💕Chapitre 3: Late night ride.

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Après une longue balade à se raconter nos vies il me propose un night ride comme on les aimes pour découvrir les environs.

On marche côte à côte jusqu'à sa voiture, vous vous en doutez, c'est une Mercedes noir matte à toit ouvrant. C'est tellement beau un night ride les cheveux en l'air et tout, j'adore.

Stephen: À toi l'honneur, me dit-il en me montrant un sourire à la Colgate.

Madison: Est ce que je peux te demander un petit service.

Stephen: Tout ce que tu veux Vairon.

Madison: On peux se prendre de la nourriture à emporter, je meurs de faim.

Stephen: Avec grand plaisir, et tu ne cesseras jamais de me surprendre.

On monte dans la voiture, direction Burger King (choix de monsieur bien sûr).

On se commande à manger, on attend quelque petite minute et nous voilà prêt à nous éclater cette nuit.

On rigole, on discute, on chante, on se sent bien, et j'en suis choqué de pensé que c'est qu'avec lui et Fenn que je me sens le mieux possible.

Stephen: Ça te dis on teste nos talent de chanteur?

Madison: Je ne sais pas trop je ne suis pas douée et c'est gênant, tu vois.

Stephen: Alors la si tu te trouve pas douée attends de m'entendre chanter, tu écouteras du Shawn Mendes en live. Qu'est ce que tu en dis ?

Madison: Vas-y, après on ne perd rien. Je commence ou tu commence?

Stephen: Un petit pierre papier ciseaux pour savoir. Pierre Papier Ciseaux!

Qui mets papier en première manche, et bien lui, le seul et l'unique. Donc à la fin, c'est à moi de commencer.

Je suis assez gênée devant lui, mais on ne perd rien comme j'ai dis donc voilà.

Je branche mon auxiliaire à sa radio et mets une chanson au pif. Lorsque le rythme de changes commence, je me lance. (Chanson en multimédia).

Je chante pendant un petit moment avant de m'arrêter. Sincèrement, je me suis pas mal débrouillée pour être franche. En plus ce n'était pas une chanson difficile pour moi donc voilà.

Stephen: Pouah, je ne suis pas douée elle a dit. Tu chante sacrément bien. Ah oui tu fais la modeste, elle fait la modeste.

Madison: Je ne fais pas la modeste, je me trouve pas douée c'est tout.

Stephen: Madison, tu as une voix incroyable, je pourrais t'entendre chanter toute la vie, je ne te demanderai jamais de te taire. Je suis vraiment sérieux. Tu es parfaite, vraiment.

Madison: Ça me touche ce que tu me dis, mais les petits mensonges rassurants, c'est assez démodé hahaha.

Stephen: Ce n'est pas du tout des mensonges, pourquoi un être aussi beau et aussi parfait que toi se dévalorise autant?

Je me tus, parce que c'est exactement les paroles de Fennsye la folle. Je me rends compte que je dois me reprendre en main, parce que là je suis ridicule.

Pourquoi je ne peux pas m'aimer comme tout le monde. J'y arrive pas, et c'est devenu encore pire après la mort des parents, mais bon, c'est la vie, hein.

C'est à son tour de chanter, et à ce moment même mes oreilles sont entrain de saignée, je vous le jure. Je souffre, aider moi.

Lorsqu'il fini, je lève les mains au ciel, faisant semblant de remercier dieu, qu'il ai fermé sa bouche, parce que je n'en pouvais plus.

Stephen: Arrête ça tout de suite ou je te fais descendre de ma voiture.

On se regarde pendant une demi seconde, et on éclate de rire. Il a été obligé d'arrêter la voiture, tellement on est en fou rire.

Lorsque j'arrive à me calmer, je me retourne vers lui, et le trouve entrain de me regarder. Il est tellement beau (multimédia).

Madison: Quoi, qu'est ce qu'il y'a ? Pourquoi tu me regarde comme ça?

Stephen: Je peux te re embrasser?

Madison: Tu peux toujours essayer, avec les fried onions que je viens de manger, le baiser va être délicieux.

Mais il le fait quand même. Il s'avance vers moi, prend mon visage en coupe entre ses grandes mains, et m'embrassa avec une délicatesse incroyable. Je suis sur un petit nuage en ce moment moi.

Stephen: Comment ça se fait que même avec un goût d'oignon dans la bouche, je trouve mon petit gâteau aussi délicieux et sucrée qu'avant ?

Madison: C'est sûrement mon baume à lèvres, il est à la cerise et il est sucré aussi.

Stephen: Débile. Rigole-t-il. Tu me plais Vairon, vraiment. On se reverra n'est ce pas?

Madison: Tu m'as dans la peau, on ne se débarrasse pas de moi aussi facilement.

Et sur ce nous continuons notre balade à la belle étoile. Les cheveux dans le vent, le ventre plein, une bombe atomique à mes côtés, et je suis comblée.

Et sans m'en rendre compte, je sombre dans un sommeil profond, qui mène directement au monde des rêves.

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PDV Stephen

Je me retourne, et la trouve endormie, serrant mon sweat entre ses mains.

Elle est tellement belle, gentille, bonne compagnie, tout ce que vous voulez. Je me sens bien avec elle, je me sens moi, vraiment moi,
je n'ai pas à me méfier de ce qu'elle me veut où si elle en veut qu'à mon argent. Elle ne me connais pas et c'est très bien comme ça.

Arrivé devant ma maison, je décide de la porter jusqu'à ma chambre, où je la couche sur l'énorme lit King size.

Lorsque je vois que je l'ai bien installé, je lui mets la couette dessus, parce que devant la mer il fait assez froid la nuit.

Je me mets un petit sac de couchage bien chaud juste à côté du lit, pas trop loin d'elle, comme ça si elle a besoin de moi, je serais là.

Je me dirige vers la salle de bain me brosser les dents et reviens où le destin me mène (non je rigole). Je me mets un jogging, enlève mon t-shirt et m'allonge, pensant à ma journée. Elle est plutôt bien réussis, ma soirée c'est passé au top, le but recherché y étais.

A la fin être un homme normal pendant au moins une soirée m'a fait un bien fou.

Et sur ce, j'atterris en plein dans les bras de ce bon vieux Morphée qui me berce jusqu'au petit matin.

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Un petit chapitre vite fais, juste avant que moi aussi j'atterris en plein dans les bras de Morphée comme le dit notre cher Stephen.
J'espère que ça vous a plu
Je vous aimes
Bisou de moiii❤️❤️❤️

Not as I expected.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant