L'inexorable parfum du jour m'enivre
Et au matin, je marche à la dérive.
Pure, dans l'automne pleine d'ivresse seulement,
Prête à cueillir le bonheur naïvement.
Juste mon chagrin, le ciel n'existe plus,
Au milieu des feuilles des grands chênes, perdue.
Le temps qui passe sur tes sillons, chute;
Comme un déluge de mon cœur que vous fûtes,
Sous l'or maudit, que toi, sans nom ni visage,
Sentiments évanescents et larmes sages.
T, & A_
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Fluctuations existentielles
Poetry~Pensées intimes et souffle chaud sous la brise évanescente du soleil couchant~ 🔹🔸🔹🔸🔹 Ce recueil relie le thème central de l'amour, autour de divers poèmes qui transcendent mes sentiments. Comme l'illustre le titre, l'id...