The art of fighting stone

Chapitre IV

******PDV Chiryo******

Haaaaaaa! Quelle magnifique début de journée! Je me réveil avec une délicieuse odeur de café et de croissants, les rayons du soleil réchauffant mon visage, et un grand lit 2 place à moi toute seule... C'est tout simplement...

_Il... Il... HEIIIN!

Je me relève brusquement, les yeux écarquillés. Je tâte les draps à côtés de moi, et bien évidemment...

_Il s'est barré cet ingrat...

Pff il aurait put m'attendre franchement! Je fais quoi maintenant!?

Je sors du lit avec une tête de déterrée comme toujours, enfile des vêtements à la rache et descend saluer la femme nous ayant accueillis hier.

_Bonjouuurs!!

J'avais oublié que j'étais pas seule au monde... Dommage...
Toutes les personnes présentes dans le hall d'entrée me regardent avec un air outrés.

Une vieille dame qui caressait son chochou ( genre de mentali croisé avec un chat sans poil et avec de petites aile squelettique ) m'observait sévèrement.

_Regarde mon petit, les humains sont con et sans espoir d'avenir...

...

Enfin... Elle a pas dis ça mais son regard à elle et son chat dégueulasse voulait tout dire...
Sérieusement, déjà que les chochou sont pas jolie jolie, mais alors celui la équivaut à la beauté du moustique que j'ai croisé dans la forêt hier!

_Breeeeef, à plus Ginette!

Je fais un tchousse à la gérante de ma main gauche et sort de l'auberge ( qui ne possédait pas une propriétaire nommée Ginette. Enfin...j'espère pour elle!)

Le petit village m'accueillit avec de magnifiques fleurs et fontaines ruisselantes.
Après être passée dans une boulangerie qui appelait mon âme à l'autre bout de la rue, je me pose sur un banc en face d'enfants qui jouaient joyeusement

_Bon je dois faire quoi moi maintenant!

Je ne sais vraiment pas par ou commencer les recherches. J'ai bien évidemment pensé faire le tour de la ville mais vue que j'ai pas que ça a foutre de ma journée j'ai laissé tombé cette possibilité sans même me poser la question deux fois.

Je décide donc de continuer de glander sur ce banc, plutôt confortable je l'avoue...

Les minutes et le d'heures passent sans que je ne bouge le petit doigt à part dans l'optique de couvrir les baillements sortants de ma bouche.

Je regarde la grande de horloge du restaurant d'à côté et constate les 11h47.

Je vois un petit écriteau de bronze plaqué sur la fontaine informant que l'eau était potable, alors bien évidemment, je veux goûter!

Je m'approche de la source artificielle, forme un petit creux à l'aide de mes deux mains et me penche suffisemment pour sentir la fraîcheur du breuvage sur mes deux lèvres chauffées par le soleil.