prologue

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Je cours a travers la ruelle, je regarde derrière moi, il me suis je ne parviens pas a le semer. je suis toujours sous l'effet de la kétamine modifié, et putain ça ralentit cette merde. je tourne à droite et débouche sur une impasse. Un mur de trois mètres se dresse devant moi. Je me retourne, il est cinq mètres devant moi avec un sourire en coins.

- il faut arrêter de partir comme ça c'est la troisième fois ce moi ci.

- tu ne penses pas que c'est pour une raison particulière?

- non je ne suis pas sur ça doit être la két qui fait ça on va juste augmenter les doses.

je me raidis il s'avance vers moi tandis que je reculs, je me retrouves rapidement contre le mur lui se rapprochant dangereusement de moi. il posa ses mains sur mes hanches tout en rapprochant sa tête de la mienne.

- je vais te baiser jusqu'a que tu ne puisse plus marcher je vais te frapper jusqu'a tu ne puisse plus bouger et je vais te menacer jusqu'a ce que tu ne puisse plus pleurer.

Je lui mis un coup de genoux dans les parties génitales puis le propulsa. Il releva la tête, je l'ai mis en colère. Il se rapproche de nouveau de moi et sors un couteau de sa poche, il le pointe vers moi. Je tente de passer sur le coté quand je sens la lame se poser sous mon oreille. je m'arrête donc il appuie violemment et fait glisser la lame sur tout le coté droit de mon buste jusqu'à atteindre la cuisse. Alors celui la c'est sur je ne vais pas y survivre il a du toucher la carotide et c'est pas très bon. Je m'écroule par terre et lui rie au éclat.

- alors salope t'essaie plus de t'enfuir la hein.

La plaie me brule énormément je vois mon sang qui se répand devant moi, c'est la pire sensation qui puisse exister, sentir qu'on va partir. Mes yeux se ferment lentement quand il commence a me toucher les fesses malgré tout le sang que je perds, il a vraiment aucunes races ce bâtard. Je sens sa mains passer sous mon pantalon et sous ma culotte il la descends rapidement. J'arrive pas a y croire je vais mourir alors que ce sal bâtard sera en train de me violer c'est pas possible ...

Je commence a ne plus réellement sentir mon corps jusqu'a ce qu'une vive douleur me prenne a la tête, et je sentis une crampe dans tout mon corps. Je ne sais comment je trouvas la force de me replier sur moi même. Les douleurs s'intensifièrent tendis que je tentais de me recroqueviller le plus possible.

Puis tout s'arrêta d'un coup et je parvins a ouvrir les yeux. Je n'avais plus mal a mon coté, je ne sentais plus rien, je regarde donc la plaie toujours bien présente. Je me relève par je ne sais quel putain de miracle, je re regarde ma plaie et en y prétend un peu attention je la voyais cicatriser a vue d'oeil. Je relève la tête et le vois me fixer, je lui met un coup de points et saute sur une poubelle m'accroche au rebord d'une fenêtre et passe par dessus le mur.

With or without usOù les histoires vivent. Découvrez maintenant