Chapitre 3

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— Tu veux que je passe te prendre ce soir me demande Raphaël alors que je m'apprête à sortir de la voiture.
— Tu ne travail pas ce soir ?
Il passe sa langue sur sa lèvre inférieur.
— A vrai dire...J'ai pris ma fin de journée dit il embarrasser.
— Oh ?
— Ma sœur viens à la maison ce soir dit il en un souffle.
J'ai l'impression qu'il est soulager d'un poids.
— Tu n'aime pas ta sœur ?
— Si...biens sûre que si, mais elle se sera tapé 6 heures d'avion est je craint qu'elle sera très désagréable.C'est ma sœur quoi !
— Mais non ne t'inquiète pas!Je suis sûre qu'ont vas bien s'entendre.A quelle heure sera t'elle là ?
Il soupire :
— Vers 22 heures.
— On commandera quelque chose dans se cas !
Il hoche la tête :
— Je viens te chercher à 16 heures, on ira faire un peux de shopping.
Je pouffe de rire.
— T'est bien le seul mec que je connais qui aime faire les boutiques.
— Nuance!Je n'ai pas dit que j'aimais faire du shopping, j'ai juste dit que je te ramène en faire.
— Olala bah c'est pareil !
Nous éclatons de rire.
— Peut être qu'avec un peut de chance ma sœur aura du retard, et comme sa on pourra regarder tranquillement un épisode de Orange is the new black.
Je lui tape gentiment la cuise.
— J'ai cru que tu n'aimais pas !
— C'est vrai qu'a première vu c'est pas top, mais après tout prend du sens!Piper doit survivre dans cette prison avec des personnes les plus bizarre les une que les autres et surtout lesbiennes.Elle vas devoir s'intégrer.Elle se retrouve la seule hétéro de toute la prison!Jusqu'a ce que Alex arrive...
— Je rêve ou tu à regarder sur Wikipédia ?!J'y crois pas !
— Non...Mais il se pourrais que j'ai éventuellement fait appel aux compétence de Jeff.
— Jeff ?
— C'est un bon pote, on se connais depuis la primaire et par le plus grand miracle il travail avec moi.C'est génial nan ?
— Tu a de la chance dis je en cachant ma penne.
— Oh et au faite...Ce soir tu pourrais peut être inviter ta collègue à se joindre à nous.
Je souris.
— Je lui propose seulement si tu fait de même avec ton pote.
— Jeff ?
Je hoche la tête.
— Pourquoi pas, je l'appel après.Mais en attendant tu devrais y aller sinon tu sera en retard.
Je regarde mon portable:13h30
— Merde !
Il rit :
— Je passe te prendre à 16 heure.Amuse toi bien !
— Compte sur moi dis je sortant cette fois-ci pour de bon de la voiture.
J'entre d'en le bâtiment et m'empresse de rejoindre mon étage.
Matt est déjà dans notre box, il doit sûrement terminer le graphique de ce matin.Quand il me vois il relève la tête et affiche un grand sourire.
— J'ai cru que tu ne reviendrais jamais.Je croyais avoir rêver ce matin, mais non te voilà en face de moi.
Je souris.
« Pas touche elle est pour moi la petite Margot »
Il faut que j'en parle ce soir à Lisa.Mais en attendant occupons nous de ce petit Matt.
— J'espère au moins que c'était un beau rêve.
Il souris.
— Tu n'imagine pas à quel point !
Je me mord la lèvre.Pourquoi suis-je aussi gênée ?
Je me tourne vers mon ordinateur cachant mon visage.
— Bon on s'y remet ?
— A vos ordre princesse !
J'adore ce surnom princesse, ouais c'est pas mal surtout venant de la bouche de Matt.Princesse...Je suis sa princesse !
Je soupire d'aise.
Aaaah, je sens que je vais me plaire ici !

 
— Sa te dit de venir à l'appart ce soir?
Mon coloc a invité sa soeur à diner,
et je veux pas être seule avec eux si tu vois se que je veux dire!

Lisa pousse un petit cri à travers le téléphone, ce qui me casse le tympan.

– Pour quelle heure ?

— 20 heure sa te vas?

– Parfait ! À toute à l'heure !

Je claque la porte de l'appart, il doit être dans les
17 heure, cette journée a était crevante !
Je suis trop contente que Lisa ai accepté mon invitation.
— Je suis rentrée !
J'annonce mon arriver comme si il en avait quelque chose à faire que je sois rentrée.Bien qu'étant gentil il m'avait  proposer ce midi de venir me chercher, mais je voulais marcher.Sa ne fait pas longtemps que je suis ici et je compte bien connaître chaque recoins de cette ville.
— J'ai cru que tu t'était perdu ! Comment c'est passé ton après midi ?
Je le rejoint à la cuisine :Il est entrain de préparer quelque chose.
— Très bien, j'aime vraiment se boulot.Et toi?Qu'est ce que tu prépare ?
Il verse le contenu du shaker dans deux grand verre.
— Tiens, tu me dira ce que tu en pense.
Il me tend le cocktail aux couleurs exotiques.
— Cocktail spécial bienvenus dit il en me tendant son verre pour trinquer.
Nos deux verres vont un petit bruit et je m'empresse de coller mes lèvres à la paille.
Whoua !J'ai jamais rien gouter d'aussi bon!Je crois reconnaître le goût de la papaye, de la mangue et de l'orange.Peut être même du citron ?
— Alors ?
Je lève les yeux et fixe ses prunelles bleu azure.
— C'est DE-LI-CI-EUX!Ou tu a appris à faire sa ?Il faut que tu m'apprenne !
Il sourit, content que sa me plaise.
— Je t'apprendrais à en faire des tas, c'est pas si compliqué dit il en pouffant de rire.
— Quoi ?!
— Rien j'adore te charrier, tu démarre toujours au quart de tour !
Je me renfrogne:j'ai horreur qu'ont se foute de ma gueule !
Je le vois sourire en regardant sa montre.Qu'est ce que j'aime se sourire.
— Bon, tu préfère faire la gueule ou aller dépenser du pognon ?
Je lève les yeux.Il a à penne le temps de ce rendre compte de se qui se passe que je le prend par le bras pour le tirer hors de l'appartement.
— Houla doucement petite furie, laisse moi au moins le temps de prendre les clefs de la voiture.
— Ben dépêche !!
Pour une raison que j'ignore, je suis trop contente.
J'ai grand besoin de m'acheter des vêtements plus approprier pour impressionner mon collègue.Et surtout quelque chose de convenable à porter ce soir pour rencontrer la sœur de Raph.
— On est partis !
Il ferme la porte d'un coup de pieds.
Mon coloc appuie sur le bouton d'appel des ascenseurs.
— On fait la course dis-je en arquant un sourcil joueuse.
Pour qu'il comprenne mieux ou je veux en venir je lance un regarde en direction de la cage d'escalier.
— TU prend les escaliers et JE prend l'ascenseurs dit il en reculant de deux pas.
Le ding retentis.
Je hoche la tête et avant qu'il puisse s'en apercevoir je m'engouffre à toute vitesse dans le petit espace .J'appuie une dizaine de fois sur le bouton rez-de-chaussez pour que les portes se referment plus vite.Les porte se renferment le sourire au lèvres j'entend rire Raph :
— C'est ce qu'ont vas voir !!
Je ris à mon tours.
Il manquerais plus qu'il y arrive avant moi !
Je sort mon portable de mon pantalon et ouvre l'application chronomètre.Autant se foutre de sa gueule !
Les portes s'ouvrent enfin,je m'extirpe de l'ascenseur et regarde fixement les escaliers.
— Eh ben t'en a mis du temps !
Je me retourne:Raph est adosser contre la porte principal essouffler.
Je le rejoint confuse.
— Mais comment?Comment tu à fait pour arriver avant ?
Il me sourit, moqueur.
— Disons que je suis très sportif.
— C'est de la triche.Je croise les bras sur ma poitrine, j'ai horreur de perdre.
— Fait pas ta mauvaise perdante dit il en me frottant les cheveux.
— ARÊTE, tu vas me décoiffer !
Nous rions, on croirait des étudiant.Je n'aurais jamais cru que ce serait aussi facile d'intégrer ma nouvelle vie...Je crois que je l'aurais fait bien avant.Les cris, les pleures, la maladie, ressentir ce vide...Pour rien au monde je reviendrais à mon ancienne vie.
— Allo la terre, vous me recevez ?
— Mmm ?Tu disais ?
— On y vas?C'est pas que je veux te presser, mais si toutes les femmes sont comme ma sœur je doute que une heure suffira.
Je lève les yeux au ciel.Je sens que je vais bien m'entendre avec sa sœur !
— Alors on ferait bien de se dépêcher !
Il hoche la tête.
— Le dernier à la voiture fait le petit dej' demain matin !
Hein?Quoi ?!
Il sort dehors en courant, je n'ai pas le temps de vraiment réaliser ce qui se passe mais je cours à mon tour en dehors du bâtiment.
Pouah il fait chaud !
Je sort mon téléphone, de toute évidence sa ne sert a rien que je cours, je ne vois déjà plus Raph. 30°!C'est une plaisanterie ?
Il est pourtant 16h30...Je ne savais pas qu'il faisait aussi chaud à New York – et pourtant – on est à penne au mois de juin !
Je marche en direction du parking sous terrain de l'immeuble.Pas besoin, il m'attend à quelques mètres.
— Je peux vous déposez quelque part demoiselle ? Dit il en ouvrant la vitre.
— Avec plaisir gloussais-je.

ET SI,CE N'ÉTAIT QU'UN RÊVE...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant