(suite du chapitre 1)

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Quand leur parents moururent leurs enfants se retrouvèrent tout seuls, il n'y avait plus personnes à qui il pouvait faire confiance pourtant le meutre de leur mère était assez troublant.

Cette dernière leur avait laissée un indice, un petit papier tout chiffonné et humide. Il était froid et craqué sous la main.

Un mois plus tard:

《Bon alors!!hurla Victor vigoureusement,tu l'ouvres cette lettre bon-sang.
-je te prie mon cher frère de bien vouloir te taire si possible
-non, tant que notre soeur n'auras pas ouvert cette lettre, continua Victor bien décidé à ne pas lâcher le morceau .allez, ouvre la! OUVRE LA !!!!!!!!!!!
-CELA SUFFIT VICTOR, celui qui venait de parler n'était autre qu' Arthur qui visiblement n'en pouvait plus de l'attitude  déplacée de son frère cadet.cela fait maintenant deux heures que tu m'abimes les esgourdes alors si tu pouvais ne pas me rendre sourd dès ce jour cela me serait dès plus agréable.
-mais,tu ne veux pas savoir ce ...
-non je ne veux pas le savoir .
-mais pourquoi ? Cela pourrais nous aider à trouver l'assassin de notre mère non?
-Et notre père alors tu y pense un peu au lieu d'être aussi égoïste...?
-TAIS TOI .
-TOI MÊME.
-NON TOI
-NON TOI
-TOI
-TOI
-BON CELA SUFFIT, vorcifiera clarisse bien embêtée par la tournure que prenait cette discussion, VOUS ÊTES ASSEZ GRAND POUR VOUS CONTRÔLER NON .

Les deux garçons firent volte face et restèrent bouche bée devant leur soeur assise sur un fauteuil en velours clouté or .

Bon cela suffit comme ça ...
-mais...m, bégaya les deux jeunes hommes complément sonné .
-non chut. ..vous vous taisez , sinon je n'ouvre pas  Cette lettre que vous convoitait tant,  est-ce clair ? 》

Clarisse avait à peine quatorze ans, mais elle se faisait respecter par son grand frère de seize ans et le plus jeune de douze ans .

Bon maintenant que vous avez fini, je vais pouvoir cette FAMEUSE LETTRE...
-ffffchhrr
-Quoi!?c'etais a moi de l'ouvrir je te rappelle Victor
-oh je te la rend qi tu le veux
-non c'est trop tard tu l'as déjà ouverte de toute façon donc vas y maintenant lis la.》.

La lettre:

《 Carrissima Fillia,

Si hoc légère littéral, id ego iam mortuus .
Vos et vestris fraters habuit ire ad ving et un black plata, modo contrarium est , a faucibus esset vestus mulier,  amicys familiale.

In most secura vos volo discaeur plua mihi .

Ps : mama amat vos.

Quand Victor eut fini de lire cette lettre,  il la regarda de nouveau encore pendant ving minutes et demanda enfin:

《Euh dites-moi c'est écrit en quel langue ?
-comment ça?!demanda ensemble clarisse et Arthur,tu n'arrive pas à comprendre la lettre .
-oui cela est vrai
-attend laisse moi voir , avait dit clarisse qui avait pri la lettre bien avant de dire la phrase

La même lettre :

《Ma chère fille,

Si tu ouvre cette lettre cela signifie que je suis déjà morte .
Toi et tes frères devaient vous rendre au ving-et-un black street,  juste en face se trouve une boutique vous y entreraient et y decouvriraient une vieille femme,  c'est une ami de ma famille

elle vous en dira plus que moi .

Ps: maman vous aime .》

《Comment tu sais lire cela ?! Demanda Victor abasourdi
-eh bien ...,avait dit clarisse qui commencée a se vanter
-eh bien à force de lire des livres anciens et des chez d'oeuvres du douzième voir quatorzième siècle eh bien notre cerveau commence a analyser chaque lettres, chaque mots et à force on sait parfaitement bien le parler,  avait fini d'une traite Arthur qui savait pertinament que d'a soeur aller se vanter d'une minutes à l'autres.,c'est bon j'ai bien résumé la situa...
-paff》

Arthur venait de se prendre un livre en pleine face, bien gros et bien dur, (d'au moins ving chapitres )

《Non, mais cest quoi ton problème je viens de t'aider et c'est comme ça que...
-que quoi !? Coupa clarisse visiblement exaspérée par son attitude envers elle ,je peux très bien m'expliquait toute seule .
-oui mais ...
-oui mais rien je ne suis plus une gamine de six ans et puis qu' est-ce que ça te fais à toi hein tu...
-clac》

C'était autour de clarisse de se faire taper , elle venait de se recevoire pour la première fois de sa vie une gifle tellement violente qu'elle en avait échappé un petit son aiguë

《CELA SUFFIT CLARISSE TU AS BEAU ÊTRE LA DEUXIÈME SUR LA LISTE DE SUCCESSION ÇA NE TE DONNE PAS LE DROIT DE ME HURLER DESSUS RAPPEL TOI JE SUIS TON AÎNÉ ET TU ME DOIT LE RESPECT EST-CE QUE JE ME SUIS FAIT BIEN COMPRENDRE !!!!!
- PAREILLE POUR TOI, JE NE SUIS PEUT ETRE PAS L'AÎNÉE MAIS, TOI AUSSI TY ME DOIS LE RESPECT !!
-CLARISSE NE COMMENCE PAS...
-euh si je peux me permettre
-ET ALORS CE N'EST PAS PARCE QUE TU ES LE PLUS GRAND QUE TU DOIS FORCÉMENT DICTER TES PROPRES RÈGLES!!
-eh , oh je suis là si je peux me permettre j'aurais dit que ...
-NON!!!
-mais je n'ai  rien dit moi c'est vous qui vous disputez pour des futilités comme de vulgaires enfants de quatre ans voir deux ans
-COMMENT OSES-TU!?
-mais ...
-mais rien du tout , tu n'as pas à te méler de ça cela ne te concerne en rien.
-oui c'est vrai.
-eh bien si c'est comme ça je vais me venger...》

Il sortit de la pièce en  claquant la porte avec force.

《Qu' est-ce qui lui prend, demanda clarisse qui n'attendait pas de réponse possible.
-je n'en sais absolument rien pour tout te dire.
-booum.》

Les jeunes gens se retournèrent et virent une multitude de ...coussins bien moelleux et doux.

《Mais qu'est -ce que tu fais avec ça,demandèrent les grands à l'unisson.

Et ils virent leur frère leur balancer à la figure une avalanche de coussins.

Il cria:

BATAILLE DE POLOCHON.》

Ils formèrent trois équipes de un et prirent au moins dix coussins chaqun .

Après une heure de jeux , ils s'écroulèrent sur le sol remplie de Coussins et éclatèrent de rire et se serrèrent dans les bras avec tellement d'amour qu'ils en pleurèrent.

pourquoi être partiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant