Mortis

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Mon père était allongé au sol. En une seconde ma vie venais de s'écrouler.

Je lâcha tout les sacs de course que j'avais entre les mains. Et je me jetta sur lui, ses doigts commençaient déjà a s'enracinés. Je pris sa tête entre mes mains, et pendant les dernières secondes qu'il lui restait avant qu'il ne se transforme, je me mis a le supplié.

-Je t'en prie ne meurt pas !!! Je t'aime !! Je t'aime !! Ne meurt pas... (son corp se recouvrat petit à petit petit de bois). Il était trop tard. Il est mort.) Ne meurt pas... Dis-je dans une dernière prière. je m'ecroula sur lui en pleure. Le bois se recouvrat d'écorces. Mes larmes fusaient et mes cries sortait sans que je ne m'en rendre compte. Sauf que je n'avais pas remarqué que j'avais été touché par une des balles qui a tué mon père. Mon bras commençait a être en sang. Et sans que je ne m'en rende pour le moment compte, quelques gouttes de sang coulèrent sur mon père alors changer en tronc. Et plus mon sang coulait plus le bois devenait mou, plus il prenait une couleur rosie. Petit à petit mon père qui été pourtant changer en arbre se mit a redevenir humain. Il commença a respiré, a bougé. Pourtant il n'ouvrait pas les yeux on aurait dis qu'il dormait. Sentant mon père bouger sous-moi je me redressa et le vit vivant. Une panique soudaine m'envahit. Non, se n'était pas possible !! Je ne pouvais pas être une mortis !! Je me relève brutalement, en panique je recule. Par peur de pouvoir imaginer que j'avais ce pouvoir. Je fini par remarqué que je saignais en me touchant le bras. C'était évident. J'en étais hélas bien une. Il fallait que je parte vite très vite, avant que quelqu'un ne le sache. Sinon je serais dilapidé. Je me retourna bien décidé a partir loin d'ici (même en laissant mon père sans nouvelles. Cela dépendait de ma vie). Mais je me retrouvis face a face avec un policier. Je n'us pas le temp de cacher ma blessure, il l'avait déjà remarqué. S'était trop tard, dans moins d'une semaine je serai exécuter et sa en serait fini de mon existence. Je bessi la tête, je sentais, mes larme coulé sur mes joue. Je venais de tout perdre. Le policier me releva la tête, puis il me murmura.

-Écoute, je te laisse une heure pour t'enfuir après j'avertirais les autres.

-Et pour mon père ? Demande-ai-je en essuyant mes larme.

-Je lui expliquerait la situation.

-Merci.

Il me sourit.

Je n'avais désormais plus le temps de réfléchir, je me mis a courrir. Le plus vite que je pus.

TraquéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant