A Novel Romance (CAMREN)

Chapitre 13

PDV Lauren :

Depuis la dernière fois que j'avais vu Camila, je n'arrêtais pas d'écrire. Mon roman avançait petit à petit comme je le voulais. Mais la date de révélation approchait et je me sentais de plus en plus mal.

Je voyais Camila ce soir et je me suis décidé à tout lui dire ce soir. Je ne pouvais pas continuer à lui mentir surtout avec ce qu'il s'est passé l'autre soir. Ce souvenir me fit sourire.

J'étais sur mon bateau depuis presque une heure à penser à Camila, quand je vis Ally apparaître d'un coup à la porte de mon bateau. Je lui fis signe de rentrer et elle s'assit en face de moi.

Ally : Est ce tu sais que tu as un téléphone j'ai essayé de te joindre au moins trois fois !

Lauren : Désolé j'avais juste envie de me vider la tête. Je pense à beaucoup trop de choses en ce moment.

Ally : Laisse moi deviner tu commences à stresser des répercutions de tes mensonges sur Camila ? C'est ça ?

Je soupira un oui en posant ma tête dans mes mains.

Ally : Il faut que tu lui dises la vérité !

Lauren : Je lui dit ce soir.

Ally : Comment tu vas t'y prendre ?

Lauren : On va dîner à la maison et je lui parlerai à ce moment là. Il y a une part de moi qui espère qu'elle ne va pas être en colère et qu'elle pensera pas que je l'ai manipuler pendant tout ce temps.

Ally : Stop ! Lauren c'est la meilleure solution. Regarde le bon coté des choses, une fois qu'elle sera au courant, ce sera beaucoup plus facile de te révéler au public. Et je suis fière de te voir aller jusqu'au bout.

Lauren : Je n'ai pas vraiment le choix. Dis-je en levant les sourcils.

Ally rigola légèrement et se leva pour me réconforter ce qui marcha un peu. Mais j'avais toujours cette boule au ventre. Cette peur de la perdre. De perdre Camila.

Ally se degala légèrement.

Lauren : Je te tiens au courant pour Camila.

Ally : Je pense fort à toi. Bonne chance. Me dit-elle en me tenant les épaules.

Elle quitta le bateau. Je regardais l'heure et me rendis compte que je devais bientôt rentrer pour tout préparer.

A 20 heures pile, j'entendis quelqu'un frapper à ma porte. Je précipita à la porte en remettant le col de ma chemise et en recoiffant rapidement devant le miroir de l'entrée.

J'ouvris la porte et je vis Camila dans cette robe bleue qui lui allait parfaitement. Elle était splendide. Ne sachant pas vraiment comment lui dire bonjour, je me rapprocha et je l'embrassa sur la joue en prenant sa main en même temps.

Lauren : Bonjour Mila ! Dis-je avec un énorme sourire

Camila : Bonjour Lauren. Dit-elle en me rendant son sourire.

Je continuais à la regarder dans les yeux, je la sentis entremêler nos doigts ensemble.

On se complimenta en même temps ce qui nous fis rire. Je la tirais à l'intérieur, je passa derrière son dos et je lui enlevais ça veste délicatement. Elle se retourna lentement et m'embrassa la joue en me remerciant.

Je sentis mes joue s'empourprer et je lui fis signe de me suivre à l'extérieur.

J'avais préparé un vrai dîner au chandelle dans le jardin. Des guirlande lumineuse était accrocher dans certains arbres et quelques pétales de roses était éparpiller sur le chemin.

Camila : C'est magnifique Lauren. Cette maison est tellement chaleureuse.

Lauren : On venait souvent ici avec mes parents. Est ce qu'il y a un endroit où tu aimes te réfugier quand tu as besoin de souffler ?

Camila : Forest Park. Il y a un vieux pont en bois entourés d'arbres dans la foret. C'est la que je vais quand je suis stréssée. Je m'arrête, j'écoute le ruisseau et là tout mes problèmes s'en vont. C'est un endroit magique ! Dit-elle les yeux brillant et rêveur.

Je souriais après cette déclaration.

Lauren : A t'entendre s'en a tout l'air.

Camila : On a tous besoin d'un endroit où ce réfugier.

Lauren : Je suis d'accord. C'est ce que cette maison représente à mes yeux.

Je lui montra la table en l'invitant à me suivre.

Lauren : Le dîner nous attend. Dis-je en lui souriant.

Quand Camila vit la table, elle me regarda en me souriant.

Camila : C'est magnifique ! Je ne savais pas que tu étais si romantique.

Lauren : J'aime juste faire les choses bien. Dis-je en lui tirant la chaise pour qu'elle puisse s'asseoir.

Elle me remercia et le dîner pu commencer.

On venait de commencer le plat principale. Ce rendez-vous se passait parfaitement. J'aimais l'entendre rire quand je lui parlais de mon enfance ou j'aimais aussi juste l'entendre parler de l'un de ses romans préférer.

Camila : C'est vraiment délicieux Lauren.

Lauren : La cuisine, c'est loin d'être mon fort mais j'ai un talent dingue pour trouver un bon traiteur.

Elle rigola et je me dit que je devais lui dire. Je n'avais pas envie de gâcher se dîner. Mais elle devait savoir.

Lauren : Ecoute Mila, j'ai quelque chose d'important à te dire mais je ne sais pas trop de qu'elle façon te... tu en veux encore ? Lui demandais-je en lui montrant le plat. Je me traita d'idiote.

Camila : Non, c'est bon merci. Me dit-elle avec un sourire crispé.

Lauren : Parfait je... oui alors. Dis-je en me raclant la gorge. Il se trouve que à notre première rencontre je ne savais pas que..

Camila : Attend Lauren. Dit-elle en me coupant. Avant que tu ailles plus loin, il faut que je t'avoue quelque chose. Je n'ai, comment dire, pas été très honnête avec toi.

Je commençais à avoir peur.

Lauren : Qu'est ce que tu veux dire ?

Camila : Tu te souviens quand je t'ai dis que je sortais d'une rupture difficile ?

Lauren : Vous allez vous remettre ensemble c'est ça ? Dis-je en baissant la tête, mes yeux se remplissant de larmes.

Camila : Quoi ! Dit-elle précipitamment. Nan nan absolument pas. Jamais de la vie. Voilà, pour être honnête, cette histoire m'a fais souffrir plus que je veux l'admettre. Elle soupira.  C'était un joueur de football professionnel et note rupture à fait les unes des journaux. C'était humiliant comme expérience. Dit-elle les larmes aux yeux alors je lui pris la main et je l'incita à continuer. En toute franchise, mes échecs amoureux ont fait le buzz sur Internet.

Lauren : Ça à du être horrible.

Camila : Oui si j'ai un conseil à te donner ne sors jamais avec quelqu'un de célèbre. Je ne ferais pas cette erreur deux fois.

Cette phrase brisa mon cœur. Toute cette fois où je me disais qui avait une chance qu'elle comprenne s'envola. C'est là que je me rendis compte - enfin- de mon erreur.

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