En rentrant, on venait encore de s'embrouiller pour une raison stupide en plus, pour un parking. Il arrivait pas à faire une marche arrière, j'ai rigoler, il m'a insulter et c'est parti en cacahuète.
C'est incroyable, on avait pourtant passé une belle soirée mais il fallait qu'il s'acharne sur moi.
Dés qu'on arrivé chez lui, il a directement déposé les cadeaux par terre avant de ressortir en me disant froidement :
Nathan : mets les dans ma chambre.
Moi : le s'il te plaît c'est pour les chiens ?
Nathan : t'en vaux pas la peine.
Moi : t'iras tout seul à ta fête, au moins comme ça, on est clair.
Nathan : ça t'arrives des fois de n'pas m'les casser ?
Moi : me parle pas !
Nathan : en sortant* ok.
Dès qu'il était encore une fois sorti, je me retourne et je vois sa mère.
Tante : viens.
Je la suis jusqu'à là cuisine. Je m'assois alors sur une chaise puis celle-ci s'assoit en face de moi.
Tante : il se passe quoi avec ton cousin ?
Moi : franchement tantine, je veux pas te manquer de respect mais ton fils est chiant, agaçant, énervant, pénible, soûlant et insupportable. Je le comprend pas, il peut se montrer d'une telles gentillesses que la seconde d'après, il va m'énervé.
Tante : c'est parce qu'il sait pas comme s'y prendre avec toi. Il te reconnaît pas, t'as énormément changé et grandis et ta façon de penser et de parler à également changer. Il croyait qu'il allait retrouver sa petite cousine, sauf que sa petite cousine a bel et bien grandi.
Moi : c'est pas une raison pour être comme ça avec moi.
Tante : il t'apprécie beaucoup mais il ne sait pas quoi faire avec toi.
Moi : être gentil suffirait amplement.
Tante : tu veux que je lui en parle ?
Moi : non c'est bon, je m'adapterai.
Tante : si tu es si mal à l'aise que ça, je lui en parlerai.
Moi : dis moi tantine, je suis vraiment obligé d'aller à la fête d'anniversaire à Ravyn ? Parce que j'ai vraiment pas envie d'y aller, en plus je connais personne, je n'ai pas d'amies ici. Je serai toute seule toute la soirée.
Tante : tu sais c'est Ravyn qui a demander à sa mère de me demander si je pouvais t'autoriser à venir.
Moi : ...
Tante : tu vois... lui aussi, t'apprécie beaucoup. Il en avait aussi parler à sa mère, t'es cotée dis donc.
Moi : je suis pas cotée, je suis une poisseuse.
Tante : maintenant Chaïna, c'est moi qui te le demande. Tu pourrais déposer les sacs qu'il a laisser devant la porte d'entrée dans sa chambre ?
