Margaux, la voix de la jeunesse.

Chapitre I : Le commencement

C'était un jour que Pauline, et Michael n'allez pas oublier. J'avais attendue 9 mois enfermé dans le ventre de Pauline, c'était si sombre ! Le 7 novembre 1980 je me décide enfin à sortir ma petite tête de la. J'étais tellement heureuse de voir la lumière du jour que je pleurer de joie. Je pouvais enfin découvrir la tête de mes parents. On demanda à mon père le nom qu'il avait choisis puis c'était décidé, je m'appelais à présent Margaux. Après 9 mois enfermé dans « le ventre tout noir et rond » j'avais désormais une identité. Apres ca on me donna directement à mon papa car ma maman était extrêmement fatiguée. Alors que ma mère s'endormit, on alla directement me peser avec mon papa, on m'annonça alors que je pesé 2.9 kg. Pauline se réveilla puis me pris à son tour dans ces bras, j'étais si fière de voir enfin ma maman. Malheureusement je ne pouvais pas encore parler, et j'avais très faim, alors j'essayer de me faire comprendre comme je le pouvais. Quelques jours plus tard nous somme sortit de l'hôpital, Mes parents mon fait visiter notre maison, et puis j'ai fait connaissances des animaux de la maison aussi ! Ils m'intriguent déjà tellement. Voilà maintenant 2 mois que je réveille mes parents tous les jours à 8 heures précise, pour boire mon biberon. A croire que j'avais une horloge dans la tête, enfin seulement pour manger, et oui j'étais déjà une grosse goulue. Je dormais avec mes peluches, je mangeais, mes parents me balader, bref j'avais une vie de bébé banale. Mes cousines venaient me voir souvent quand elles étaient là c'était magique ! Comme je n'avais pas de sœur je me sentais seule, bon j'avais toujours mes 3 chats, un roux et blanc, un gris et blanc, et une autre noire blanche et rousse. Ma maman voulait acheter un Basenji c'est une race de chien de chasse, mais elle voulait d'abord que je sois un peu plus grande. Aujourd'hui on est le 7 Novembre 1981 ça veut dire que... C'est mon anniversaire ! On n'avait invité toute notre famille il y avait mes grand-mères et tous leurs filles et fils, et tous les petits fils et petite filles. J'étais la petite dernière, celle que tout le monde adore, parce qu'elle a une bouille trop mignonne. On m'apporta alors un gâteau énooooooorme avec une espèce de tige avec du feu. C'était tellement beau, je devais l'éteindre et tout le monde m'aida à le faire. J'avais l'impression que c'était la bonne famille, avec la bonne ambiance. Ce jour-là tout le monde me regardais et m'offrez des jouets par millions.

Quelques mois plus tard c'était Noel, il y avait de nouveaux toute notre famille... Mais je vis un intrus arrivé un grand gros bonhomme rouge avec un énorme barbe blanche, soudainement il prit mes joues et me les tiraient dans tous les sens, ça me faisais mal ! Et mon père qui me portait, il ne disait rien à ce monsieur bizarre, il aurait pu me défendre quand même ! C'est alors que je ne puis m'empêcher de pleurer toutes les larmes de mon petit corps boudiné, j'avais tellement mal aux joues. Ce monsieur a barbe blanche s'en alla tout de suite après, à croire que j'avais trouvé quelque chose pour me défendre, c'est à partir de ce jour que j'ai adoré pleuré. Je regardais alors ma maman manger puis m'endormit dans ces bras. Plusieurs heures étaient passé et je me retrouver entrain de dormir dans un endroit que je ne connaissais pas, c'est alors que je me suis mise à hurler de toutes mes forces pour qu'on vienne me chercher, j'en avais assez, je voulais voir ma maman. Malheureusement, ce n'était pas maman qui étais venu me chercher, mais ce foutu homme a barbe blanche ! C'est alors qu'il me dit « Regarde j'ai des cadeaux pour toi » Mais moi je n'en voulais pas ! Je voulais juste ma mère ! A croire que j'avais déjà mon sale caractère. Il devait être tard le soir quand ça c'est passer, je me suis dit que ma mère et mon père devais déjà dormir, alors j'ai vite abandonné, mais cette homme me faisais toujours aussi peur, c'est alors que je décidai de faire semblant de dormir pour qu'il me laisse enfin toute seule ! Le lendemain j'étais de nouveau chez moi, je retrouvé ma vie habituelle, calme et apaisante, entendant le bruit des vaches et des oiseaux en me levant pour boire mon biberon. Ma mère qui parler calmement à mon père. Notre beau jardin et nos belles promenades en famille. J'étais le bébé le plus heureux du monde, tout se passer bien du moins de mon point de vue.