Le son d'un coup de feurésonna entre les bâtiments, brisant le silence de mort qui régnaitdans les quartiers paisibles aux environs. Puis, un autre coup de feuretentit, et plus discrètement, quelqu'un s'effondra au sol, et nefit plus jamais aucun bruit, tandis que son sang habillait le paverde cette rue qui était d'habitude si joviale. Il y était bon de sipromener, avec le soleil qui filtrait d'entre deux buildings, avec ladouce odeur émanant des boulangeries, comme pour tenter lespassants. Le brûlé, calciné, ensanglanté, transpirantenvahissaient les narines à chaque inspiration, forçant à respirerpar la bouche, afin de ne plus se faire infecter par cette odeurnauséabonde.
Les policiers, les héros,les otages, tous restèrent muets, priant pour entendre larespiration de l'homme au sol mais, on n'entendit plus jamais rien desa part, il était parti avec ce dernier coup de feu. Le héro quiavait tiré jeta l'arme qui l'avait achevé au sol, se sentant déjàlâche d'avoir eut à utiliser un tel recours. Ses deux coéquipiersse tournèrent lentement vers lui, une expression horrifiée sur leurvisage, et l'autre héro les regarda fixement en retour mais, on nevoyait rien dans ses yeux, juste tout le désespoir qui s'étaitaccumulé lors de ce combat, qui l'avait poussé à cette extrémité.
Soudainement, il tomba àgenoux, et ne releva plus jamais la tête vers ses coéquipiers, ilgarda les poings serrés, agité de violents tremblements, murmurantdes jurons encore et encore. Les deux héros se lancèrent desregards, déterminant silencieusement ce qu'ils devaient faire, etbientôt il fut déterminé que le plus grand d'entre-eux allaits'occuper du vilain gisant par terre, tandis que le plus petit iraits'occuper de son ami d'enfance, même s'il savait que celui-cin'apprécierait pas.
Dès que le plus petitapprocha, le héro blond le menaça, afin qu'il ne fasse pas un pasde plus dans sa direction mais, l'autre homme ne comptait pasabandonner si facilement.
- Tu as fait ce que tu pouvais.
- Ta gueule. Fermes ta gueule.
- Nous sommes des héros, on sauve ceux en détresse mais, parfois dans des situations comme celles-ci, ça requiert des sacrifices, et je suis désolée que tu aies à en assumer les responsabilités.
Le jeune apprenti d'AllMight manquait bien de mots réconfortants, c'était difficile derelativiser après que son ami d'enfance ait pris la vie de quelqu'unvolontairement.
Cet homme qui se vidaittoujours de son sang, actuellement, il avait été l'assassin deplusieurs élèves de Yuei, voulant éteindre l'espoir que ces jeunesâmes prodiguaient. Lui-même avait pris la vie d'adolescentsinnocents, dont le rêve était de devenir des héros quiprotégeraient la population, feraient régner la paix et laprospérité au Japon. Ces rêves ont fini dans une mare de sang,celui de ses enfants qu'on avait violemment abattus, volant toutechance d'un avenir à une génération prometteuse.
Cependant, cela n'avaitpas été la raison pour laquelle, le blond avait eu recours àl'utilisation d'une arme, même s'il éprouvait une haine immensepour ce monstre. Il avait prévu de faire perdre connaissance aucriminel, à l'aide de ses explosions dont il était si fier. Puis,soudainement, il s'était prit une seringue dans l'épaule, et plusrien ne détonna de ses mains depuis, et il s'était sentitimpuissant, faible, et il avait eu grande peine à respirerrégulièrement. Pendant ce temps, ces coéquipiers s'étaient battusdu mieux qu'ils pouvaient mais, l'alter de l'adversaire lui avaitpermit de se dupliquer, et donc, ça avait été compliqué pour euxde tout gérer à la fois.
Ils n'avaient pas baisséles bras, et avec un parfait travail d'équipe, ils avaient parvenu àfaire disparaître chacun des clones, et bientôt il ne resta plusque l'assassin, à bout de souffle, tremblant de tous ses membres. Lehéro aux cheveux verts avait demandé à l'homme de se rendre, afinque le combat cesse, sans blesser qui que ce soit d'autre, que leblond qui n'avait toujours pas parvenu à se reprendre en mains.
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" Merci. " [ BNHA ]
Fanfiction" Le son d'un coup de feu résonna entre les bâtiments, brisant le silence de mort qui régnait dans les quartiers paisibles aux environs. Puis, un autre coup de feu retentit, et plus discrètement, quelqu'un s'effondra au sol, et ne fit plus jamais au...