Chapitre 1

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  Une semaine plus tôt :

  — Mesdames, Messieurs, en vue de notre proche atterrissage nous vous invitons à regagner vos sièges et à attacher votre ceinture.Assurez vous que vos baguages à mains sont situés sous le siège devant vous ou dans les coffres à bagages.Les portes et issues doivent rester dégagées de tout bagages.
Le temps à New York est ensoleiller et la température est de 26°.
Nous vous remercions d'avoir choisis notre compagnie et espérons que vous avez passer un agréable voyage.

Eh merde!Il faut toujours que sa arrive quand je suis au chiotte!
Je me dépêche de sortir pour regagner mon siège, une hôtesse m'y attend et me jette un regard noir.
— Dépêchez vous, vous êtes la dernière encore debout!
Olala.
J'ai l'impressions qu'elle veux m'étriper.C'est bon j'ai rien fait de mal !
Je m'assoit et boucle ma ceinture.A mon plus gros soulagement elle tourne les talons.
Pffiou. Eh ben, ça promet...

  Ça y est j'y suis, où du moins je crois.
Je vérifie sur mon téléphone que je suis bien à la bonne adresse :

                        MADISON AVENUE
                             77th STREET
                              NEW YORK

  Je relève la tête, ouais c'est bien ça.C'est ici que je vais habiter pour un petit moment.Je m'approche de la porte.Merde !Il faut un badge, que je n'est pas eu d'ailleurs !Pourquoi je n'y est pas pansée avant ? Comment je vais faire moi maintenant avec mes bagages?
En plus il est 18 heures et je meure de faim !
— Je peux t'aider ?
Je me retourne et vit un belle apollon grand, blond, musclé aux prunelles bleu océan.
Parfait !
Je m'adresse à lui nerveuse.
—  Salut, euh je...Je viens ici pour la collocation, mais...je n'ai pas de badge pour entrer et je n'est pas le numéros ni le nom  de mon coloc.
— Oh, tu est Margot !Je ne savais pas à quelle heure tu viendrais alors je suis juste sortis acheter deux trois bricoles.
Voyant mon air confus il continu :
— Je m'appel Raphaël.Raphaël Wilson, mais je préfère qu'ont m'appel Raph.Tu veux que je t'aide à porter une de tes valise ?
— Non, tu est déjà assez chargé comme sa, je peux me débrouiller toute seule.
Il pouffe de rire.
Quoi ?
— Tu est sûre ?
— Pourquoi je ne le serais pas?Je suis assez grande tu sais.
Cette fois-ci  il éclate de rire.
— Mais quoi ?!
Il essuie une larme au coin de son œil.
— Excuse moi de te contredire, mais tu dois faire un mètre soixante grand max !
C'est vrai que je ne suis pas très grande mais c'est pas une raison de se foutre de ma gueule !
Je croise les bras sur ma petite poitrine couverte d'un seul débardeur blanc.Compte t'il aussi critiquer leurs petites tailles ?
— Excuse moi Margot je ne voulais pas, mais c'était plus fort que moi.Il faut pas m'en vouloir dit il en se mordillant la lèvre.
Oula, Margot calme tes hormones !
Je souffle :
— Si tu m'ouvrait la porte au lieux de raconter des conneries !
Bon ok il disait sa pour déconner, après tout c'est la vérité.
Il acquiesce et sort le badge de la poche arrière de son pantalon.
La porte s'ouvre en moins de temps qu'il le faut pour le dire.
Nous entrons et faisons quelques pas avant d'appuyer sur le boutons d'appel de l'ascenseur.
Les portes s'ouvrent en un léger grincement.
Très rassurant !
Raph appuie sur le 5.Donc l'appartement est au cinquième étage!
Bonne déduction Margot, bravo !
Nous arrivons à notre étage.Nous sommes devant la porte que Raph essaye d'ouvrir, mais il n'y parviens pas à cause de ses deux gros sacs de courses.Je lui arrache les clefs et ouvre la porte.Pour mon plus grand bonheur j'y arrive en un rien de temps.
— Tu vois, je n'est pas besoin de faire deux mètre pour ouvrir une porte !
Il sourit de toute ses dents.
— D'accord, un point pour toi!
Il pousse la porte, et je découvre l'appart.
Whoua c'est beaucoup plus grand que sur les photos !
Il vit ici tout seul ?
Il dépose ses sacs de provisions sur le grand bar à côté de la cuisine.
Moi qui adore cuisiner, je crois que cette cuisine et plus grande ,et plus équiper que celle d'un grand chef étoilé !
— Viens, je vais te montrer ta chambre.
J'acquiesce et le suis dans le couloir toujours accompagné de mes deux valises.Il y a quatre portes, j'en déduit qu'il y a sûrement trois chambres et une salle de bain.
Il pointe du doigt la porte au fond à gauche:
— Celle-la c'est ma chambre, et en face la tienne.
Je pousse la porte.
Putain, cette chambre pourrais être un appart !
Il y a un grand lit coller au mur, de part et d'autres de celui-ci y est déposée deux tables de nuit blanches.À l'opposé de la pièce se  tiens un dressing de toute la largeur de la pièce, c'est à dire :GÉANT !Je n'en crois pas mes yeux.Tout à l'air neuf, on dirais qu'ont viens d'y emménager les meubles.
Raph se tient maintenant devant moi :
— Nous irons t'acheter quelques meubles pour que tu sente comme chez toi.
— Merci, c'est vraiment gentil de ta part dis-je sincère.
Il hoche la tête.
— Tu veux manger maintenant ou je te laisse le temps d'installer tes affaires ?
Mon ventre grogne.
— On dirais que ton estomac parle pour toi!Aller viens j'ai commander chinois, sa ne devrais plus tarder.
— Je te rejoint dans deux minutes dis-je en mettant ma valise dans le coin du dressing.
Il hoche la tête et s'en vas  en direction de la cuisine.
Je sort mon ordinateur de mon sac à dos, le pose sur le lit, et prend le même chemin que Raph.
Il est accouder au bar buvant une bière.
— T'en veux une ?
— Volontiers !
J'installe mon ordinateur sur la table basse et m'affale sur le grand canapé.Ce voyage m'a tuer !
Raph se joint à moi me tendant la bouteille de bière.
Il allume la télé tout en sirotant sa boisson.
— Tu veux regarder quelque chose de spécial?Me demande t'il en zappant sur toutes les chaines.
Je le regarde en souriant.
— Tu a Netflix ?
Il me rend mon sourire en ouvrant l'application.
— Qui n'a pas Netflix de nos jours ?
J'hausse les épaules.
— Tu veux regarder quoi?Un film, une série ?
Je réfléchis.
— Une série ? Demandais-je pas très sûre de moi.
— Laquelle?
— Orange is the new black ?
— Tu m'en veux si je te dis que je n'est pas regarder un épisode ?
— Sa tombe bien, moi non plus !
— Alors c'est partis dit il en appuyant sur le bouton « lecture »

ET SI,CE N'ÉTAIT QU'UN RÊVE...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant