Il fais nuit lorsque l'on vint me chercher dans mes appartements. J'étais allongé sur mon lit couvert de drap de satin rougeâtre. Je ne portais qu'un peignoir entre ouvert de la même couleur que les draps. Je tenais alors dans ma pâle main, une coupe d'argent dans lequel était contenue du vin, l'un des meilleurs qui soit.
Je fis signe aux soldat qu'ils pouvaient alors entrer.
Deux soldats, dont l'un haut gradé également amis d'enfance: Sora."-Maître, une étrangère viens d'être capturer, elle traînait sur vos terre, non loin de la forêt. Souhaitais vous la voir ou bien nous l'envoyons au cachot le temps de votre somme ?" Me demanda alors Sora qui était le seul à avoir le droit de me parler.
"-Une étrangère dis tu ?"
Je regarda à la fenêtre le vaste territoire que j'occupais. Je me dis alors qu'elle devait c'être perdue dans la forêt qui séparait mon domaine des villages autour."-Amène la dans la salle du trône, je veux la recevoir." Dit je calmement.
Les Soldats me saluèrent et ils sortirent de ma chambre à coucher. Je me leva et j'enfila une chemise blanche que je ne ferma pas dans l'entièreté ainsi qu'un pantalon noir et des bottes en cuir. Puis je partie à la rencontre de ladite demoiselle perdue.
Lorsque j'arrive dans la salle, je constata que cette dernière était vide. Je posa alors mon humble fessier sur mon trône de velours rouge et j'attendis son arrivée.
Après deux minutes d'attente, j'entendis de lourd coup venant du couloir duquel devais arrivée la demoiselle.
Les Soldats entrèrent dans la salle, en sueur dans la salle."- Votre altesse, elle se débat de toute ses force, nous l'avons donc enchaînée pour éviter tout incident." Me dis un soldat quelconque.
Je le regarda d'un air amusé.
"-Qui ta autorisé à m'adresser la parole ?"
Je pris un revolver, que je caché précieusement sous les coussins de mon trône et je le pointa sur le soldat, qui s'agenouilla devant moi.
Je le regarda.
Il me suppliait de l'épargner.
Je n'avais que faire d'un soldat qui ne respectait pas les règles.
J'appuyais alors sur la gâchette et quelque micro seconde plus tard le soldat s'écroula au sol.Sora surgis alors du couloir, une chaîne à la mains. Il me lança un regard qui semblait dire " sérieusement...".
Il jete un regard au soldats, puis il reviens sur moi."-Tu exagére quant même, c'est pas toi qui ramasse leur corps pour les jeter dans la fausse commune." Se plaignit Sora.
"-Désolé mon cher mais il n'a guère respecter les règles que je leur impose. C'est le prix à payer."
Je regarda sa chaîne qui disparaissait dans l'ombre de l'obscure couloir.
"-Montre la moi. " Dit-Je en me redressant.
Et c'est tel un enfant que j'attendis l'arrivée de cette demoiselle, dont je pouvais sentir l'odeur de mon emplacement.
C'est une voix féminine que je pouvais alors entendre arrivée. Une douce voix, qui malgré c'est plainte étais attirante.Je vis alors la chaîne se détendre. Puis elle surgissa de l'ombre, avant qu'elle ne tombe sur le carrelage en damier noir et blanc.
Elle étais fortement enchaînée, point et pied. C'etais impossible pour elle de se relever. Je ne voyais que c'est long cheveux blond, bouclé et peut être le blanc du tissus qu'elle portait sur elle.
Je fis alors signe à mes soldats de la détacher. Je vis Sora me lancer un regard qui me disais que cela pouvais être dangereux."-As tu oublié qui je suis ?" Lui demandais je.
Sora souffla puis il détacha la demoiselle.
Elle leva la tête. Ses yeux bleu étaient clair comme du cristal. De ses yeux cristal elle a transpercé mon coeur de glace, pourtant figé depuis des années.
Elle posa ses mains au sol puis elle se releva. Elle secoua sa robe blanche qui lui arrivais un peu au dessus des genoux et elle me fis une révérence. Puis elle reposa ses yeux sur moi.
Je sentis mon coeur louper un battement."-Qui es tu ? Est que fais tu sur mon domaine ?" Demandais je de ma voix grave.
Elle regarda ses mains, avant de me regarder droit dans les yeux.
Je me redressa encore, et je me plaça juste au bord de mon trône. C'etais la permiere fois qu'une étrangère m'intriguais autant. Son parfum était des plus enivrant que je connaisse."- Mon nom est Mei, j'ai fuis mon village, et je me suis malencontreusement retrouvée sur vos terres." Dit elle alors de ça voix douce.
"-Dans vos villages ne règne donc pas une légende sur l'habitant de ses terres ?"
"-Si il en existe une..." Dit elle alors en baissant la tête.
Je me leva de mon trône.
"-Qui suis - Je? " Lui demandais je alors d'une voix plus forte.
"- Comte Victor, Sire..." Dit elle en baissant encore un peu la tête.
"-Et que dis ton à mon sujet ?"
Elle leva alors la tête, elle avait peur.
"-Sire ! Ce ne sont que des rumeurs !"
Je bondis alors de mon emplacement pour me retrouver face à la demoiselle.
"-Et si cela n'étais pas seulement des rumeurs."
Mei se figea. Elle semblait vraiment apeurée.
De plus près elle étais sublime. Je pouvais voir une teinte grise derrière le bleu de ses yeux. Elle n'avait aucune imperfection sur le visage.
A mes yeux, c'etais un Ange.Je posa ma mains sur sa joue. Ses yeux apeuré, se calmèrent petit à petit.
Je glissa ma mains sur sa joue, puis sur son cou, que je dégagea de ses cheveux. De mon autre mains je prie l'une de ses mains. Je l'amena jusqu'à mes lèvres, et je déposa un baisé sur sa froide mains. Puis je prie l'une de ses mèches de cheveux, que je fis glisser le long de ma mains jusqu'à arriver au pointe que j'embrassa également. Je m'approche encore d'elle, et je pose mon front sur le sien.
Elle est chaude. Chaude et pleine de vie.
Je retire mon front et je pose mes lèvres sur le siens. Je dépose plusieurs baiser, en partant de son front puis en descendant vers ses joues, puis son cou.
Son cou dégagé me tentais terriblement.
Cela faisais quelque décennie que je n'avais guère eu le droit à du sang frais.
Je regarda son cou. Puis je céda à la tentation, plantant mes deux canines dans sa chair chaude. Elle tressaillit.
Son souffle s'accélèra, son poul également.
Elle tremblait, mais de disais rien.Après avoir goûter à son sang, qui était tout bonnement exquis, je retira mes canines de son cou. Je constata que son sang continuais à couler le long de sont cou, puis au niveau de ses clavicules, pour enfin disparaîtrent entre sa poitrine. La robe blanche de la jeune fille était aussi légèrement imbibée de sang.
Je me lécha les lèvres. Toute sa peur s'était alors estompée, pour une raison que j'ignorais. Elle semblait tout de même affaiblie.
"-Je sais que tu as peur de moi. Je sais que les tient me craignent. Je sais que tu voudrais partir le plus loin possible. Mais..."
Mei, pose sa tête sur mon torse, elle est à bout de souffle et fatiguée.
"-Je ne te veux aucun mal."
Il l'entendis alors marmonne un "pitier".
"-Je te veux pour moi et moi seul."
A vous de jouer...
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A vous de jouer
RomanceBon... j'adore écrire.. mais je suis nulle, et des fois j'ai qu'une envie c'est de m'améliorer. Ça fait maintenant six ans que j'écris. Comme je ne suis pas très douée, je me contente d'écrire des petites histoire, sans réel début, sans réel fin...