L'enfant de la montagne

13 3 10
                                    

A quelques dizaines de kilomètres de Katmandu, dans le sud de l’Himalaya dans un endroit peu accessible entre trois montagnes serrées, nous pouvons y trouver un champ de fleurs. Cet endroit aussi joli qu’inconnu, a aussi pour ravir d’avantage, une petite cascade d’une eau pure et avec un lac dans lequel l’eau est tellement claire que l’on peut voir le fond. Sur cette magnifique plaine, on a la possibilité de trouver une maison au toit bien pointu et au bord relevé, avec inscrit au-dessus de la porte le symbole de la tortue en japonais.

Au village de Yunzabit, en bas des montagnes, si on parle aux habitants d’un champ de fleurs et d’une maisonnette, ils nous racontent leurs légendes à propos de ce fabuleux endroit comme celle de la fleur qui donnerait l’immortalité. Apparemment, un maître en art martiaux l’aurait trouvé et, depuis ce jour, serait le plus puissant de la terre et se serait installé sur cette fameuse plaine.

A ce jour personne n’a vu son vrai visage ni connait son vrai nom, bien que tout le monde le surnomme « Grand-père ». Il serait un homme sympathique, sage, juste et bienveillant. Il est toujours prêt à venir en aide à toute personne. Il est vieux, avec un peu de ventre, il n’est pas bien grand en taille mais inspire la crainte. Il porte un masque de renard et est vêtu d’une tenue constituée d’une tunique noire avec le bord des manches blanc, et d’une veste sans manches orange composée de petits cercles jaunes.

Des rumeurs disent qu’en se baladant dans les montagnes, il aurait aperçu un bébé abandonné, qu’il a recueilli et qu’il l’élève seul, pour qu’il devienne un jour plus fort que lui, mais personne n’a foi en ce mystérieux nouveau-né. Selon « Grand-père », il l’aura sûrement surpassé quelques décennies après sa mort. Il y a un an jour pour jour, un évènement organisé par « grand père » restera gravé dans sa mémoire : cela faisait six ans qu’il avait recueilli ce petit garnement et pour fêter ça, il décida de l’emmener au village pour la première fois. Ce jour-là, nous avons tous découvert l’apparence du « petit ». Il n’était pas très grand mais il avait l’air robuste et têtu. Par un élan de joie et de curiosité, il partit à l’aventure dans les rues de la ville en courant. Il fonçait dans tout le monde, rien ne semblait pourvoir l’arrêté. Malheureusement, en ne faisant pas attention, il se prit un lampadaire de plein fouet et perdit connaissance. Depuis ce jour, ce garçon qui n’en faisait qu’à sa tête passa de « sauvage », têtu et indomptable à gentil, aimant, joyeux, attentionné. Bref, après cet accident, il est devenu un véritable ange.

Bon bah voilà la fameuse partie rédiger pour un devoir de français... j'espère que ça vous plais les autres parties seront moins longues.

L'ArtefactOù les histoires vivent. Découvrez maintenant