Seconde chance pour lui

Chapitre 2

- Alors qu'est ce que tu en dis? Demanda James.

Ça faisait presque une bonne quinzaine de minutes que james présentait à Rosalie le nouveau boulot qu'il avait trouvé pour elle. Elle n'en revenait toujours pas, comment était ce possible.

Elle savait bien que son ami james avait pas mal de relations, mais imaginer qu'il pourrait connaître la famille Smith.

« Dieu du ciel ». La grande famille Smith. Qui n'avait jamais entendu parler d'eux. Reconnue dans le monde entier pour ses multiples entreprises implantées un peu partout. Celles-ci perçaient dans le monde de la mode.

« La vache ».

- Tu m'écoute ? Demanda une fois de plus James en frôlant la main de Rosalie qui était posée sur la table.

- Bien-sûr que je t'écoute, dit Rosalie avec un sourire béant aux lèvres.

- Alors?

- Alors? Reprit Rosalie. C'est totalement incroyable, je vais travailler pour les Smith. Je suis tellement heureuse et surprise en même temps, je ne sais pas quoi dire, c'est vrai......

- Arrête rosa tu es douée dans ton travail et eux ils cherchent la meilleure des institutrices et tu es la meilleure dans ton domaine.

Rosalie se sentit  rougir jusqu'aux racines de ses cheveux à la coupe carrée.

- Je ne sais pas comment te remercier James, vraiment que puis-je faire pour toi? Demanda Rosalie toute émue.

- Rester mon amie, déclara James en buvant d'un trait le contenu de son verre.

- Drôle de requête, mais au fait dis moi comment tu as fait?

- Un magicien ne dévoile jamais ses cartes, dit ce dernier en souriant de toutes ses dents.

Rosalie n'arrivait toujours pas à croire. Elle avait tellement de la chance d'avoir des amis aussi merveilleux et une famille qui la soutenait.

Dire que sa relation avec James n'a toujours pas été aussi au beau fixe, se rappela Rosalie en souriant.

Elle connaissais James depuis le lycée, lui le petit gosse de riche et elle toujours fourrée dans ses bouquins.

- Alors, quant pourrai je commencer?

- Il te faudra d'abord faire tes preuves.

- Quoi? Comme une sorte de recrutement à la C.I.A? Se moqua Rosalie.

- Ouais mais à la seule différence que tu ne tueras personne, taquina James.

- Bah je suis prête, dit Rosalie en levant son verre.

     Le soir venu autour du dîner chez sa tante maggy comme tous les mercredi, Rosalie décida d'annoncer la nouvelle de son nouveau boulot.

- J'aimerais lever mon verre à l'amour qui nous unit, à la belle famille que l'on a et aussi au fait d'avoir trouvé un nouveau travail.

Tout le monde resta coi en l'entente de ses paroles. Et ce fût Emilienne qui cria la première comme à son habitude.

- La vache rosa tu as un nouveau travail? J'étais sûre que tu arriverais, dit Emilienne en embrassant Rosalie.

- Ma chérie est une battante, répliqua la mère de Rosalie en l'embrassant à son tour.

Tout le monde la félicitait ; sa tante maggy avec son mari et son petit frère Hugo.

- Alors dis nous comment? Demanda Emilienne quand tout le monde eu repris place.

- Eh bien c'est grâce à James.

- J'ai toujours aimé ce bonhomme,  lança oncle jack.

- Vous n'allez jamais me croire mais il m'a trouvé un boulot chez les Smith, dit-elle toute excitée.

- Pardon chez les qui? S'exclama Emilienne surprise comme tout le monde dans la pièce.

- Attends comme Smith corporation? Demanda hugo ébahi par la nouvelle.

- Oui frérot.

- J'arrive pas à y croire, tonna tante maggy. Et dis nous c'est quoi le poste?

- James m'a dit que je vais devoir m'occuper des enfants de monsieur Raphaël Smith et....

- Attends quoi? Raphaël Smith? Le Raphaël Smith? De chez Smith? Sauta Emilienne comme une petite puce.

- Oui.

- Et ça ne te fais rien? Cria cette dernière choquée.

- Bien-sûr ça me fait quelque chose emilie je vais travailler pour l'une des familles les plus fortunées du monde....

- Mais moi je te parle de Raphaël le célibataire le plus en vue de New-York. Il est deuxième dans le top des hommes d'affaires les plus beaux et a le titre du père le plus sexy de l'année, énumèra Emilienne les yeux brillants.

- Mais tu oublies le plus important de l'histoire, répondit tante maggy.

- Quoi ?

- Eh bien il est veuf, annonça cette dernière.

- Ça fait un ans maman, en plus leur mariage n'était pas un mariage d'amour, dit Emilienne.

Qu'elle est bien informée celle là.

- Tu vois un peu trop de film gnangnan toi, se moqua hugo.

- Ta gueule. Dans tous les cas cousine si l'occasion se présente jette toi à l'eau comme un poisson, conseilla Emilienne.

- Comme un poisson, drôle de métaphore non, dit Rosalie en souriant.

- Ne commence pas, répliqua celle-ci.

Le reste du repas se passa dans la bonne ambiance. Rosalie les donna le reste des informations sur son nouveau travail.