Through the dark

Chapitre 38

*A écouter avec "Maps - Maroon 5"  ça doit être le chapitre le plus court que je n'ai jamais écrit je m'en excuse d'avance mais d'une part ça m'a donné une idée pour la suite mais il y a aussi le manque d'inspiration qui était bien présent sur ce bonne lecture à toutes !! :) *

Précédemment :

PDV Louis Tomlinson :

J’allais me lever pour aller faire un câlin à ma mère et lui murmurer que j’étais content si elle était contente mais je sentis une petite main s’agripper à mon bras et la voix de Jenna murmurer doucement.

Jenna : Reste… s’il te plait…

PDV Louis Tomlinson :

Son visage est légèrement crispé par la crainte et elle utilise le peu de force qu’elle a pour serrer sa petite main sur mon bras. Je la regarde de la surprise dans mes yeux mélangés avec du soulagement et une grande joie.

Je tourne mon regard vers ma mère qui aborde un grand sourire, des larmes se formant dans le coin de ses yeux. Elle les essuie d’un revers de manche puis marmonne doucement, l’émotion présente dans sa voix.

Maman : (reniflant) Je… vais chercher un médecin.

Moi : (un sourire se formant se mes lèvres) D’accord maman.

Elle sort de la chambre tout en murmurant des paroles montrant son soulagement, lâchant deux / trois jurons au passage tant la joie est énorme. Je me retourne vers Jenna qui a toujours le visage crispé, les yeux fermés et sa main serrée sur mon bras.

Jenna : (murmurant) Je t’en supplie… Ne pars pas… Reste avec moi… Louis…

Sa voix est faible et remplis de fatigue. Je me retourne complètement vers elle et la prend dans mes bras. Me sentant près d’elle, son emprise sur mon bras se diminua jusqu’à ne plus exister du tout. J’entourai mes bras autour de sa taille tout en faisant attention à ses bandages et aux endroits où elle pourrait avoir des bleus.

Moi : (la serrant contre moi) Je suis là princesse. Je ne te laisserai pas je te promets.

Je resserrai de plus en plus mon étreinte pour lui faire comprendre que je ne la lâcherai pas et surtout qu’elle n’a rien à craindre. Je sentis ses petits bras trembler sous mon torse, elle essayait de les bouger.

Comprenant où elle voulait en venir, je pris ses bras et les entourai autour de mon cou. Elle chuchota un faible merci avant de déplacer lentement ses main vers mes cheveux et de jouer avec.

Je sourie et me sens soudainement apaisé. Je ne sais pas pourquoi mais je sais que maintenant je peux me relâcher d’une certaine façon. Je mis ma tête dans son cou et y plantai quelques baiser par-ci par-là. Je la sentis frissonner à mon contacte ce qui me fis encore plus sourire.

Moi : (toujours dans son cou) Tu sais que j’ai eu très peur pour toi princesse ?

Elle ne répond pas. Je suppose qu’elle est encore faible du à l’accident mais aussi aux antidouleurs qui lui sont donnés à travers l’une des perfusions. Je décidai de continuer de dire ce que j’avais sur le cœur avant de ne plus en avoir le courage.

Moi : Tu sais… quand on s’était engueulé ? J’avais demandé les gars de te surveiller pour être sûr qu’il ne t’arrivera rien c’est d’ailleurs comme ça qu’est venu l’idée des cours d’auto-défense. Après… le jour de tout…accident… je voulais te parler et m’excuser de mon comportement alors quand les gars m’ont dis que t’étais sortie seule j’avais un peu paniqué mais par je ne sais quelle chance, j’ai réussi à te retrouver sur le banc, en train de regarder autour de toi. (relevant le regard) Et quand il y a eut le coup de feu là j’ai vraiment paniqué ! Je te cherchais partout sans succès et quand je t’ai retrouvé, c’était quelques secondes avant que tu ne te face rouler dessus. Je n’ai pas réfléchis et j’ai courus à toi…