs... Ma vie va se résumer à ça... \
Je commençais à pleurer, il me faisait mal et serrait mes poignets fortement.
Il commença lui aussi à se déshabiller, il allait commencer. Quand il se laissa tomber de tout son poids sur moi après un bruit qui m'assourdissa les oreilles.
Un liquide commença à couler sur moi.
Je le poussa avec le peu de force qui me restait et réussis à me lever du canapé, j'examina mes poignets rougis par sa force puis examina mon corps, j'étais pleine de sang mais pas du mien, celui de l'homme.
J'arrivais difficilement à tenir ou même à réfléchir sous le choc.
Je sentis un à un mes sens me quitter.
Je me laissa tomber.
/ Je...meurt \

Un Amour Entre Idols [ En Réécriture ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant