Chapitre 1- Un mauvais presentiment.

17 3 2
                                    

Il était vingt trois heures trente et je devais aller me coucher.
Je n'ai pas mangée comme tout les soirs.
Je ne veux plus me nourrir, et tant pis si je maigris.
Je dois me punir de cette erreur que j'ai fais.Je regrette toujours d'avoir fais cette acte idiot.
Je me souviens de cette événement maudit comme ci c'était hier, alors que c'était il y a quelques mois à peine.

J'étais dans ma salle de classe, plus précisément en histoire-géographie.J'étais dans cette classe avec des tables et des chaises jaunes.La classe était silencieuse, et je reçus un bout de papier en plein dans ma tête ou c'était écrit:«Aller, assumes que tu es une pédale». Je relève ma tête qui était dans mes bras et regarda autours de moi qui avait jetée le bout de papier. Je croisa le regard d'Emma, cette magnifique fille et je constata que tous les autres était entrain de ricaner comme des phoques.
Je replaça vite ma tête dans mes bras, et je reçus un autre papier sur ma tête. J'eus à peine le temps de relever la tête que j'en reçus un autre, et encore un autre! Les mots étais tous les mêmes:
«Tu n'est qu'une salle Lesbienne»
Oui, car des rumeurs disaient que j'étais suis lesbienne.
La fin du cour terminé, je rangeais mes affaires et je sortit la dernière, mais toute la classe m'attendaient devant la porte.
Je sortis de cette salle et le macho de la classe me pris par le bras et me plaqua contre le mur.

-Avoue que tu l'aimes, disait-il avec un sourire sur le visage.

Tous le monde m'avaient encerclé.
J'essayais de me débattre de ses bras musclés mais il était beaucoup plus fort que moi.

-Je...je ne vois pas de quoi tu parles, disais-je avec de l'inquiétude dans ma voix.

-Menteuse, criaient tout le monde
Dis la vérité!

J'essayais de garder mon calme, mais j'ai craquer.Ce calvaire durer depuis bien trop longtemps pour que mon corps résiste. J'ai avouer et assumer que j'étais lesbienne.

-Oui je l'aime et je suis lesbienne!
Criais-je.
Il me lâcha et je m'effondra par terre à genoux me tenant la tête dans me mains.

J'entendais des élèves faire des «Ah beurk elle est lesbienne» ou encore des «Tu me dégoûtes, je ne te touches plus jamais» avant de s'en aller.
Je regardais les gens partir en récréation, et quand plus personne
Et c'est à ce moment là que ma vie allait être un fardeau à vivre .

Je resta par terre, vérifier que tout le monde avaient quitter le couloir et je pleura à chaude larmes, toujours ma tête dans mes mains.
Et puis je senti une présence à côté de moi.
J'avais trop peur de relever la tête, honteuse que cette personne me voit dans cette état là.
Et puis je sentit cette personne s'accroupir et caresser sa main sur mon dos pour me réconforter.

-Calme toi, disait cette voix douce et féminine.

Je relevais ma tête et découvrais ma professeur d'anglais.

-Madame...je...
J'avais même pas terminer ma phrase que je me remettais à pleurer.

-Chut, viens avec moi, on peut en parler si tu veux, me disait elle.

Je me leva et l'a suivis jusqu'à sa salle de classe et je lui raconta toute l'histoire.
Depuis ce jour, je la considère comme ma grande sœur.

Je partis me coucher à vingt-trois heure cinquante, le temps de me préparer pour aller dormir.
Je ne prends plus soins de moi, j'ai délaissée mon corps.

Je pars me mettre au lit.

Je ne dormais pas cette nuit, comme d'habitude.
Je repensais à me tentative de suicide rater. Si seulement je l'avais réussi.

                        ——————
Mercredi 16 Septembre, 6h45:

Mon réveil sonne.

Il ne me réveille pas car je n'ai pas du tout dormis. Je suis restée dans mon lit, allongée, à pensé à la vie, à la mort.

Je me lève en pensant que cette journée seras comme d'habitude, humiliation et moqueries au programme.

Mais ce jours seras l'un des plus choquant de ma petite vie...

                            ———-

Alors, que pensez-vous de ce chapitre? Bon, je l'ai un peu modifié!

J'espère que la suite de l'histoire vous plairas!

Pumped up kicksOù les histoires vivent. Découvrez maintenant