Histoire de vie

CHAPITRE 1 ; TELMA

Hey, c'est pour la première fois que j'écris donc j'aimerais savoir quand vous aurez fini ce que vous aimeriez avoir comme suite de l'histoire, parlez moi en commentaire. 

Bonne lecture à vous.

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Vue sur une grande vallée on n'aurait jamais cru qu'elle aurait aimé la campagne un jour.

Vous deviez surement vous demander qui était cette jolie fille qui habiter les endroits urbains, qui n'aimer en aucun cas les espaces vert, le calme, le peu de population et pleins d'autres choses ? Demanda-t-il à son petit-fils Eliott et à sa petite fille Elena.

Peut-être que c'est mieux comme ça, de garder le suspens de cette jolie demoiselle qui loge à quelques kilomètres de chez nous, qui se lève tous les jours vers 6h30 du matin pour aller courir et faire des étirements pendant deux bonnes heures, puis qui reviens vers 8h30 pour prendre une douche et donner un coup de main à ses grands-parents Brigitte et Carl qui ont besoin de soutiens après le décès de leurs fils Clément dans un accident de voiture. Grace à elle, ils arrivent à oublier et à passer à autre chose. Enfin pas totalement, car les murs de chez eux sont encore pleins de cadres où ses photos apparaissent, mais cela est tout à fait normal, c'était leur enfant unique. Brigitte ne pouvais plus avoir d'enfant après avoir lutté contre le cancer pendant quelques années, c'est même la raison pour laquelle elle a dû quitter la ville pour s'installer à Telma, petit village de campagne loin des regards mal sains, ici tout le monde est sympas et généreux, prêt à s'aider, c'est ce qui le rends si unique.

Mais revenant à leur petite fille dont j'ignore le nom, mais dont je sais tout... oui ça devrait vous paraître bizarre d'entendre ça, mais c'est tout à fait vrai, leur-dit-il.

Qui n'aimerait pas venir à Telma pour se ressourcer ? C'est magnifique ici ! Tout le monde adore venir ! Dit Elena, d'un air fâcheux.

Je ne l'ai jamais vu, je ne voudrais pas la juger mais cette fille dont tu nous parle m'a l'air très sophistiqué grand-père René. Répondit Eliott.

Comme toutes les jeunes adolescentes de son âge, elle aime s'habiller, se pomponner et se faire jolie, non pas pour plaire aux autres mais pour son bien être personnel, pour se sentir mieux dans sa peau et s'assumer tel qu'elle est. Par exemple toi, Elena, tu as certaines amies de ton lycée qui s'achètent des vêtements de marque, tu les as accepté tel qu'elles sont, pourtant tu n'es pas le même genre de fille. Suggère René.

Comment ça pas le même genre ! C'est juste que tout ça n'est pas fait pour moi, j'ai d'autres occupations dans la vie grand-père tu le sais ! Comme par exemple choisir mon université, et finir mes études ! Et puis se ne sont pas mes amies, c'est juste des connaissances, des petites princesses qui ne savent rien faire à part se critiquer ! Et là je dois aller au travaille pour être payer comme une citoyenne normale n'es pas grand-père ! Dit-elle, en lui faisant un bisou sur le front.

Puis s'en alla à la bibliothèque où elle y travailler chaque jour pour se payer l'entré à l'université de son choix mais elle y prenait plaisir car elle adorait la littérature donc elle ne faisait que lire des bouquins. Ce n'était pas facile pour elle, car les filles au lycée la traitaient comme une serveuse, elles l'obligeaient à faire leurs exercices, elles l'enfermaient aux toilettes, et se moquaient d'elle tous les jours. Mais elle arrivait à passer au-dessus de tout ça, et se disait que ce n'était que temporaire.

Sur le chemin vers la bibliothèque, en pensant à son mal être et au manque de ces parents qui n'ont jamais vraiment était là, elle se dirigea vers l'épicerie pour s'acheter un gouter car elle y rester pendant des heures... En ouvrant la porte elle se cogna la tête contre celle d'une autre demoiselle, mais ce qu'elle ne savait pas, c'est que c'était la fille dont son grand-père lui avait parlé.