Toi // Drarry fanfiction française//

chapitre 94

Pdv Harry:
Je me porte malade toute la journée pour éviter de porter la cravate de Drago. Je me retrouve donc à l'infirmerie. Apparemment quelqu'un à fait de même puisque Drago me rejoint plus tard dans la journée... Dès que nous croisons nos regards nous étouffons un rire qui se transforme vite en toux sèche pour que Madame Pomfresh ne se doute de rien. Crabb et Goyle était venus rendre visite à Drago ne sachant peut être pas qu'il simulait. Ils parlaient en murmurant. C'était très perturbant de ne plus voir Drago à travers ses deux débiles d'acolytes... Je me demande bien ce qu'ils voulaient lui dire mais vu la tête que Drago avait fait après cette discussion je décidais de garder cette question pour moi. Il était encore plus blanc que d'habitude... Le soir, Madame Pomfresh nous mit à la porte en disant que ce que nous avions n'était pas dangereux. Nos affaires à la main, nous échangeons nos cravates. Le contact de ses doigts contre ma peau me fit rougir...
Pdv Drago:
Je mis mon pantalon et redescendis les escaliers. Les filles étaient maintenant en train de jouer aux échecs. Pansy et Blaise étaient sur le canapé. Je me disais qu'il vallait mieux aller à l'infirmerie pour cette journée. Je ne fus pas déçu Harry y était déjà. Le fait qu'on ait eu la même idée me paraissait drôle. Lui aussi eut un petit rire avant que nos rires se transforment en fausse toux. Madame Pomfresh m'installa dans le lit à côté de Harry. Dans la journée, Crabb et Goyle vînrent me parler.
《- Il ne te reste que 1 mois à peine pour accomplir ta mission en tant que... Enfin tu sais pour V... Pour celui dont On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Me murmura Goyle. Sinon tu sais très bien qu'à la fin de l'année tu ne survivras pas.(une pause). À part si un miracle apparait au dernier moment pour te sauver...》 Crabb fit une tape sur l'épaule de Goyle et ils partirent. J'étais devenu vide de toutes émotions. Le soir venu, Harry et moi sortons. Devant la porte, Harry me tend sa cravate je fis de même et nous l'échangeons. Mes doigts touchent sa peau; il rougit...