three

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On était sur le canapé. J'étais entrain de caresser son torse assez imposant. Lui, me caressait le bras droit avec des bleus.

Jahseh était comme blasé.

Jahseh - Je peux savoir c'est quoi ça?

Il me montra du doigt un bleu. Un bleu plus gros que les autres.

Moi - C'est toi qui m'a fais ça.

Jahseh - Pourquoi tu mens?

Il était comme énervé. Je commençais à avoir des frissons.

Moi - Jahseh, c'est toi qui m'a...

Je ne l'avait pas vu celui là. Un coup de poing qui me fourra sur le visage.

Jahseh - TU ME MENS EN PLUS?!

Il mit son caleçon puis me mit plusieurs gifles sur le visage. Il me mit des coups de poing sur le ventre.

Pourquoi ne voulait-il pas me croire?

Moi - Jahseh *pleurs* c'est vraiment toi qui m'a fait ça.

Jahseh - TU MENS ENCORE?!

Il me prit me jetta au sol pour me mettre des écrasements de tête.

Il n'avait enfaite pas compris les mots doux que je lui avais dis 1 heure auparavant.

[...]

Après qu'il m'es battue, je refais la même routine que ce matin et de tout les jours. Habituellement, je ne mets pas de fond de teint mais les coups que me donne Jahseh m'obligent à en mettre.

Après m'être préparée, je sorti de chez moi pour aller dans une famille d'accueil. Vous comprendrez pourquoi.

Je marchais avec mes lunettes bouffantes de vue qui étaient cassées. Tout le monde me regardait avec dégoût. Ils ne m'aimaient pas dans ce quartier. Ils pensaient tous que j'aimais me faire baiser par n'importe qui. Si ils savaient...

Arrivée au domicile de l'assistante maternelle, je sonna chez elle.

Elle était très gentille. Je ne connais pas son nom donc je l'appelerai "elle".

Elle - Bonjour mademoiselle. Vous allez bien?

Non. Ça va pas.

Moi - Très bien et vous?

Elle - Ça va tranquillement.

Donc je la suiva dans la chambre de ma seule raison de vivre, ma fille.

Oui. J'ai une fille. Une petite fille de 1 ans et demi. Elle s'appelle Lisaa.

Je la pris dans mes bras. Je l'embrassa le front.

L'assistante maternelle me regardait avec les larmes aux yeux. Elle savait que je m'étais fais violé et qu'avoit une fille de la sorte n'étais pas facile.

Je l'ai confiée au service de l'aide social à l'enfance parce que je ne voulais surtout pas qu'elle voit ce que son père me fais. Et oui. Jahseh est le père de ma fille.

Elle - J'ai fais son sac.

Moi - Merci, c'est très gentil.

Elle - Vous savez mademoiselle, je vous soutiens énormément. Je pense que c'est vraiment courageux de vous occuper d'un enfant non voulu. Surtout que vous n'avez que 18 ans. Je suis fière de vous et je pense que vous avez eu raison de la confiée à moi. Je vois que vous avez pensé à la sécurité de votre fille et vous savez comment c'est énorme pour une jeune femme qui n'a pas encore la majorité internationale.

Elle était vraiment émouvante. Je ne pu retenir des larmes.

Moi - Je vous remercie madame. C'est... c'est vraiment gentil.

Je la pris dans mes bras.

Moi - Vous êtes comme la deuxième mère de ma fille.

Elle ne put s'empêcher de s'éffondrer en sanglots. Je l'aimais vraiment cette dame.

Après avoir fini notre petit moment de tristesse, je pris la poucette de ma fille pour rentrer chez moi.

Dans la rue, tout le monde touchait mon enfant. Ils la trouvaient magnifique. Et je confirme vraiment.

Arrivée chez moi, je plia la poucette puis monta à l'étage pour voir si Jahseh était là. Positif, il était avec ses amis. Un mec et une fille. La fille m'a vu puis m'a appelé.

Elle - Eh!

Ils retournèrent leurs regards puis m'observaient.

Je les salua sans rentrer dans la chambre puis retourna en bas pour rester avec mon enfant.

Elle était merveilleuse comme bébé. Je l'aimais plus que tout au monde.
Lisaa, qui ressemble terriblement à son père.

J'entendais qu'ils descendaient. Je n'y es pas prêté attention. Quand ils m'ont vu, il se sont approché pour voir mon bébé.

Elle - Elle est magnifique ta fille.

Lui - Putain, si j'ai un enfant aussi beau que celui-ci, je le chérirais à mort.

Jahseh était adossé contre le mur entrain de fumer un joint.

Quand je sentis l'odeur, je sorti dans le jardin près la piscine avec Lisaa.

Elle ne sentira jamais ce truc qui pourrit des vies comme la mienne.

La fille se joignit à moi.

Elle - Tu rentres pas à l'intérieur?

Moi - Non, Jahseh fume son joint.

Elle - Et alors?

Moi - Je pense pas que tu sois aveugle donc je crois bien que t'avais aperçue un enfant de 1 ans dans mes bras.

Elle - Ah...

Elle regardait Lisaa comme si c'était un diamant.

Elle - Bon bah salut je dois partir.

Je lui fais signe de la tête avant qu'elle parte. Quelques minutes après, il prit Lisaa.

Jahseh - T'as fais quoi avec elle?

Je ne repondis pas à cette question parce qu'il savait très bien que je ne ferais même pas du mal à ma fille.

Je la repris et lui chauffa son biberon.

Après gouté pour voir si c'était à la bonne température, je lui donna son biberon.

Elle était gourmande. Je la regardait les sourire au lèvres.

Jahseh s'approcha de moi puis mit ses mains autour de ma taille et me fis un bisou sur la joue.

On regardait notre fille boire son biberon.

Il était entrain de me faire des bisous sur le cou et sur les épaules. Il était encore en manque de sex? Impossible.

Je sentais son souffle dans mon cou qui me donnait la chair de poule.

Suis-je la seule à être tombée amoureuse de son violeur?

Fantasmes | XXXTENTACIONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant