Le 30 juin

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La meilleure amie à ma mere.

Je suis arrivé devant cette porte métallique. Quand ma mère poussa cette porte, je vue 2 personnes que je connaissais. Ces personne était de sa famille, il y avait sa fille, et sa petite fille, d'ailleurs avec sa petite fille nous sommes amie. Elle était toute deux dans cette pièce assez grande, qui était sombre, même je dirais lugubre. Ma mère et moi, présentions nos condoléances à sa famille en retenant t'en bien que mal nos larmes qui monté. Dans un silence sourd, je retire le papier qui enveloppé les roses blanches et rouges que nous avions apporter. Une fois fait, nous nous avançions vers le fonds de la pièce sombre, la ou se tener un par vent en bois foncer qui venez cacher le haut du cercueil en bois qui lui été assez claire et ouvert. Je m'approche, petit à petit, pour découvrir un drap blanc. Ce drap blanc, la recouvrait jusqu'à mis poitrine. Comme si elle dormait. Elle était maquillé et avait une peruque car à cause de ces cancers elle n'avait plus de cheveux. On aurait dit une poupée de cire, elle était aussi blanche que la neige. C'est trait qu'elle avait tiré et tendue une semaine au paravent par la douleur, était si détendue. On pouvait voir qu'elle était la, à ne plus souffrir, apaisé de ne plus être la, dans un sommeille profond. Je me disais qu'elle allé se réveiller ou bouger, mais rien de tout cela elle était immobile, elle ne se réveillerai pas de se long voyage. Je n'en compris que à cette instant, que cela sera la dernière fois que je verrais son visage. Alors je le regardais, encore et encore, et de plus en plus intensément, inscrivant tout les traits possible aussi infime sois t'il. Mais les larmes monté et ces traits s'effacer, je ne pouvais même plus distinguer sont soulagement, de ne plus être parmis nous. Alors je m'avança et je déposa délicatement les roses que j'avais dans les mains sur sont buste. En les posant les seules paroles qui me sont venue était "tu vas me manqué du moins tu vas nous manqué". J'ai réalisé que la personne partez, mais elle prenait aussi une partie de nous avec elle, laissant derrière elle des centaines plutôt des milliards de souvenir. J'aurais tellement aimé finir de lui raconter mais dernière péripéties. J'aurais encore voulu la serrais dans mes bras lui dire que je l'aimais. Mais il est trop tard maintenant, elle est partie. Je la contemplait, elle était si belle. Les roses lui allais à merveille me suis-je dis, dans ce moment de désarroi. Je recule pour mieux la voir. J'en profite alors pour prend une grande respiration. Ma mère et moi sortons de cette pièce noir pour aller vers la lumière en laissant derrière nous une amie, une personnes de la famille, une soeur, une mère, une grand mère, une tante.. Et j'en passe. Et nous la laisson seule dans cette pièce sombre. Deux personnes vêtue de noir, rentre et ferme ce cercueil de bois, ou l'ont ne pourra plus jamais la revoir. Oui elle va nous manqué. Elle ne souffre plus, elle ne respire plus, elle ne vie plus. Maintenant elle peux tous nous voir, écouté se que notre coeur veux lui dire. Sachant qu'elle est en paix. Nous la retrouverons un jour. Dans se sommeille éternelle qui semble si paisible. Ce sommeille qu'on appelle la mort.

My first burialOù les histoires vivent. Découvrez maintenant