Peut-être...

Partie. 2

  Un dernier coup de tonnerre se fait entendre avant que l'électricité saute, nous étions plonger dans le noir complet, les gens commençaient à paniquer, la musique avait laissé la place à des cris d'étonnement et de peur pour certains... 

 Un homme éleva alors la voix, ordonnant alors de garder son calme, à ma grande surprise ça avait fonctionner, maintenant régnait un silence perturbé par le grincement du bois, certains élevèrent leurs téléphones portable en guise de lampe torche, et d'autres essayais de sortir à l'extérieur au plus vite guider justement par ceux qui y était déjà. Moi, je voulais aussi sortir, la grange me semblais  bien moins sûr qu'avant... Je craignais soudain que toutes ses poutres et ses murs en bois ne tienne pas, et le grincement qui en émanais ne m'aidais pas du tout à me rassurer. Je tente de me repérer, sans réelle succès, je trébuche, comme si j'avais besoins de ça maintenant, je tente de me relever, impossible. Je devine mes pieds emmêler dans différents câbles, j'essai alors de me libérer mais sans lumière j'ai juste l'impression d'empirer les choses. Je respire un bon coup, la grange n'était pas encore tout à fait évacuez, pourtant j'entendais crier, je ne savais pas ce qui se passais, de là ou je me trouvais je ne pouvais voir que les coulisses, et encore... 

Je paniquais, il se passait quelque chose... des blessés ? Non... C'est alors qu'une odeur de brûler vint à mes narines, je regardais les coulisses, une légère tinte orange apparue légèrement sur le côté, la sois-disant sortie des coulisses... Ma porte de sortie avait disparue, si encore j'arrivais à me sortir de se merdier... Je paniquais, mes gestes était rapide, j'essayais de libérer mes pieds avec la force, je n'avais plus le choix, mais c'était aussi sans succès, c'est vrais quoi qu'est-ce que je croyais ? Briser des câbles à mains nus, c'était peine perdu. L'odeur se faisait de plus en plus insistante, alors je criais à plein poumons, encore et encore, à la limite d'éclater en sanglot, je pensais que j'était finis, que j'allais bêtement mourir ici, carboniser sans pouvoir bouger, sans pouvoir fuir... Cette fois, je pleurais, vraiment, je ne pouvais les retenir indéfiniment, si j'allais mourir, autant me laisser aller, la fumer commençais à envahir entièrement la grange, je sentais mes yeux pris de picotement, ma gorge se serrer, la boule au ventre, la peur m'avais complètement envahie, comme la fumer commençais à envahir mes poumons. Je toussais, je tentais quelques derniers cries étouffer... Mais personne, personne n'allait venir... J'était maintenant allonger sur le plancher poussiéreux, fixant le plafond, une main sur mon abdomen, les larmes ne cessaient de s'échapper de mes yeux, je toussais... Mes poumons était en feu, et cette sensation était plus qu'horrible... Je levais les yeux, pouvant apercevoir les flammes s'approcher de plus en plus. Je voulais que ça se termine. J'était moi même étonner, mais je ne voulais plus avoir ses sensations douloureuse en moi, j'était perdue... Plus je respirais, plus ça me brûlais. Je ne savais plus ce que je devais faire.

Finalement, je me releva, avec les dernières forces qui me restaient, et pour cause : j'avais entendu une vois, ou plutôt deux... Dans un élan de courage je fit tomber l'une des lampes en tirant sur un file, j'espérait que ça suffirait, je l'espérait de tout mon cœur... Mais pour moi, s'en était trop, ma vision devenait flou, les bruits autour de moi se faisait de plus en plus silencieux et puis plus rien, le vide, le néant. Mes dernières pensées allèrent vers ma famille, tout ce que j'avais fait, mes camarades, mes amis,et puis Sarah... Je ne savais pas pourquoi, mais c'était son visage souriant qui me vint à l'esprit en dernier... Sans même m'en rendre compte un léger sourire se dessina pendant quelques millièmes de secondes sur mes lèvres avant que je ne sombre dans le vide pour de bon.