White Night

1h00

   Je m'appelle Talya, j'ai 16 ans et je suis seule, dehors dans une ville que je ne connais pas, avec mes deux meilleures amies Diane et Jessyca.

    Jessyca, Jessy pour les intimes, est assez petite, enfin de taille moyenne. Elle a de beaux cheveux bruns qui s'arrêtent aux épaules, ainsi qu'un petit dégradé qui lui dégage le visage laissant entrevoir ses yeux noirs. Diane, est plutôt le gros caractère du trio, elle sait s'imposer et a confiance en elle.
Pour en revenir à la phrase du début : nous somme seules, dehors et il est 1 heure du matin. Nous n'avons aucun endroit pour dormir nous sommes livrées à nous meme face l'immensité du monde.
Cela fait déjà plusieurs heures que nous sommes ici, sans personnes, sans issus, seulement nous. Nous avons le ressenti qu'au fur et à mesure que le temps défile les gens disparaissent dans l'ombre rejoignant leur demeures. Il ne reste que nous dans l'obscurité éclairer par quelques lumières nous laissant l'impression qu il reste encore un quelconque signe de vie. Tout est silencieux, il n y a aucun bruit mis à part celui de quelques voitures qui arpentent les rues, ainsi que nos voix qui cassent ainsi le silence de la nuit.
Le temps est long, les minutes se font longues. Tout est différent la nuit, c'est comme un autre monde où tout paraît possible et réalisable. Il n'y a aucune règle, nous sommes les maîtresses du « jeu », nous pouvons choisir tout ce que l'on veut faire sans avoir peur que quelqu'un ne nous voit. Il est déjà 1h30, la fatigue prend le dessus,  nos esprit sont comme « possédé » et nous somme éprise par des pensées tout à fait différente, nous somme comme libéré d'un poid que l ont porte continuellement la journée mais la nuit tout cela s'envole et s'évade en même temps que le soleil. Nous sommes apaisée et plus aucunes pensées négatives ne peuvent nous atteindre.
Chacune d'entre nous s'imagine ce qu'elle voudrait accomplir dans sa vie, même des choses inimaginables mais face à la nuit tout est comme possible.
Il est maintenant 2 heures du matin, nous arpentons les rues, en parlant de tout et de rien, lorsque deux hommes surgirent d'un coup de nul part. Il y eu d'abord un blanc, nous étions tétaniser, nous avions l'impression d'être observé, peut être suivis ? La peur nous envahi peu à peu suivi par l angoisse ! Nous courrons de toutes nos forces, mais l'on dû  vite ralentir la cadence car Diane  est blessée. Après une petite hésitation, nous décidons de nous retourner pour vérifier si nos malfaiteur étaient toujours là mais il n'y avais plus personne, plus aucun bruit, rien que le silence. Nous avons continué à marcher quelques mètres lorsqu'une voix se fit entendre, mais cette voix  ne nous était pas familière : « Hey »Qui avait parler ? Et d'où ce là venait t'il ?