Part 6

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On sort du bureau de l'avocat.

- putain rey on est riche.

- putain je sais pas comment on vit quand on est riche.

- moi non plus.

On rentres à l'appartement, il prends son sac et pars avec Aden et luis pour préparer son match et eux vont voir comment ça se passe. Moi je reste pour corriger les copies que je dois rendre lundi. Après une heure je me prépare à partir quand on toque à la porte. Je vais ouvrir, je me fige.

- j'espère que je t'ai manqué.

- dégage.

- mais non voyons.

Il s'avance tandis que je recule, je lui dis donc.

- je savais pas que t'étais sortit.

- bah si sinon je serais pas là.

- bah tu veux pas y retourner ?

- oh non tu sais je pensais à toi tout le temps donc te voir en vrai ça me fait plaisir.

- bah pas moi.

Il continue à avancer, pendant que je recule jusqu'à ce que je me retrouves contre le mur. Il se rapproche de moi, il pose ses mains sur mes hanches.

- Léo arrête.

- mais non voyons j'ai toujours aimé te voir me détester.

- bah la c'est plutôt de la haine.

- c'est encore mieux.

- dégage putain.

- ma petite Reyna...

- m'appelle pas comme ça.

- pourquoi?

- tu le sais très bien donc arrête.

Il souris et se colle à moi, descends ses mains sur mes fesses.

- arrête.

Il renforce sa prise et m'embrasse, je me décale.

- arrête putain.

Il commence à me faire des bisous dans le cou et descends rapidement jusqu'à ma poitrine tendis que je tente de la pousser avec mes mains. Il les saisis et les mets au dessus de ma tête, les tient d'une main et pose l'autre sur mon sein. Je commence à bouger, il relève la tête et me souris.

- c'est comme au bon vieux temps.

Il déplace sa main et la met au-dessus de mon jean, et commence à soulever le tissus.

- arrête si il te plaît.

- oh non.

Il glisse sa main sous mon jean mais au dessus de mon string.

- arrête.

- arrête ça, ça ne coupe toute envie je préfère quand tu crie que quand tu me supplies.

- arrête alors.

- non.

Il place alors sa main au niveau du haut de mon string.

- mais arrête putain.

Il retire sa main et me mets une claque.

- maintenant tu ferme ta gueule.

- je fermerais jamais ma gueule.

Il me met une autre claque, et relâche sa prise sur mes mains, je les dégages alors et lui dit.

With or without usOù les histoires vivent. Découvrez maintenant